Fabienne fantasme sur la soumission depuis longtemps. Son problème est d’oser sauter le pas, son vernis social de patronne
le lui interdit. Si cela se savait.... Le BDSM l’attire depuis quasiment toujours. Déjà étant jeune, elle rêvait de fessée, d’être mise au coin fesses à l’air devant ses copines. Elle a souvent
rêver de jouer aux indiens avec les garçons et de se retrouver attachée au poteau, mais ça, elle n’a pas osé, avec les garçons on ne sait jamais.
Cela fait quelques mois maintenant que ses nuits sont agitées. Elle rêve beaucoup, se réveille en sueur plusieurs fois avec
une certaine moiteur entre ses magnifiques cuisses fuselée. Ces jeux coquins solitaires de substitution n’y sont pas étrangers. Il faut dire, que sa télévision n’a pas été allumée depuis bien
longtemps, que ses livres sont abandonnés et prennent la poussière. C’est devenue comme une d r o g u e, une addiction à une autre forme de lecture sur écran.
Fabienne a quasiment acheté tous les histoires érotiques en PDF du site Plaisirs-interdits.com
Elle a aussi dévoré la quasi totalité des histoires érotiques de Fessestivites dans les rubriques femme soumise, femme
soumise sexuelle et surtout, celles du selfbondage, son palliatif. En étant patronne d’une belle entreprise familiale et en sortant peu, elle ne manque pas d’argent et peut s’offrir des folies.
Ses principales folies se font sur ABCplaisir, elle est une des meilleures clientes de cette boutique particulière. En plus, dans la rubrique selfbondage, il y a des scénarios tous plus fou les
uns que les autres.
Les produits elle les utilise toujours séparément par peur d’être bloquée. Vivant seule chez elle, si elle se piégeait, ce
serait la catastrophe. Elle s’est déjà caressée avec la cagoule d’isolation BDSM sur la tête et les menottes fermées sur ses poignets mains devant. Cela lui permettait de fantasmer sur la
soumission sexuelle, avec un Maître jouant sur sa frustration. Elle a aussi testé la machine à baiser mais juste avec les menottes sur les poignets, toujours mains devant, là, son Maître
imaginaire l’avait offerte en gang bang.
Fabienne a aussi testé la ceinture de chasteté, détenir les clés même bloquées dans un énorme glaçon au fond du congélateur
a castré ses plaisirs. Elle aimerait tant qu’un Maître la pousse au comble de la frustration.
Et puis un jour, ABCplaisir a lancé de nouveaux produits. La serrure magnétique pour selfbondage lui saute aux
yeux !
Pour Fabienne, c’est LA solution de sécurité. Cela ne peut pas tomber en panne ! ! !
Le principe est tellement logique ! La serrure reste fermée tant qu’il y a de l’énergie dans la batterie de secours.
Une batterie finit toujours pas se vider. Même si cela peut être plus ou moins long, elle finit toujours par se décharger. En étant vide, l’électro aimant ne peut plus fonctionner. Le cadenas ne
peut que s’ouvrir.
La première serrure magnétique pour selfbondage d’ABCplaisir, c’est elle qui l’a achetée. Le jour de la livraison, elle est
hélas dans sa mauvaise période, et pour elle, c’est douloureux. Elle l’étudie, la teste mais le mal à la tête dû à ses règles l’empêche de s’accorder quelques plaisirs.
Le vendredi soir, après sa journée de travail, elle se connecte sur Fessestivites et découvre une nouvelle histoire
érotique : Selfbondage dans la forêt enchantée. C’est l’histoire d’une fille courageuse qui va s’entraver la nuit dans les bois. Pour atteindre le plaisir, elle se met des sextoys dans les
orifices et s’attache à un arbre avec une cagoule sur la tête pour s’isoler. Le texte n’est pas vulgaire, tout y est décrit avec sensualité, même quand l’héroïne raconte que dans sa tête, des
chasseurs profitent d’elle.
- Pourquoi je n’ai pas le courage de faire ça moi ? Se dit Fabienne. Et si j’osais ?
Etant superstitieuse, elle décide de s’en remettre au sort en faisant un pile ou face. Pile elle joue chez elle, face elle
fait comme dans l’histoire. La face visible de la pièce la fait frissonner de peur. Alea jacta est, je vais le faire. Après une nuit très agitée, pendant laquelle elle s’est imaginée à la place
de l’héroïne, la tension est encore montée d'un cran. Sa décision est prise, sa résolution est ferme mais pas n’importe comment. Elle prend sa voiture, se rend dans la forêt voisine pour aller
explorer les lieux et trouve l’endroit propice à ses folies de selfbondage. Elle finit par trouver un zone très abritée des regards et assez éloignée du chemin de randonné.
En rentrant chez elle, en entendant à la radio que le soir même, c’est le match du siècle, Fabienne se rassure un peu en se
disant que les mâles, primitifs pour elle, seront devant la télé ou dans les bars. Préparer son sac à dos avec toutes les affaires de son scénario de selfbondage l’excite énormément et en même
temps lui fait peur. Doit elle abandonner l’idée ? Non, sa décision est prise, sa résolution est ferme. Ce soir elle va s'adonner et vivre ce phantasme qu'elle a enfin décidé de
réaliser.
Vers 19 heures, après avoir grignoté, Fabienne prend la route. Elle ne sait pas trop si elle est impatiente, si elle a peur
ou si elle doit faire demi-tour. Arrivée au parking, Fabienne se donne presque un coup de pieds aux fesses pour sortir de la voiture. Après avoir pris son sac à dos et marché 20 minutes, elle
arrive à l’arbre en parti couché. Appuyé contre un chêne centenaire, il lui offre la possibilité de s’attacher facilement avec les mains au-dessus de la tête.
Selon son scénario de selffbondage, elle bloque la partie fixe avec une chaînette et un cadenas, fait courir le fil
électrique sur l’arbre en l’attachant pour ne pas qu’il tombe et surtout, pour qu’elle ne puisse pas tirer dessus pour débrancher et se libérer avant la fin. Fabienne est une femme de tête et
courageuse dans son travail, mais là, elle hésite à aller jusqu’au bout du scénario. Pour se donner du courage, elle se caresse un peu en se disant qu’il serait idiot de s’arrêter là et de le
regretter ensuite.
- Allez, ma grande, continue et comble-toi, cela va t’aider ! Le dit Fabienne à haute voix pour elle même.
Elle retire donc sa jupe et sa culotte pour mettre le maintien magic autour de sa taille. Elle lubrifie son oeuf vibrant
qu’elle peine à insérer dans son anus. Elle fait de même avec celui prévu pour son chaton. Du sac à dos, elle sort son plug anal qui, une fois lubrifié la comble sans trop de difficulté. Elle
assure qu’il reste bien en place en serrant le maintient magic qu’elle place ensuite au-dessus de son clitoris. Elle a déjà fait toutes ses étapes séparément, mais jamais toutes en même temps.
Quitte à s’envoyer en l’air en prenant des risques, autant se faire la totale s’était dit Fabienne en préparant son sac à dos.
Pour ne pas avoir trop froid, elle garde son petit chemisier mais retire son soutien-gorge afin d’y poser de petites pinces
à sein. Tremblante d’excitation, elle se presse de poser les bracelets sur ses poignets puis les ferme avec des cadenas. Respectant la trame de son scénario, elle démarre les oeufs vibrants et
jette les télécommandes dans son sac à dos ouverts à ses pieds. C’est ensuite au tour du magic wand massager d’être allumé, Fabienne se mord déjà
les lèvres de plaisir. Il lui faut faire vite, sans quoi, elle va jouir avant de finir son selfbondage. Elle met son bâillon bouche ouverte en métal puis enfile donc la cagoule d’isolation BDSM
qu’elle ferme avec son petit cadenas.
A ce stade là, Fabienne a aussi peur que si elle était debout sur un pont, prête à faire un saut à l'élastique. Dans un
dernier sursaut de courage, elle remonte les mains, trouve la partie fixe de la serrure magnétique pour selfbondage. Elle s’y bloque en fermant le gros cadenas la liant à l’aimant. Le dernier
geste est pour elle comme un saut dans le vide.
Son premier réflexe est de tirer pour se libérer. Même si elle s’attendait à ce que cela résiste, cela lui fait un peu peur.
Aux pieds du mur de ses fantasmes, elle sait qu’elle n’a plus aucun échappatoire, qu’elle va devoir attende que la batterie se décharge et la libère de cette douce t o r t u r e que lui infligent
les sextoys.
Dans ses fantasmes, son Maître est en train de grignoter avec ses amis chasseurs, elle est la proie qui a été attrapée et
sera consommée sur place. Cette pensée associée aux effets des sextoys et du magic sur son clitoris la pousse déjà dans ses retranchements. Non elle ne doit pas jouir, pas devant eux, ce serait
honteux. Juste un petit orgasme pour diminuer la pression se dit Fabienne en sentant comme une vague venant du plus profond de son ventre. Lorsqu’il arrive, elle sait aussitôt qu’il ne va pas
être petit et ne se trompe pas. L’explosion des sens est si forte que si elle n’avait pas été entravée, elle se serait écroulée. Mais cette fois, elle ne pourra pas écarteler le magic,
contrôler son plaisir comme elle contrôle son entreprise. Il lui est impossible d’arrêter le magic, qui, inlassablement, va continuer à vibrer en coeur avec les oeufs vibrants.
Sentant son anus palpiter sur le plug, Fabienne comprend que la prochaine vague arrive. cette fois, elle a l’impression
d’imploser. Une minute plus tard, cela revient déjà. En sueur sur sa cagoule, elle s’essouffle, essaye de tirer en vain sur ces bracelets pour tout arrêter. Ni parvenant pas, elle découvre ce que
c’est que d’être l’esclave du plaisir. C’est à la fois trop bon, trop fort, fou, affolant. Son cerveau de chef d’entreprise n’est plus qu’un puzzle éclaté qui ne gère plus rien et se perd dans
une sorte de brume.
Deux heures de folies, de jouissances, de peur, c’est énorme pour une première fois. Fabienne a été trop gourmande, le magic
est trop fort, c’en est presque un calvaire. Par chance, au bout d’une heure il faiblit cela devient gérable. Elle tellement perdu la raison et le contrôle de son corps qu’elle a même fait pipi
sans rien pouvoir contrôler. Quand enfin la batterie branchée à la serrure magnétique pour selfbondage rend l’âme, elle s’écroule à même le sol. Il lui faut un bon moment avant de se
reprendre.
Si les sextoys ne vibrent plus, il lui reste maintenant à se libérer. Après avoir retiré ses pinces à sein devenue
douloureuses, l’aveugle, elle plonge avec précaution sa main dans son sac à dos pour y attraper une des clés des cadenas. Na sachant pas le quel il
va ouvrir, elle essaye de suite celui de la cagoule, hélas, ce n’est pas le bon. Elle aurait apprécié d’avoir un peu d’air frais. Les clés n’ouvrent que le bracelet de son poignet gauche. Elle
continue de fouiller dans son sac à dos et ne trouve plus de clés. Par chance, elle sait garder son calme quoi qu’il arrive. Ses petites mains manucurées se mettre à fouiller les alentours. Ne
trouvant rien, elles reviennent vers le sac à dos qu’elle a renversé quand elle jouissait comme une malade.
Quand enfin elle en trouve un jeu, par chance, elles ouvrent le cadenas de la cagoule. L’air frais lui fait du bien. Elle
trouve facilement sa lampe et l’allume. Des yeux brillent face à elle dans les fourrés. La biche d’étale après lui avoir fait une grosse peur.
Fabienne marche vingt minute et redescend au parking après s’être rhabillée et avoir tout remis dans son sac à dos. Lorsque
enfin assise dans sa voiture elle découvre sa tête dans le rétroviseur, elle se fait peur ! Son maquillage a coulé, ses cheveux sont en bataille, les cernes sous ses yeux lui donnent l’image
d’une déterrée. C’est avec beaucoup de prudence qu’elle prend la route, son état de fatigue ne permet pas de faire la moindre folie.
Arrivée chez elle, après avoir bu un grand verre d’eau, sans même passer par la douche ni ranger quoi que ce soit, elle
s’écroule dans son lit. Pour une fois, elle ne rêve pas et dort jusqu’à 11 heures le lendemain.
Après avoir fait ses ablutions, Fabienne remonte sur ABCplaisir pour cette fois acheter les cliquets de corde pour bondage
et selfbondage puis des sangles. Elle élabore déjà le prochain scénario pour cumuler la machine à baiser et le magic mais, cette fois, sans pouvoir fuit comme cette nuit.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou
ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
Voir
les accessoires utilisés pour ce selfbondage ici
https://abcplaisir.com/73-selfbondage
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