Histoires Hard (violence et/ou viol)

Dimanche 3 juillet 7 03 /07 /Juil 17:25

Nouveau phénomène qui perturbe et enflamme le net. Les nudes sont des selfies que des jeunes envoient le soir avec des parties de leur corps plus ou moins nues à leur amis et autres proches afin de leur souhaiter une bonne nuit…

Même si, au début, le jeu était plus coquin qu’autre chose, il est devenu un véritable comportement durable depuis presque deux ans sur Snapchat et autres réseaux sociaux de photos temporaires sont devenus maintenant monnaie courante.

Décryptage avec une fille de 19 ans, qui ne se cache pas d’aimer exhiber ses très jolies formes au travers de selfies de plus en plus chauds !

« Je passe mon temps sur mon portable. Alors, quand je suis rentrée chez moi et que je veux provoquer mes amies ou les garçons qui m’intéressent, je leur poste le soir des photos de mes fesses dépassant de la couette. C’est une façon rigolote de leur souhaiter bonne nuit tout en les faisant réagir ». Mais elle nous avoue que tout cela finit par prendre de l’ampleur :

« maintenant, j’ai plusieurs milliers d’amis qui suivent mon compte et commentent le soir les photos que je poste. C’est devenu une d r o g u e : j’aime qu’on admire mon corps et que les gens veuillent me rencontrer ». Si, vous aussi, vous voulez en voir plus, ce n’est pas très compliqué, en tapant « nudes » et en cliquant sur « envoyer » sur Twitter ou sur Google dans la section photos, on peut apprécier la banalisation de ce geste chez les jeunes adultes et voir des milliers de photos toutes plus coquines que les autres.

Tout aurait commencé avec des stars comme Miley Cyrus, Rihanna ou Kim Kardashian… Les jeunes filles n’ont plus eu qu’à suivre leurs nouvelles idoles… Tout cela est bien narcissique, me direz-vous ? Mais cela ne date pas d’aujourd’hui, comme dans ce conte des frères Grimm : « Miroir, miroir en bois d’ébène, dis-moi, dis-moi que je suis la plus belle. Et, invariablement, le miroir répondait : « En cherchant à la ronde, dans tout le vaste monde, on ne trouve pas plus belle que toi. »

« Le nude est aussi une forme d’expression artistique. Grâce à Snapchat, tu peux leur appliquer des filtres qui permettent de retravailler les photos pour les rendre plus évoluées, plus travaillées et ainsi améliorer la perception que les autres auront de ton corps. » Magalie nous explique aussi qu’envoyer des photos d’elle au lit avec son petit copain, c’est exprimer à ses amies qu’elle est bien dans sa peau, qu’elle se sent bien et qu’elle veut le leur faire partager.

Tout cela est parfaitement normal pour les jeunes de sa génération : c’est une façon plus rapide de parler d’eux, une jolie photo exprimant plus de choses qu’un long texte. Mais n’oublions pas que toutes ces photos circulent très facilement et que, même si la plupart ne comportent pas de visage, tous ces selfies peuvent détruire la réputation d’une jeune fille et la mettre au pilori pendant plusieurs semaines.

Quand les nudes dérapent

Les « nudes » commencent à déraper avec des photos qui n’ont plus rien d’érotique avec par exemple des sextoys ou autre dans un orifice ou quand la fille se caresse... ou joue la grosse cochonne.

La tentation de continuer est si forte quand elles sont avec un petit copain, que l’on trouve de plus en plus de photos plus ou moins pornographique et vidéos de sexe appelés Sextape.

Ces jeunes vibrent et s’amusent en pensant que cela reste réservé à leurs « amis » virtuels.

Ils oublient simplement qu’une photo ou vidéo partagée sur le net OU LE TELEPHONE peut être captée ou copiée pour être rediffusée sur un campus ou plusieurs facultés. Ces « Nudes » sont parfois copiés mais aussi retravaillés avec le prénom de la fille pour être à nouveau partagé sur le net.

A partir de là, la porte est ouverte aux chantages et autres tentatives de manipulation, harcèlement ou pire !

EXEMPLE un selfie je vous laisse imaginer l'enfer que cela peut devenir pour une jeune fille.

La folie des sens perturbe la raison, certes, mais oublier de mettre un masque ou de cacher son visage met ces jeunes en danger.

A NOTER POUR LES GARÇONS :

Si les filles sont la principale cible, le harcèlement existe aussi pour les garçons dès qu’ils sortent des « « sentiers battus » » exemple en se féminisant ou si ils sont gays.

Quelques liens utiles si votre famille subit ce type de harcèlement ou en prévention :

Un site que les parents pourraient consulter pour guider les jeunes

Le site du gouvernement

Vous pouvez également appeler le numéro vert 0800 200 000 (numéro vert)

Cette ressource n'a pas encore été commentée.

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Domination et amour...
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 2 novembre 1 02 /11 /Nov 08:32

Une jeune étudiante un peu coquine, un peu fofolle fait des photos un peu osées pour des paris entre copines. Le surveillant général, un véritable prédateur de jeunes filles les découvre et là, cela ne va plus être un simple jeu de filles. La police arrivera t’elle à temps ?

Ange_d_Amour_entre_les_mains_d_un_predateur.jpg

...................

Margot est une jeune étudiante un peu coquine, un peu fofolle. Avec sa petite taille, son visage d’ange et un corps très bien proportionné, elle fait tourner la tête des hommes. Elle n’est pas pour autant une fille facile. Allumeuse oui elle l’est avec ses photos coquines, qu’elle partage avec ses amis. Il n’y a rien de pornographique dans ce qu’elle aime faire, cela se limite à quelques poses en sous-vêtements de profil ou de dos.

La mode du selfie bas son plein, les défis aussi. Les garçons prennent des risques inconsidérés pour faire voir qu’ils ont du courage, les filles se montrent de plus en plus dévêtues. Margot se prend au jeu des défis, puis un soir elle ose faire un selfie avec les seins nus. Cela devait rester un défi entre copines, hélas pour elle, la photo est partagée dans le lycée. Ne le sachant pas, fière d’avoir été la première à montrer ses seins, elle relève un autre défi, celui de faire la chienne en string sur un lit.

Elle comprend son erreur lorsque le lendemain, elle est convoquée chez monsieur Max, le surveillant général. En guise de début d’entretient, après l’avoir faite s’asseoir, il pose son téléphone mobile face à elle sur son bureau, avant de faire défiler les photos compromettantes. Margot se décompose, effondrée elle ne sait plus que dire, que penser de la trahison de sa copine. Monsieur Max la toise, l’écrase par son silence. Elle préfèrerait qu’il la gronde, la punisse plutôt que de rien dire.

- Que diront vos parents s’ils apprennent ça ? Demande Max.

Les larmes aux yeux Margot ne sait que répondre et s’enfonce dans sa chaise.

- Je crois me rappeler que votre père est un général dans l’armée de terre ou quelque chose comme ça. Outre la honte et la déception, ces photos de sa fille ne serviront pas sa carrière si cela se sait !

Ce que l’étudiante ne peut savoir, c’est que le matin même, il a réussi à arrêter l’hémorragie pornographique à temps et par chance. L’étudiant piégé qui faisait voir les photos de Margot, à un de ses copains le lui demandant n’a pas eu de chance, le surveillant l’a vu et a confisqué le téléphone mobile.

Face à un ancien militaire à la retraite, le jeunot n’a pas résisté longtemps à l’interrogatoire un peu musclé et a tout balancé. La soi-disant copine de Margot, a été convoquée elle aussi et son téléphone a été vidé de son contenu compromettant. les deux étudiants ne parleront pas, par peur d’être virée du lycée, pour diffusion de photos pornographiques dans l’établissement. Tout cela, Margot ne peut donc le savoir.

Après l’avoir sermonnée et avoir surtout appuyé sur les conséquences fâcheuses pour toute sa famille, le surveillant général propose à Margot, de lui donner la fessée que son père aurait du lui mettre depuis longtemps. Totalement déstabilisée, submergée par la honte et la peur du scandale, l’étudiante accepte l’inconcevable : se faire fesser à 18 ans par un vieux !

- Pour sauver votre honneur, et surtout, vous éviter d’être la risée de tout l’établissement, je ne vais pas vous donner cette fessée ici, on pourrait nous entendre. Vous m’attendrez ce soir devant la brasserie du Cap Vert à 17h30. Je vous conduirai chez moi pour vous donner cette fessée grandement méritée, nous sommes bien d’accord ?

Margot ne peut répondre que « oui » à cette question piège. L’estomac en marmelade, elle quitte le bureau du surveillant général pour se rendre en classe, après être allée restituer son petit déjeuner dans les toilettes de l’établissement. Sa journée est un véritable enfer. Ses copines et copains de classe lui demande si elle est malade, tant son visage est pâle et fermé.

A l’heure convenue, elle attend sagement le surveillant général devant la brasserie du Cap Vert. Elle se tord les doigts de peur et se maudit, en attendant l’application de ce qu’elle appelle l’horrible sentence. En le voyant arriver, elle rêve de fondre dans la bitume du trottoir. Aucun mot n’est échangé, il lui fait juste signe de le suivre jusqu’à une sinistre maison, entourée d’un jardin en friche.

A peine sont-ils entrés dans la maison, que Margot comprend que quelque chose ne va pas. Il y a des éclairages de photographe et une caméra posée sur un trépied. Elle essaye de s’enfuir mais il bloque la porte et recommence à la sermonner avant de lui dire : « imagine le scandale si ton père et tout le lycée apprend que tu fais des photos pornographiques ».

- Mais c’est pourquoi faire la caméra ? Demande Margot affolée.

- C’est juste pour éviter que tu puisses dire que je t’ai v i o l é e ou f o r c é e.

Le surveillant général, met en place une sorte de tribunal psychologique, après avoir allumé la caméra. Il l’oblige à avouer ses fautes, fait même voir son téléphone mobile à la caméra, qui enregistre les aveux de l’étudiante. Max la pousse dans ses retranchements et à avouer que cela l’excitait de faire ces photos pornographiques. A la suite de quoi, il lui fait dire devant la caméra qu’elle mérite une fessée et qu’elle est d’accord pour qu’il la lui donne.

Le conditionnement psychologique fonctionne à merveille, sur la vidéo on le voit s’asseoir sur une chaise et on voit Margot s’approcher de lui volontairement. Pire encore, sur la vidéo on voit même Margot s’allonger toute seule sur les genoux de Max. Ce qu’elle n’avait pas imaginé, c’est qu’il allait relever sa jupe et la déculotter. Devant ses réfutations, il lui explique qu’une vraie fessée est toujours donnée cul nu !

Lorsque les première claques s’abattent sur son délicieux petit cul de gamine de 18 ans, Margot a bien plus honte que mal. En gros pervers, le surveillant général ne lui tanne pas les fesses, son but est d’exciter la petite salope. L’excitation ne vient pas vraiment mais ne laisse pas Margot insensible non plus. Max fait des pauses entre les fessées et caresse le délicieux petit cul qu’il est dommage de fesser. Après une longue série de claques un peu plus appuyées, il s’amuse à griffer légèrement le petit joufflu rouge. Les adeptes de la fessée savent que ces petites griffures, génèrent des sensations diaboliques et font réagir la fille fessée.

- Mais on dirait que cela te fait des choses d’être fessée, avoue ou je recommence tout depuis le début ! Lui dit max en continuant de griffer son fessier tout rouge. Répond par oui ou par non !

Toute honteuse, Margot n’a pas d’autres choix que de répondre « oui » en sursautant sous les ongles du pervers.

- Bien, tu vas aller au piquet de réflexion et après tu pourras partir !

Conduite au piquet mains sur la tête, Margot ne peut pas remonter sa culotte et fait de petits pas.

- Si tu retires tes mains de ta tête ou si elle se décolle du mur, je recommence tout depuis le début ! Crie Max en bloquant une pièce de monnaie entre le front de Margot et le mur.

A la suite de quoi, il relève sa jupe et la bloque pour que les fesses rouges offrent un joli plan final à sa vidéo. Margot trouve le temps long et n’a qu’une envie : fuir ce lieu maudit. Lorsqu’elle entend quelqu’un entrer, sa gorge se bloque.

- J’avais raison, c’est une vraie petite salope bien soumise, elle a même mouillée pendant sa fessée ! Explique Max.

Ne pouvant plus résister à la panique, Margot se retourne et aperçoit qu’un autre homme la regarde, avec un sourire de sadique posé sur les lèvres. Son premier réflexe est d’attraper sa culotte, pour la remonter et s’enfuir. Attrapée à bras le corps, elle se retrouve attachée bras et jambes en croix sur un lit. Une main la bâillonne fortement pour l’empêcher de hurler. La main est remplacée par un mouchoir maintenu par du gros scotch d’emballage. Dans sa tête, toute l’horreur de la situation s’installe, elle sait qu’elle va y passer et peut-être même qu’ils la tueront après l’avoir v i o l é e.

Ce n’est pas le but des deux hommes, ils veulent bien pire que la v i o l e r et ne veulent absolument pas la tuer.

- Arrête d’avoir peur, on ne te veut que du bien. On va juste t’aider à savoir qui tu es réellement ! Lui explique Max. Tu es une petite femme soumise qui s’ignore et on va t’aider à le comprendre. Tu nous remercieras après, tu verras !

Max et l’autre homme entreprennent de remonter son tee-shirt et de lui retirer partiellement son soutien-gorge pour accéder à sa jolie poitrine bien ferme, qu’ils caressent sans vergogne.

« Sciences et vices » étant leur lecture préférée, les deux hommes entreprennent de donner du plaisir à la petite. Avec tous les accessoires plaisirs acheté chez ABCplaisir, ils savent tous deux qu’elle ne pourra pas résister. Après quelques caresses intimes, évidement non désirées par Margot, il est décidé de lubrifier un peu le délicieux petit chaton dépourvu de tout poil, pour aider à la montée en pression. A la vue des sextoys, elle panique et tire sur ses entraves en criant dans son bâillon.

- Ce n’est pas la peine de crier tout de suite, tu as tout ton temps. Dans un moment tu chanteras de plaisir, alors calme toi ! Lui explique Max en caressant son visage d’ange couvert de larmes.

Pour apaiser un peu l’angoissée, Max titille son clitoris avec le magic wand massager, réglé à son minium. En d’autres moments et seule, Margot aurait bien aimé avoir ce sextoy en main. Lorsqu’un petit vibromasseur caresse ses lèvres intimes aux portes du temple, dédiée à la fécondité et cherche la « faille », dans un premier temps c’est un sentiment de honte qui la submerge. Quand il s’enfonce lentement dans son vagin étroit, la conjonction des vibrations du magic wand sur son clitoris et du vibromasseur commence à la perturber. Les caresses de l’autre homme sur ses tétons, s’ajoutent au martyr de son chaton s’épanouissant malgré elle.

Au bout d’un moment, la jugeant suffisamment décontractée, Max attaque son clitoris au Melrose, une sorte d’aspirateur de clito appelé « le tueur des réticentes ». Aucune femme ne peut y résister (réel). Dopée aux endorphines, la d r o g u e libérée par le cerveau, Margot commence à perdre pied. Malgré la honte et au mépris de toute considération rationnelle, elle sait que son corps va lui échapper. Une bouffée de honte rétrospective monte incendier ses joues, après une première contraction bien involontaire.

Margot tente de résister, elle ne peut pas jouir dans ces conditions là, ce serait trop de honte. Au bout d’un long moment de lutte, elle n’est plus qu’un sexe, son mental est comme un barrage qui s'effondre. Niché aux creux de ses magnifiques cuisses maintenues grandes ouvertes, son jardin secret devient son maître malgré elle.

Margot serre les dents, voit des étincelles passer dans ses yeux, une série de contractions la transperce toute entière, et une chaleur insolite envahit le tréfonds de son corps. Ce n’est pas une jouissance, mais plusieurs qui s’enchaînent l’une derrière l’autre. Profitant de son abandon au plaisir, Max lubrifie un peu son anus, avant d’attraper le double gode vibrant ultra souple. Pendant les jouissances, le petit gode cannelé glisse sans souci au creux de ses reins, en même temps qu’il s’enfonce dans son étroit chaton, à présent bien lubrifié et accueillant.

Comme une liane suspendue à leur bon vouloir, par vingt fois, le ventre convexe s’ouvre et décharge un liquide d’amour, témoin de ses jouissances exceptionnellement généreuses et intenses. Lorsqu’ils décident qu’il est temps d’arrêter, les muscles encore agités des échos de ses spasmes fous, le visage d’ange, baigné de larmes et de sueur, semble particulièrement épanoui.

Les soubresauts involontaires du corps de la belle suppliciée continuent un peu, sans aucune sollicitation. Libérée de ses entraves, elle se replie sur elle même en chien de fusil. Couverte d’un plaid doux, elle aspire à présent qu’à une chose, souffler !

Max reprend ses manipulations psychologiques visant à obtenir des « oui » à répétition et son acceptation à des choses inavouables, qu’elle ne peut savoir pour le moment.

- Je suis sûr que tu n’avais jamais joui comme ça, ai-je raison ?

La réponse ne peut être que « oui »

- Nous sommes faits comme Dieu nous a faits. Ton corps avait décidé de jouir malgré toi, sommes-nous d’accords ?

Encore une fois, la réponse ne peut être que « oui ». En fin limier manipulateur, Max continue avec ses questions parfois très intimes, mais aboutissant toujours à un « oui » comme réponse.

- Je viens de te faire découvrir qui tu es vraiment. Les abrutis et incultes des choses de la vie disent « salopes », en réalité, tu es un ange de l’amour. Quand tu faisais des photos, ce n’était pas du jeu ou de l’exhibition, si cela t’excitait c’est parce que c’était de l’amour que tu donnais, seuls les grands de ce monde peuvent le comprendre. Tu es faites pour l’amour ! Tu es soumise à ton corps, qui a besoin d’amour et de jouissances ! La preuve a été faite ce soir, tu as joui au moins vingt fois de suite. Je viens juste de te libérer de tes carcans psychologiques. Lui explique Max en caressant son visage, avec une extrême douceur.

- Et moi, je te remercie de ce merveilleux cadeau que tu m’as fait avec ta beauté et ta grâce immense dans tes jouissances. Tu étais merveilleuse.

- Allez, viens te blottir dans mes bras, un gros câlin ne te fera pas de mal, après toutes ces découvertes de ton « moi » ! Lui dit Max en tendant les bras.

Mue par un besoin d’étreinte, Margot se love dans les bras consolateurs, du pire des prédateurs de la région. Elle s’y sent bien, les caresses qu’il continue de lui faire sont comme celles que l’on fait à un petit chat apeuré. Après lui avoir offert un coca, Max la raccompagne jusqu’à la brasserie et lui fait une bise sur la joue, avant de lui dire « à demain ange de l’amour ».

A peine est-elle montée dans le bus, Max rentre chez lui pour faire le montage de la vidéo. « Ange de l’amour » sera son nom d’actrice et surtout d’esclave sexuelle d’ici peu.

.............................

A suivre sur Plaisirs-interdits, un site où TSM publie ses histoires érotiques réservées à un public averti.

Plaisirs-interdits

https://plaisirs-interdits.com/

 


Vous pouvez aussi nous retrouver EN REEL sur Fessestivites.com

et peut-être y faire des rencontres

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 20:39

Quelles toilettes choisir

Oui mais, vous qui regardez cette image de quel côté aimeriez-vous être ?

 

Quelles-toilettes-choisir.jpg

 

DES GALERIES DE PHOTOS A COPIER

Vous pouvez copier et rebloger toutes nos photos qui sont ICI si le coeur vous en dit 

 

 


Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 27 août 1 27 /08 /Août 07:41

Un nouveau site d’histoires érotiques avec du hard vient de voir le jour.

plaisirs_interdits.jpg

De qualité mais souvent très Hard ou sans consentement, ces histoires érotiques et romans de plaisirs interdits sont OBLIGATOIREMENT réservées aux adultes avertis.

Si vous téléchargez des histoire de la zone rouge, attention, c’est vraiment Hard et EXTREME tout en étant réaliste. Vous êtes prévenus.

HARD MAIS DE QUALITE

L’écriture est soignée, agréable à lire et coule sous les yeux. Vous n’aurez pas les yeux brûlé par un orthographe défaillante. Il n’y a pas non plus de langage SMS, d’abréviation, c’est du vrai français.

LES SUJETS DES HISTOIRES EROTIQUES

Les histoires érotiques de plaisirs interdits sont classées par thème. On y trouve du BDSM, de la fessée, du selfondage, des textes gays et de l’ABDL. Il y a une rubrique extrême mais réaliste où on y trouve du sans consentement et du v i o l.

LES BESOINS DE DISCRETION DES INTERNAUTES

Les besoins de discrétion des internautes sont pris en compte car certains pourraient hésiter à avoir ce type de lecture sur leur ordinateur. Plaisirs interdits a pensé à vous.

1)° Une fois que vous avez acheté une histoire, vous pouvez la lire x fois quand vous voulez et vous n'êtes pas obligé de l'enregistrer sur votre PC.

2°) Même les banques ne peuvent pas savoir que vous achetez un ou des histoires érotiques HARD.

Le règlement s’effectue via une passerelle de paiement qui indique Hipaywallet et sur le relevé de banque il est écrit Hipaywallet.

Si vous aimez les histoires érotiques de qualité, complètes, soignées, avec du sans consentement et du hard, vous allez être servi sur Plaisirs-interdits.com

Découvrir Plaisirs-interdits.com

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 12:06

Poire (orale, anale, vaginale) inquisition

Cet outil a été utilisé et est hélas toujours utilisé. Il n’a pas beaucoup changé et peut être sans ornements. Il y a plusieurs taille, pour la bouche, l’anus ou le vagin. Lorsque la vis était vissée, les segments de poire s’ouvraient jusqu’à la valeur maximale. Les organes internes ont été gravement endommagés, entraînant souvent la mort. Les extrémités pointues et allongées des segments creusaient simultanément la paroi de l'intestin, du pharynx ou du col de l'utérus. La poire orale était utilisée pour l'interrogatoire des prédicateurs hérétiques, en anal pour les hommes, accusés d'homosexualité passive, et vaginal pour les femmes soupçonnées d'avoir des liens intimes avec le diable ou ses serviteurs. Dans la bouche, l’explosion des os des mâchoires était horrible.

De nos jours, en BDSM la recherche des sensations, au nom du plaisir et des fantasmes, existe bel et bien.

Pour la bouche nous avons le bâillon gonflable

Baillon_souci_dentaire_gonflable_2.jpg

Il a l’énorme avantage de ne pas endommager les dents tout en étant TRES efficace.

Pour le vagin et l’anus, le gode gonflable manuel ou électrique

Big_gode_souple_noir_gonflable.jpg

Butt_plug_geant_4.1.jpg

Butt_plug_geant_2.jpg

On n’arrête plus le progrès ! Appuyez sur le bouton et laisser gonfler ce plug.

Le Plug de chastete anale

Pour l’anus il y a aussi le plug de chasteté qui ne blesse pas mais s’ouvre dans l’ampoule rectale. Cela génère des peur la première fois, et ensuite, l’impression qu’il veut sortir sans avoir été refermé.

Plug_chastete_anale.jpg

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 17:01

Concours_Histoires_Erotiques_2016.jpg

Concours d’histoires érotiques printemps 2016

.

THEME LIBRE : fessée, libertinage, ABDL, fétichiste, BDSM, autre....

260 euros de lots à se partager

Premier prix offert par Fessestivites.com

Un paddle collector de Fessestivites (2 pièces dans le monde) d’une valeur de 145 euros. Matière 100% cuir Longueur 45cm largeur 6,5 cm épaisseur 8 cm. Ce n’est pas un simple jouet, il peut laisser de sacrés souvenirs.....

Deuxième prix offert par www.ABC-charme.com

Un bon d’achat de 50 euros sur la boutique www.ABC-charme.com

Troisième prix offert par www.ABCplaisir.com

Un bon d’achat de 40 euros sur la boutique www.ABCplaisir.com

Quatrième prix offert par Fessestivites.com

Un lecteur MP3 MP4 de 64 GB offert par ABCplaisir.com. Vous pourrez écouter la musique, regarder un film, écouter FM radio, voir des photos, lire des ebooks. Compatible avec les formats de musique: MP3.MP4. WMA. WMV, ASF WAV DMA, mais également compatible en vidéo avec WMV, MPG, MPEG I, MEG II, et d'avi à AMV (logiciel inclus) Il peut convertir JPEG, GIF, SWF fichiers image ou bien aux dossiers de PIC pour être consultés par MTV.  Soutien ID3 affichage des paroles en rythme avec la chanson. Il offre 7 types de paramètres de l'égaliseur: Normal, Jazz, Pop, Classique, Rock, Soft, DBB + album électronique, support format JPG photo  + E-book fonction + Jeux 

REGLEMENT

 

- Les histoires doivent être adressées par email au webmaster ici contact@fessestivites.com avec le mot CONCOURS dans le titre. (Titre + le mot concours) Le webmaster indiquera le pseudo des auteurs dans chaque publication avec le résumé, + le titre + des options de vote.

- Les auteurs doivent rédiger un petit résumé attractif de leurs histoires en début de page.

- Date de fin du dépôt des histoires érotiques : le 30 avril 2016 (Au plus tôt vous posterez, au plus tôt vous aurez des votes, au plus tôt vous aurez de chances de gagner).

- L’adresse email où adresser les histoires avant le 30 avril 2016 est contact@fessestivites.com

- Les histoires doivent être en français

- Les histoires doivent faire au minimum une page word ou équivalent.

- Ce concours est sans obligation d'achat d'abonnement.

- Mineur et scato strictement interdit dans ces histoires.

- Les histoires ne seront pas corrigées avant publication.

- Vous pouvez mettre le lien de votre blog à la fin de votre histoire et joindre une photo sans copyright.

 

COMMENT SERONT NOTEES LES HISTOIRES ET QUI VOTE ?

Les histoires seront postées dans le forum par le webmaster qui créera un sondage par texte adressé. Les membres pourront voter une seule fois par texte avec les propositions ci-dessous.

  • Note 18 : Candidat au prochain prix Goncourt
  • Note 15: Félicitations
  • Note 13 : Encouragement
  • Note 10 : Encore un petit effort
  • Non notée : Cette histoire n’entre pas dans mes trips, préférences.............

Faites-vous connaître et faites-nous vibrer par vos plus beaux écrits et bonne chance à tous pour ce concours d'écriture d'histoires érotiques.

L’adresse email où adresser les histoires + votre résumé avant le 30 avril 2016 est : contact@fessestivites.com

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:11

Les aiguilles BDSM hard ou soft ?

Je lis parfois que les aiguilles en BDSM sont considérées comme une pratique Hard ou extrême.

JE REPONDS NON

Je réponds non si cette pratique est réalisée par quelqu'un qui sait les manier et suivant où elles sont posées. Il y a plus de peur que de mal en vérité, propos confirmé par toutes les personnes que j'ai initiés.

JE REPONS OUI

Je réponds oui suivant la partie du corps où elles sont plantées et suivant le nombre puis l'utilisation que l'on en fait.

Explications :

Si les aiguilles sont posées en petit nombre dans le dos et sur un ou deux millimètres de profondeur, pour un corset par exemple, la douleur est nettement moins importante qu'une bonne claque sur les fesses. A cela se rajoute, que les aiguilles sont bien souvent fines et toujours à usage unique.

J'ai testé ! ET oui, même si je suis un Maître, j'ai désiré que l'on m'en pose quelques-unes pour mieux comprendre ma soumise et en avoir le coeur net. Je m'attendais à ce que cela pique franchement je n'ai quasiment rien senti. (Et je suis un brin douillé)

Par contre, les aiguilles dans les tétons ou d'autres endroits ultra sensibles, là c'est déjà un peu plus "piquant" bien que fugace.

La dite piqûre ne dure qu'une seconde et une fois les aiguilles posées on arrive à les oublier. (Réel)

QUELS SONT LES RISQUES

Il y en a bien plus pour celui qui pose que pour la personne à qui il est posé des aiguilles :

Si les règles d'hygiène sont respectées, ils sont identiques à une prise de s a n g pour la personne à qui il est posé des aiguilles donc nuls. (Gants et aiguilles stériles à usage unique + désinfectant sur la peau avant de piquer)

Pour la personne qui on pose des aiguilles le risque de se piquer lui est bien réel.

"J'ai vu du sang" ! Oui est alors ? Il arrive qu'il y ait une ou deux gouttes, cela ne signifie pas que c'est dangereux ou douloureux. Il est préférable d'éviter avec des personnes hémophiles mais le problème portera plus sur le temps que cela s'arrête de s a i g n e r et les soucis liés. (Inquiétude / nettoyage)

QUEL PLAISIR

On ne jouit pas avec des aiguilles, mais cela peut être très érogène et très érotique.

ABCplaisir propose des aiguilles ici

Pour en parler, rendez-vous sur le forum BDSM ici


Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 12:14

L’exhibitionniste croise une dominatrice

 

Ballbusting_bobo_5.jpg

 

Ballbusting_bobo_6.jpg

Voyeur et exhibitionniste Patrick rode depuis quelque temps autour du club de gym où il se complait à mater les filles dans leur jolies tenues très colorées moulant leurs formes. Régulièrement il sort son sexe et se masturbe derrière les vitres du club où se rend régulièrement Maîtresse Sarah qui l’a repéré malgré la pénombre des nuits de ce mois d’octobre. Elle s’amuse à le narguer en espérant bien un jour le croiser de plus près pour lui expliquer sa façon de voir les choses car cette femme n’est pas que dominatrice, elle est ceinture noire de karaté et était l’assistante du professeur de karaté l’année dernière, juste avant qu’ils ne ferment le club pour raisons financières.

Les filles et la patronne du club voulaient appeler la police, Sarah les en a dissuadées en leur expliquant qu’il recommencerait ailleurs, qu’une bonne leçon serait bien plus constructive. A travers la vitre, elle pousse l’exhibitionniste à s’exposer plus encore en lui faisant signe d’ouvrir son manteau ou de baisser son pantalon pour leur faire voir ses attributs. Les filles se prennent au jeu et vont même jusqu’à lui faire des signes, à lever le pouce comme au temps des romains.

Sarah a prévu son coup, elle va s’éclater et surtout lui éclater les couilles à cet enfoiré. Ce mercredi soir, elle a prévu un papier sur lequel elle a écrit : "viens nous voir à la sortie après les cours, on a envie de voir ton sexe de plus près." Dans son innocence et sa « connerie » Patrick s’enflamme, les filles veulent le voir, il s’imagine déjà entre leurs mains le tripotant voir plus…. Quel con !

Vers 22 heures, Sarah lui refait voir le papier, Patrick affiche un sourire banane, pauvre Patrick…… Il les attend donc caché derrière une des colonnes de ce magnifique complexe sportif de Valence en se tripotant à travers son pantalon.

- Yes il est là ! Je vous l’avais bien dit les filles que ce mec avait des couilles ! Crie Sarah lorsqu’elle l’aperçoit caché derrière la colonne. Arrête de te cacher, on a envie de les voir de plus près, mais déconne pas, retire ton pantalon et ton slip qu’on s’éclate un peu.

Patrick n’ose pas, il est soudain bloqué, Sarah va vers lui avec son plus beau sourire, il perd pieds, il est comme envoûté par cette femme ayant un corps de rêve. Elle l’attrape pas le bras et le tire vers elle, les hommes ne lui font pas peur, au contraire, sa passion est de les dominer, des les humilier, de leur faire des tonnes de choses que la morale réprouve. Tiré par la main comme un enfant qui va chez le dentiste, il se met dos au mur et, sous l’insistance des filles, finit par ouvrir puis baisser son pantalon. Sarah l’applaudit, sa copine fait de même, les autres filles plus réservées font de même mais restent à distance.

Il est heureux que pour une fois on ne le rejette pas et se prend au jeu de l’exhibition demandée. Elles veulent qu’il se branle, Sarah lui demande de bien écarter les jambes pour que l’on voit bien ses couilles. Il s’exécute aussitôt en astiquant son sexe gorgé de désir. Soudain Sarah bondit vers lui avec une telle vitesse et agilité qu’elle surprend tout le monde, son pied vient de percuter les précieuses de Patrick. Il hurle, tombe à genoux puis s’écroule sur le sol en tenant son sexe comme si le tenir pouvait faire partir la douleur.

Sarah et sa copine Julie lui tournent autour comme des hyènes, elles l’aident à se lever puis le replace, Patrick à moitié sonné se laisse faire. Cette fois c’est Julie qui bondit vers lui et lui décroche un grand coup de genou là où cela fait très mal chez un homme. Son sexe bondit sous l’impact en même temps que sa bouche s’ouvre pour libérer un grand « ah !». Avant même qu’il ne s’écroule sur le sol, Sarah lui décroche un second coup de pied, il a soudain l’impression que son sexe vient d’exploser. Des nuages passent devant ses yeux, sa tête est brûlante quand il s’écroule littéralement par terre en tournant sur lui-même avec les mains sur son service trois pièces en piteux état.

Les hyènes sont toujours autour de lui, elles lui demandent s’il compte revenir les voir, s’il compte encore imposer la vue de ses attributs avec d’autres mots moins châtiés. Patrick ne peut plus parler tant il a mal, il ne peut que faire des « non » de la tête en guise de réponse.

- Un petit dernier pour la route ? Lui demande Sarah.

- Si on te revoit montrer ta bite à quelqu’un ici ou en ville, on te les fera manger, t’as bien compris du con ?

Patrick fait « oui » de la tête, quand elles s’approchent de lui, il se met en boule et met ses mains sur sa tête pour se protéger.

- Allez du con, c’est juste pour t’aider à te relever. Tiens ce sont tes affaires, prends-les et casse-toi avant que je m’énerve pour de vrai. Lui indique Sarah en lui jetant son pantalon à la figure.

EPILOGUE

Le plus surprenant dans cette histoire, c’est que si Patrick n’ose plus s’exhiber en ville, il est devenu un adepte du Ballbusting.

Faire des rencontres BDSM

Voir des vidéos de CBT et Ballbusting

Accéder au forum BDSM

Photos et article sur le CBT et Ballbusting

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 09:12

Le sadique de la maison abandonnée



Le_sadique_de_la_maison_abandonnee.jpg

Au hasard de mes promenades dans les bois avec mon chien, je suis tombée sur une vielle maison abandonnée. Animée par la curiosité, lors de l’exploration de ces ruines, j’ai découvert au premier étage un vieux lit dépourvu de matelas, au milieu de pierres et morceaux de verre des fenêtres brisées par ceux qui ont pour loisir de détruire ce qui n’est pas à eux. Ce lit a titillé mes fantasmes, le sommier en métal avec de gros croisillons carrés et les barreaux en fer en guise de boiseries offrait un espace de liberté à mon imagination BDSM.

L’image d’une fille entravée jambes écartées, couchée sur cette sorte de gros grillage m’a traversé l'esprit. Outre être abusée elle garderait quelques heures gravées dans ses chairs les marques des croisillons l’ayant faite souffrir sous les ruades de ses violeurs. Lorsque je me suis étendue comme la victime de mon imagination débordante, mes doigts se sont naturellement aventurés entre mes jambes, là où il est agréable de les laisser courir, enflammant mes sens érogènes et mon intimité. Alors qu’une main de pervers s’aventurait entre ma peau et la ceinture de mon pantalon pour explorer ma tendre intimité malgré mes suppliques désespérées, une langue a traversé mon visage en me faisant bondir de peur.

Ayant terminé son exploration et le marquage d’un nouveau territoire, Doggy venait de me rejoindre tout heureux et me faisait des fêtes. Grrrrr.



Si l’après-midi s’est terminée normalement par la cueillette de quelques mûres et le retour à la maison dans les encombrements habituels du dimanche soir, ce lit et ce plaisir insatisfait pour cause de chien ayant fait fuir le pervers imaginaire me travaillaient l’esprit. Je ne vous cacherai pas que le soir même, je me suis fait un petit selfbondage pour poursuivre cette aventure, mais cette fois après avoir fermé la porte de ma chambre pour ne pas être dérangée, mon vibromasseur magic wand entre les jambes, complice parfois sadique qui glisse sur le matelas et m’abandonne alors que justement, je voulais m’abandonner. Cette fois, bien callé dans ma culotte, il ne s’est pas échappé et m’a permis de m’envoler plusieurs fois. L’envie de vivre effectivement cette aventure dans la maison abandonnée me taraudait de plus en plus.



Si je rêve de BDSM, d’être soumise à un Maître, je n’ose pas franchir le pas, alors je surfe sur Fessestivites avant de m’accorder quelques plaisirs en principe inavouables…..

Si la prudence m’interdisait d’aller me faire un selfbondage en dehors de chez moi en pleine nature, après une lutte acharnée entre la raison et mes folles envies, j’ai fini par céder à mes envies. Pour éviter de prendre de trop de risques, j’ai décidé d’y aller un jour de pluie en semaine, car qui irait se promener dans les bois par un tel temps hormis une folle comme moi ?

Pour mon auto libération, je me suis fabriqué un gros bloc de glace avec les clés de mes menottes achetées chez ABCplaisir. Pour qu’il ne fonde pas en chemin, je le mettrai dans un sac congélation comme si je partais en pique-nique. Il m’a fallu attendre quatre longs jours avant qu’il pleuve. Lorsque j’ai téléphoné à mon travail pour dire que j’étais souffrante, je me suis traitée de « malade » mais l’appel du sexe a eu raison de la logique et de la prudence. Dans mon sac à dos, j’ai glissé quelques cordes, des pinces à seins, mes menottes, un bâillon et une cagoule puis un vibromasseur basique avec des piles neuves.

Le parking était vide, chose logique avec un temps de chien, le mien cette fois étant resté à la maison. Après une demi-heure de marche avec mon sac congélation à la main, la maison est enfin apparue. Par prudence, j’ai revisité les lieux avant d’entrer dans la chambre des sévices. Il était là et m’attendait, fidèle à ses lieux et à mes fantasmes. A la tête du lit sur le sol, j’ai déposé le bloc de glace contenant les clés des menottes sur le sac congélation, puis sur le lit mes menottes reliées aux clés par deux morceaux de ficelle à rôti. Pour me mettre en condition et me motiver, mettre immédiatement le bâillon m’a semblé être une bonne idée, cela m’évitait de me répéter à haute voix que j’étais folle.

Lorsque j’ai retiré mon jean et que je me suis assise sur le sommier en fer, les croisillons m’ont souhaité la bienvenue à leur manière en entrant profondément dans la chair de mes fesses seulement protégées par un fin rempart de tissu satiné. La douceur de cette matière électrise mes sens dès que des doigts coquins flattent les formes masquées en cet endroit si sensible…..

Pour attacher mes chevilles le plus écartées possible avec la corde, j’ai un peu souffert des fesses et des cuisses, mais on n’a rien sans rien, me suis-je dit avant de m’étendre sur le dos sur le sommier glacé. OUF ! ! ! Dans le sac près de moi, il devenait urgent d’attraper le vibromasseur et de titiller l’épicentre du marécage se trouvant au creux des cuisses, elles aussi entravées pour les forcer à un écartement prolongé quoi qu’il se passe. Les vibrations, le lieu, les cordes maintenant mes jambes écartées furent à cet instant des ennemis qu’il me fallut combattre pour ne point céder à l’envie de jouir pointant déjà son nez.

Le missile trouva sa cible, tel un spéléo émérite, que dis-je tel un spéléo sous-marin il plongea sans aucune difficulté en mes sombres profondeurs avant de se faire piéger à l’intérieur par une simple culotte en satin. Il devenait vraiment urgent de passer à la suite, sans quoi, mes doigts ne sauraient résister à l’appel de la perle émergeant de son émonctoire de chair tendre et sensible.

Les pinces à sein reliées par une chaînette achetée chez ABCplaisir trouvèrent leur place sur mes tétons pointant fièrement avant de râler lorsqu’ils furent mordus cruellement. De toute urgence j’ai enfilé ma cagoule en cuir, ce qui m’a forcée à remonter les mains derrière la tête et à étirer mes seins, chose qu’ils n’ont pas vraiment appréciée pour cause de pinces sadiques.

A l’aveugle mes mains ont retrouvé les menottes fidèles, fidèles parce que quand elles sont sur vos poignets elles ont parfois du mal à les abandonner malgré vos suppliques. Coincées derrière un des barreaux du lit, elles allaient m’offrir en pâture à un sadique mais qui n’allait pas être imaginaire……………. mais cela, je ne pouvais pas le savoir.

Lorsque je les ai refermées sur mes poignets en me traitant de folle, j’étais dans un état second. Leurs clics magiques allaient m’offrir un espace temps de bonheur, de fantasmes et de plaisirs incontrôlables avec le vibromasseur. Alors que dans mon imaginaire des inconnus abusaient de moi, pinçaient mes seins et me pénétraient sauvagement, un bruit de gravas écrasé attira mon attention malgré l’épaisseur de la cagoule. Mes agresseurs acceptèrent de faire une pause pour me permettre d’écouter, une peur abyssale m’envahit quand le bruit se renouvela. Est-ce un animal ou quelqu’un ? Dans les deux cas j’étais en mauvaise posture et sans aucune possibilité de me défendre.

Un autre craquement sinistre me confirma une présence et fit se décupler ma peur. J’essayais de voir par le dessous de la cagoule puis les trous au niveau du nez mais en vain. Soudain, le sommier s’est enfoncé près de moi et j’ai hurlé de peur en tirant inutilement sur mes entraves. Mes cris étouffés par le bâillon et la cagoule firent rire l’homme qui posa sa main sur ma cuisse agitée de vaines contractions.

LIRE LA SUITE


Ecrivaillon


Faire des rencontres BDSM


Voir des vidéos Selfbondage


Accessoires à prix réduits


Histoires érotiques gratuites

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Auto-bondage self bondage
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 26 août 2 26 /08 /Août 11:57

Abandonnée attachée dans un hôtel


Selfbondage_sexe_09.jpg

Adeline est tombée amoureuse d’un Maître aux idées très perverses, la rencontre s’est faite via le réseau social coquin de Fessestivites. A 38 ans, elle rêve de vivre avec son sadique prince charmant mais hélas ce rêve ne semble pas partagé. Jack est gestionnaire de plusieurs grands hôtels, cela facilite leurs rencontres, comme celle de ce soir où elle se rend le cœur en joie.

Arrivée devant la porte de la suite Carmin, sur celle-ci un papier est collé à son attention avec des indications plus ou moins codées pour ne pas dévoiler leur jeu. Son cœur bât la chamade, quand elle pénètre dans les lieux. Aux pieds du lit se trouve un grand sac, le sac de ses misères avec des instruments de torture comme elle se plait à le dire, de piquantes et douces tortures qui la rendront folle, elle le sait.

Pourquoi elle aime être bousculée, humiliée, être sa chienne soumise elle ne le sait pas, c’est même contre sa nature, c’est ainsi, inexplicable, illogique mais si bon. Pour faire une surprise à son Maître, Adeline sort tous les instruments et les range délicatement bien en vue. Rien que toucher le martinet, les bâillons, les cravaches et cordes la met dans tous ses états. Le tintement des menottes lui donne une idée de surprise, elle va s’offrir à lui, quand il arrivera il n’aura plus qu’à la croquer.


Selfbondage_sexe_05.jpg
Pour se faire un selfbondage Adeline prend deux cordes qu’elle attache aux pieds du lit majestueux puis deux paires de menottes qu’elle dépose près de l’oreiller. Elle attache lentement et soigneusement ses chevilles avec la corde pour lui être offerte jambes écartées, le contact du jute sur sa peau est une bien douce caresse générant d’autres envies qu’elle contient pour se réserver à son Maître, lui seul décide ce soir si elle a le droit de jouir. Elle s’allonge sur le dos, relève les bras pour menotter ses poignets aux barreaux du lit. Prisonnière de son désir, des ses envies d’abandon et d’amour sauvage elle n’a plus qu’à attendre en rêvant de lui. Une myriade de songes coquins traverse son cerveau ne demandant maintenant qu’à chavirer, si ses poignets n’étaient pas menottés, elle prendrait sûrement un « avant goût » de plaisir.

A VINGT KILOMETRES DE LA

- Attends, je dois passer un coup de téléphone à la fille avec qui je travaille, nous avions prévu de revoir la comptabilité de l’hôtel, nous le ferons demain ! Indique Jack à une très jolie brune qu’il charme au bar d’un autre hôtel et qu’il compte bien emmener dans une chambre.

Adeline entend son téléphone portable sonner, la mélodie associée au numéro de Jack lui permet de savoir que c’est son Maître qui l’appelle, il lui est impossible de répondre en étant menottée au lit. Elle sait que parfois il décommande à la dernière minute pour rentrer tard quand ce n’est pas au milieu de la nuit, elle n’y avait pas pensé en s’entravant dans cette chambre.

« Oh mon dieu, je suis mal » pense Adeline, la nuit va être longue. Par réflexe elle tire sur les menottes mais elles résistent, elle s’est piégée toute seule. « Pourvu qu’il rentre avant que le personnel ne passe dans les chambres » songe soudain la belle.

Un client passe devant la porte de la chambre, en apercevant le papier collé sur la porte, il décode plus ou moins que des coquins ont programmé un jeu érotique, sa curiosité est plus forte que sa réserve habituelle, il pousse la porte pour jeter un œil. La vision s’offrant à lui donne un coup de pieds dans ses neurones sadiques et ses envies masculines. Une magnifique blonde est attachée bras et jambes en croix sur le lit aux pieds duquel se trouvent des accessoires BDSM. L’envie de lui faire peur le pousse à entrer puis à provoquer cette biche aux abois. Adeline essaye de parler, de faire signe à l’inconnu de lui retirer son bâillon.

Lorsqu’il monte sur le lit pour retirer le bâillon, le parfum envoûtant de la biche génère en lui bien d’autres envies que de voler à son secours. Il décide de le lui laisser pour qu’elle n’ameute pas l’étage quand ses mains attirées comme des aimants caresseront cette délicieuse poitrine n’imposant aucun soutien et si généreusement offerte à sa gourmandise.


Selfbondage_sexe_25.jpg

Adeline fait des « non » désespérés de la tête pendant qu’il malaxe ses seins à travers sa robe de soirée, le ton des « non » monte bien plus quand il la dénude et les goûte de ses lèvres puis de ses dents de carnassiers, avec des cravaches et un martinet, cette fille ne peut qu’être maso. Les mains de l’inconnu se font soudain plus sadiques encore et plonge dans la magnifique culotte en dentelle ne cachant guère les formes de l’intimité sans défense. Glissant entre les lèvres pour rechercher le puits des plaisirs, les phalanges découvrent qu’elle mouille abondamment. Ce qu’il ne peut savoir c’est que ce n’est pas ce qu’il fait qui excite cette biche, mais ce qu’elle imaginait avant qu’il pénètre dans la chambre.

- Ca t’excite salope, on va s’amuser tous les deux ! Lui indique l’inconnu en se relevant pour aller fermer la porte.

Dans la tête d’Adeline toute l’horreur de la situation s’installe quand il attrape les ciseaux initialement prévus pour couper les cordes de shibari en cas d’incident. Au lieu de couper les cordes pour la libérer, il découpe sa culotte puis, sous les yeux apeurés de sa victime, sa robe de soirée sans aucune pitié. Parmi les accessoires BDSM si soigneusement rangés, il choisit le gros martinet qu’il fait tourner en regardant sa victime maintenant traumatisée. Le premier coup arrive sur la magnifique poitrine, une des lanières a heurté le téton gauche, la douleur générée fait se tordre la biche, si délicieuse quand elle s’agite dans ses entraves. Son sexe n’est pas épargné par les lanières, bien au contraire, il en devient la cible.

Ce que ne peut savoir Adeline, c’est qu’au plus elle s’agite et tire dans les entraves, au plus elle excite l’homme devenant un violeur en puissance. N’y tenant plus, l’inconnu pose la martinet pour attraper son sac dont il extrait un préservatif. En le voyant, Adeline sait que rien ne lui sera épargné. Si elle s’était mise à pleurer, peut-être se serait-il arrêté là, bien au contraire, elle crie dans son bâillon déformant et étouffant ses paroles. L’inconnu sort son sexe gorgé de désir puis enfile le préservatif avant de monter sur le lit pour s’allonger entre les jambes maintenues grandement écartées par les cordes.

Il fouille un instant entre les lèvres intimes d’Adeline avant de forcer la porte que rien ne peut protéger. Tout en la baisant il malaxe sa poitrine et l’embrasse dans le cou. N’étant pas un rustre il essaie de lui donner du plaisir, chose impossible mais qui rend quand même le viol moins douloureux. L’inconnu la violant aurait pu avoir ses chances tant il est charmant mais dans la tête d’Adeline l’heure n’est pas au plaisir mais à l’humiliation totale, bien que dans ses songes érotiques inavouables elle ait déjà fantasmé sur la situation.

Après de longues et interminables minutes pour Adeline, l’inconnu finit par jouir en grognant dans son oreille qu’il croque maintenant en douceur. Quelques secondes plus tard, il se lève, retire son préservatif qu’il range dans son mouchoir, il essuie soigneusement tout ce qu’il a touché dans la chambre sous les yeux terrorisés de la biche aux abois convaincue qu’il va la tuer avant de partir pour la faire taire à jamais. Il n’en fait rien bien au contraire, il la félicite sur sa beauté, l’embrasse sur le front puis sort de la chambre en tirant la porte avec le tissu de sa manche pour ne pas laisser d’empreinte.

EPILOGUE

Le lendemain, Jack fait préparer et porter un petit déjeuner et une rose à Adeline par un de employés. Comme la cliente ne répond pas lorsqu’il tape à la porte, l’employé appelle Jack par le téléphone intérieur. « Rentrez avec votre pass, cela lui fera une surprise »

Ce que l’employé découvre est aussi une surprise pour lui ! Ne sachant que faire devant cette femme nue, attachée sur le lit en train de gesticuler et de grogner dans son bâillon, il dépose le plateau et sort précipitamment. Jack ne la découvrira que vers 11 heures baignant dans une grande auréole d’urine, Adeline ayant fini par se faire pipi dessus.

Si la robe n’avait pas été découpée, il n’aurait pas cru à cette histoire de viol qu’elle ne veut pas déclarer à la police à cause de la honte et de l’humiliation. Comment expliquer aux policiers que l’on vient porter plainte pour viol en s’étant attachée jambes écartées dans une chambre d’hôtel sans que cela génère des quolibets mais aussi des doutes sur le fait qu’elle puisse compter de celles qui font le plus vieux métier du monde ?

Ecrivaillon


Faire des rencontres BDSM


Selfbondage Article histoire érotique photos


Histoires érotiques Hard


Boutique et accessoires BDSM

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Mondes Libertins
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés