Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 09:18

Viol BDSM dans les caves


Le fantasme du viol, du sexe sous la contrainte anime les pensées coquines de Christine depuis des années. Lorsqu'un soir après avoir un peu abusé du champagne elle en parle à son ami, il lui expose que de faire l'amour attachée et de vivre même un pseudo viol n'est pas du tout la même chose. Il insiste même en lui parlant de traumatisme psychologique possible après une telle aventure. En guise de réponse, Christine s'approche de lui, prend sa main et la guide sans aucune gêne vers son entrejambe pour lui permettre de constater qu'elle est trempée rien que d'en parler.

Lorsqu'il essaye de creuser, elle va encore plus loin et lui parle des vidéos Hard et abus qu'elle regarde sur Fessestivites. Bien qu'elle soit franchement alcoolisée, il lui propose de le réaliser histoire de délirer un peu une sorte de viol où elle serait la victime de sadiques. Complètement en décalée, et sans mesurer les conséquences de ses propos, elle accepte et se jette sur le pantalon de son ami pour l'ouvrir et en dévorer le contenu. Ce soir là, Christine est déchaînée, elle est à la limite de la mante religieuse quand ils font l'amour.

Si la veille elle s'est laissée aller à des folies, le lendemain, après que les effluves du champagne soient éliminées, elle s'inquiète un peu et se demande si elle n'est pas allée trop loin. Trois jours plus tard, Paul lui propose de réaliser ce dont ils ont parlé. Elle hésite un peu, rougit mais finit par accepter les règles qu'il lui fixe : une fois commencé, tu n'auras aucune possibilité de fuite.

Le rendez-vous est fixé un samedi soir dans les caves de l'immeuble d'un des amis de Paul où il a tout préparé. Christine doit s'y rendre seule, descendre dans les caves et s'appuyer contre un mur et l'attendre. L'ambiance de la cave la grise même si elle a peur, elle se traite mentalement de folle mais la confiance totale qu'elle porte à son Maître d'Amour lui donne des ailes.

Après l'avoir laissée mariner un moment, il pénètre en silence dans les couloirs sombres et humides. Dès qu'elle le voit, ses craintes s'envolent, elle lui sourit mais il joue le jeu défini au départ. Attrapée par les cheveux et plaquée contre un mur couvert de salpêtre, elle se laisse tripoter en suppliant par principe même si ces mains lui ont déjà donné tant de plaisir. Forcée à s'agenouiller, elle résiste un peu par principe quand Paul décide de lui imposer une fellation. Si la chose convenait pleinement à Christine excitée comme une puce, l'arrivée d'un autre homme lui glace le sang. Paul quant à lui ne réagit pas et continue de forcer sa bouche comme si de rien n'était.



Soudain un troisième homme arrive, les choses vont très vites. Sa tête est repoussée, on lui enfile une cagoule, on la soulève pour la transporter dans les couloirs. Là Christine a vraiment peur, cela ne correspond pas à ce qu'elle s'était imaginé. Les hommes la touchent sans aucune gêne, lui imposent de sucer leur queue, Christine ne sait plus quoi penser. Prise dans une forme de tournante, elle cède parce que Paul fait partie des hommes qui la bousculent, entendre sa voix est la seule chose qui lui permet de ne pas faire une crise de nerf. Soudain les hommes lui retirent ses vêtements, elle essaie de résister mais en vain, en quelques secondes elle est nue, plaquée contre une caisse, on lui attache les mains dans le dos.

Quand Christine sent un sexe fouiller son intimité, elle est blême, elle comprend qu'elle va réellement y passer, que Paul lui a monté le plan prévu mais avec du monde en plus. Prise debout penchée en avant, elle pousse un "ah" de douleur car la pénétration était des plus rapide. Sa bouche est forcée par un deuxième homme pendant que Paul lui tient la tête pour qu'elle ne le fuit pas. En quelques minutes, elle n'est plus qu'un pantin de chair passant de main en main et de sexe en sexe. Quand l'un d'eux mouille sa petite porte elle comprend que rien ne lui sera épargné. Même si elle apprécie la sodomie, être prise ainsi par des inconnus la gêne monstrueusement. Ce qu'elle voulait c'est que Paul la viole, pas qu'il invite des copains pour la violer avec lui.

La nature étant ce qu'elle est, grâce à la présence et aux mots volontairement grossiers de Paul, elle commence à s'abandonner au plaisir de l'amour brutal. Ils n'ont plus besoin de forcer sa bouche, elle "gobe" les verges se présentant à sa bouche avec une certaine conviction.

Etant adepte de bondage et de shibari, Paul entreprend de l'attacher puis de la suspendre jambes écartées au dessus d'une petite banquette emmenée pour la circonstance. Un des hommes s'allonge sur celle-ci et donc sous Christine puis la sodomise sans plus de préalable. Quand elle voit arriver le second homme avec sa verge bandée à la main, elle comprend aussitôt leurs projets de double pénétration. Tel qu'elle est suspendue, les hommes n'ont plus qu'à la faire se balancer pour la pénétrer profondément. C'est le moment que Paul choisit pour venir lui donner sa verge à sucer en lui indiquant : "maintenant que tu es prise par les trois trous éclate-toi salope."


- Allez les mecs, on lui fait la misère pour la faire chanter, feu à volonté.

S'il lui a indiqué "éclate-toi" le mot est faible par rapport à ce qu'elle vit, à ce qu'elle ressent. Son cerveau ne sait plus où donner des neurones tant elle décolle. La position diabolique qu'il lui a imposée avec son shibari de malade fait d'elle une marionnette sexuelle sans défense, livrée en pâture à des bites qui la rendent folle. Passant de mains en mains, de sexe en sexe bien souvent au pluriel Christine est terrassée par des jouissances paroxystiques d'un autre monde et d'une puissance insoupçonnée. Elle n'est plus qu'un corps en quasi perpétuelle jouissance et hurlant de plaisir.

Quand Paul la délivre de la suspension pour la mettre à genoux mains liées au-dessus de sa tête, les entraves ne servent plus à rien, elle est totalement prête à donner sa bouche pour remercier les priapes l'ayant rendue folle. Les mecs se branlent autour d'elle, dirigent leur verge sur son visage pour l'inonder du sperme longuement contenu pendant ce pseudo viol.

En pleine crise de bonheur, Christine les remercie, approche sa bouche pour embrasser leur verge comme si elle câlinait le gros nounours qu'elle garde encore à la tête de son lit.

Les hommes partis, Paul l'aide à enfiler ses vêtements avant de la charger sur son épaule pour la reconduire comme un sac de pomme de terre à la voiture. Sur le siège elle fond en larmes pendant le trajet, mais Paul n'a aucune inquiétude, ce ne sont pas les larmes du malheur ou de la honte, mais bien celles d'une femme heureuse évacuant le trop plein de sensations. Elle lui murmure des "je t'aime" entre deux crises de larmes jusqu'à la maison où sur la couche conjugale, ils s'endormiront enlacés sans même se doucher.

Ecrivaillon


Forum BDSM

Boutique sextoys et BDSM

Vidéos de femme soumises  

Vidéos de femme soumises sexuelles
Histoires érotiques de femmes soumises

Histoires érotiques de femmes soumises sexuelles

Photos érotiques de femmes soumises
Photos érotiques de femmes soumises sexuelles

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Mondes Libertins
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés