Samedi 25 avril 6 25 /04 /Avr 10:20

Mon gyécologue me domine de façon très professionnelle

 

Il y a dans la vie ce que l'on appelle des concours de circonstances incroyables.

 

Mon Maître me fait porter en permanence un rosebud, dont la taille varie en fonction de ses envies. Lorsque nous avons déménagé pour nous rapprocher du lieu de travail de mon mari, j'ai du changer de gynécologue, continuer avec le mien à cent soixante kilomètres n'aurait pas été réaliste. Lors du rendez-vous, je me suis présentée à son cabinet par une belle journée de printemps, avec comme projet d'aller ensuite visiter une galerie marchande, ma tête était donc très centrée sur mes éventuelles emplettes et non pas sur la visite médicale.

 

C'est lorsqu'il m'a invitée à me déshabiller que j'ai réalisé que j'avais oublié de retirer le rosebud. Il était là, debout près de moi et attendait que je prenne place sur la table de gynécologie, que faire ? L'idée de prétexter une envie pressante m'est venue, cela ne lui a pas posé de problème du tout, il m'a répondue : "c'est parfait, nous en profiterons pour faire une analyse d'urine, prenez place sur les toilettes, je vous accompagne". (Et merde) Prise au piège, je lui avoué avoir un petit souci intime.

 

- Je pense que c'est le but de votre rendez-vous, expliquez-moi !

 

- Je, enfin j'ai ......

 

Les mots ne sortez pas mais je devais être rouge comme une pivoine. 

 

- Ne soyez pas gênée, je crois comprendre que vous avez des piercings ou quelque chose comme, ça. Je ne suis pas là pour juger la vie de mes patientes mais pour les soigner. Arrêtez de faire la timide et déshabillez-vous, il y a d'autres patientes qui attendent !

 

Totalement piégée, je retire donc ma robe et mon soutien-gorge puis m'installe sur la table de gynécologie exposant à son regard le brillant du rosebud.

 

- Je vois que vous avez oublié votre petit bijou intime, c'est très joli. Par contre le fait d'avoir oublier de mettre une culotte vous expose au risque de le perdre dans la rue, attention où vous allez cela peut être très ennuyeux, à l'école par exemple.... 

 

Que répondre à cela ?

 

Même avec sa blouse blanche, sa lampe de spéléologue de minous intimes sa tête amusée ne me disait rien qui vaille, je le sentais songeur.

 

- Vous vous appelez Martine Dufour c'est bien cela ?

 

- Oui docteur.

 

- Votre marie s'appelle Jacques ?

 

- Oui mais comment le savez-vous ?

 

- Ne bougez pas, je dois passer un coup de téléphone.

 

Que le médecin me plante là avec les jambes écartées et le sexe à l'air pour aller passer un coup de téléphone ne me plaisait pas du tout. J'étais folle de rage et bien décidée à faire trois cent kilomètres pour trouver un gynéco plus sérieux et plus respectueux de ses patientes. Mon s a n g s'est glacé dans mes veines à la première minute de son appel téléphonique.

 

- Alors Jacques, c'est Paul, comment vas-tu ?

 

......

 

- Dis-moi j'ai une certaine Martine Dufour dans mon cabinet, une dame charmante avec des cheveux châtains clairs mi-longs. Est-ce que ce serait ta femme ?

 

.....

 

- C'est trop amusant comme coïncidences ! Ta soumise est très tête en l'air, elle est arrivée comblée au cabinet et à oublié de mettre une culotte.

 

La conversation m'a sciée ! Ils se connaissaient et semblaient partager les même attirances pour le BDSM. Dans un sens j'étais moins gênée mais cela ne me disait rien qui vaille. Soudain, le médecin me passe le téléphone en m'indiquant que mon Maître voulait me parler. Téléphoner cuisses écartées sexe à l'air dans ces conditions est extrêmement original !

 

- Chérie, ce médecin est un ami d'enfance et j'ai une totale confiance en lui. Tu vas donc accepter sans rechigner ce qu'il aura envie de te faire, si tu te rebelles, il a comme consigne de m'appeler après ta visite. Essayez de trouver une date pour l'inviter à dîner un soir ! M'indiqua mon mari avant de raccrocher.  

 

Très professionnel, il me retire le téléphone des mains, enfile des gants pour m'ausculter le minou en me logeant un spéculum jetable. Il fait un petit frottis puis retire le spéculum en me disant, qu'il faut qu'il contrôle mon cul de gourmande. Je suis blême mais ne peut rien dire, Maître me punirait si j'essayais de résister. Ses doigts agiles entreprennent de retirer le rosebud, comme il colle un peu je gémis lors de son retrait ce qui me vaut un petit recadrage.

 

- Ouvrez la bouche ! 

 

Par réflexe, j'ai fait ce qu'il me demandait avant de réaliser qu'il y avait un souci. Il n'a pas hésité une seconde ni ne m'a demandé mon avis pour loger mon rosebud dans la bouche. L'enfoi.... Heureusement qu'il est propre ! Après avoir lubrifié mon anus, il entreprend d'y mettre un spéculum plus gros en métal puis l'ouvre progressivement. Le coup d'oeil professionnel dure quelques instants avant qu'il se mette à forcer l'ouverture de mon anus à son maximum. Cela commence à me faire mal, mais il n'en a que faire, au contraire, il s'amuse à me branler le cul en essayant de l'ouvrir encore. Dans sa déserte médicale, je le vois attraper un pied à coulisse en affichant un sourire radieux !

 

- Avec une soumise gourmande dont le cul a une ouverture de cinq centimètres, Jacques doit bien s'amuser et ne va pas tarder à pouvoir la fister sans souci. 

 

Le gynéco sadique s'amuse comme un fou de ma déconvenue et de ses commentaires sur mon anatomie. Il referme le spéculum et le retire en me pinçant le clitoris assez durement. j'ai beau serrer les dents et les lèvres, un gémissement m'échappe.

 

- Le clitoris pincé permet de faire oublier le retrait du spéculum, c'était pour votre confort madame.

 

Tu parles Charles, pour mon confort, ce sadique profite de la situation. Je m'amuserai bien à faire glisser ma jambe des gouttières pour lui donner un coup de pieds par "accident" mais c'est trop dangereux pour mes fesses. Grrrrr !

 

- Bon, je ne peux pas vous laisser partir avec les fesses vides, vous êtes arrivée comblée vous devez repartir comblée. Le souci c'est qu'après la visite, ce petit cul ne pourra pas conserver le rosebud en bonne place, soit il va tomber, soit vous allez l'avaler. Réfléchissons un peu à ce que nous pourrions y loger. M'indique le gynéco avec un sourire pervers posé sur les lèvres. Ah oui, j'ai des échantillons de désinfectant, cela doit convenir à ce cul gourmand.

 

Plantée là pour la énième fois, je le vois aller farfouiller dans ses placards pour revenir avec une petite bombe de désinfectant qu'il désinfecte avant de me la loger dans l'anus sans le capuchon avec le gicleur qu'il laisse à l'extérieur.

 

- Tenez-le s'il vous plait, il ne faut pas qu'il tombe.

 

Que faire ? Rien à part obtempérer face à un médecin qui s'avère être un psychopathe BDSM à l'humour douteux.

 

- Tenez j'ai ça pour que vous ne perdiez pas mon petit cadeau ! M'indique le gynéco en me tendant un slip pour personne incontinentes. Avec lui au moins, vous ne le perdrez pas mais faites attention quand vous devrez vous asseoir. Bien, maintenant nous allons nous occuper de vos mamelles.

 

Après m'avoir fait passer cette culotte dernier cri dans la laideur, c'est avec le même sourire sadique posé sur les lèvres qu'il entreprend d'ausculter mes seins sérieusement. Cette palpation mammaire se termine comme je le présentais par le pincement de mes tétons qu'il fait rouler et étire comme s'il voulait me traire. Mes mains sont si serrées sur le fauteuil que mes ongles doivent le massacrer, tant pis pour lui.

 

- Bien, il n'y a rien à signaler dans vos réceptacles ni dans vos mamelles, nous pourrions un soir les faire doubler de volume pour s'amuser un peu, mais pour l'instant vous pouvez vous rhabiller.

 

Le choix des mots n'a rien de professionnel, il s'amuse de moi comme un Maître sur la retenue, je sens bien qu'il doit pouvoir faire bien pire dans ses actes. Faire doubler mes seins de volume, quelle idée, c'est un truc à ressembler à une vache ! Lorsque j'ai terminé de m'habiller je lui tends ma carte sécu qu'il insère dans son sabot avant de tapoter sur le clavier de son ordinateur. Avec ce que j'ai dans l'anus je n'ose pas m'asseoir et reste debout devant son bureau.

 

- L'invitation à dîner, je l'indique sur la carte sécu où je dois appeler Jacques ?  

 

- Demain soir vers 20 heures, est-ce que cela vous convient ?

 

- C'est parfait, je prendrai quelques outils médicaux, pour le reste je subodore que vous avez ce qu'il vous faut à la maison. Me répond le gynéco.

 

.......................

 

Si marcher avec un rosebud dans les fesses n'est pas un souci, avec une bombe de désinfectant, c'est bien différent. Cette saloperie ne demande qu'à partir, heureusement qu'il m'adonné cette couche culotte, sans quoi, je ne serai pas arrivée jusqu'à la porte du cabinet médical. L'envie de la retirer me titille mais je suis certaine qu'il va faire un compte rendu à mon Maître, que dois-je faire ? Reporter la visite de la galerie marchande c'est sûr ! 

 

Je monte avec précaution dans la voiture et pose mon fessier délicatement sur le siège. La bombe remonte doucement dans mon anatomie, la gêne est supportable. Au moment ou je finis de m'asseoir, le gicleur de la bombe se met à pulser le désinfectant entre mes fesses. L'enfoi.... Soit je la retire tout de suite, soit je roule comme ça. Oui mais se retirer un truc comme ça du cul en centre ville, c'est coquasse ! Je le hais ! Le siège, coucher un peu le siège ! Assise sur une fesse j'attends qu'il n'y ait personne proche de la voiture. Ma robe prestement relevée, j'écarte la couche pour extraire son machin à la noix avec un grand soulagement. Tant pis si je prends une fessée.

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Ecritures Sensuelles
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