Jeudi 2 mai 4 02 /05 /Mai 12:51

Lope encagé au glory hole par Maîtresse Sophie

« Je cherche une Maîtresse pour faire de moi un esclave sexuel, une lope, un trou à bite » c'est ce qu'Alexandre, dit trav-maso, écrivait dans son annonce. LE PAUVRE !

Il n'est pas rare de voir ce type d'annonce sur des sites de rencontre, publiées bien souvent par des TV en manque ou des soumis qui fantasment. Si très souvent elles font fuir les Maîtresses d'une certaine classe, elles offrent toutefois des perspectives économiques à ceux et celles désirant en faire un bisness.

Le jour ou trav-maso a reçu un message de Maîtresse Sophie il n'en croyait pas ses yeux. Méfiant au départ, il voulut savoir si elle était vénale mais elle sut le rassurer en lui indiquant qu'elle ne demandait pas d'argent, par contre qu'elle était une Maîtresse gynarchique impitoyable. Le rendez-vous fut pris dans une brasserie où il devait se présenter avec un beau bouquet de rose rouge à la main, en guise de signe de reconnaissance.

Si Maîtresse Sophie lui avait donné rendez-vous dans une brasserie, ce n'est pas un hasard, elle ne désirait pas lui indiquer son adresse car ses projets d'une perversité rare imposaient une certaine prudence. Après une demi-heure de métro parisien où il devait la suivre à distance, elle le fit entrer dans son donjon puis lui ordonna de se mettre entièrement nu avant d'entrer dans une cage d'esclave. Si trav-maso convaincu d'avoir trouvé sa reine était heureux comme un prince, il s'étonna toutefois de l'épaisseur des barreaux de la cage et du cadenas de très bonne taille. Il ne risquait pas de s'échapper.

En guise de pot de bienvenue, elle lui passa une gamelle à travers les barreaux puis vida une bouteille d'eau contenant un mélange réalisé par un ami pharmacien. Trav-maso but donc à la gamelle comme un chien un mélange de drogues, d'excitants puis un produit affectant la mémoire et donnant soif. Esclave sexuel il voulait être, esclave sexuel il allait devenir mais pas comme il l'entendait....

Pour dire les choses clairement, Alexandre dit trav-maso rêvait d'être féminisé de force et enculé par plusieurs mecs bien montés pendant les soirées qu'il avait de libres. En clair, il cherchait son plaisir et non pas à être esclave !

Lope encagé au glory hole par Maîtresse Après l'avoir drogué, Maîtresse Sophie commença par le déphaser en affectant son sommeil. Réveillé toutes les deux heures par Maîtresse ou son assistante, une brune cruelle et sadique, trav-maso commença par perdre toute notion d'heure. Il dut mettre une cage de chasteté et lécher le cul pas très propre de l'assistante ce qui lui posa quelques problèmes vite réglés par Maîtresse Sophie avec un appareil électrique dont les décharges sont dès plus mordantes. Soit disant pour préparer son « trou à bite », elles l'obligèrent à se mettre à quatre pattes dans sa cage les fesses contre les barreaux. Maintenu dans cette position par une chaîne, il offrit sans aucune résistance son anus à sa Maîtresse qui lui colla deux suppos de drogue supplémentaire et un plug de bonne taille.

Entre les drogues et ce traitement BDSM, en 24 heures, trav-maso devenait réellement une lope sans force. Conduit aux toilettes pour ne pas dire soutenu par les filles, il put se libérer et du subir un lavement puis une douche éclair assis dans une baignoire pour qu'il ne tombe pas. A nouveau comblé par un plug de bonne taille, trav-maso pu rejoindre sa cage à quatre pattes guidé comme un « brave toutou ». Le cumul des drogues, de la cage de chasteté et l'environnement particulier dans lequel il était, trav-maso commença à fantasmer puis à délirer en attendant la soi-disant soirée où il allait être offert en bonne petite chienne à baiser.

Lope encagé au glory hole par Maîtresse Le lendemain et après trois réelles heures de sommeil, la chienne fut cagoulée et conduite dans un glory hole pour ses premières pipes. Lorsque une première bite passa à travers le trou Maîtresse Sophie insista sur le fait qu'il ne devait pas la décevoir. Il s'appliqua donc à faire ce qu'il lui était demandé mais sans réelle expérience en la matière, hormis quelques amusements avec un gay rencontré une paire de fois. Maîtresse Sophie du intervenir et le guider pour qu'il soit rentable, car au rythme où il allait, les clients ne risquaient pas de jouir, à moins qu'ils soient en manque et éjaculateurs précoce ! Les deux soumis convoqués pour la circonstance eurent donc une pipe à l'œil sans voir qui la leur faisait mais qu'ils jugèrent à peine satisfaisante.

Trav-maso se fit engueuler copieusement et reçu quelques coups de martinet mais à ses réactions de défense et ses cris de bête qu'on égorge, Maîtresse Sophie jugea qu'il avait encore besoin de 24 heures de « formation » avant de pourvoir être rentable. A tour de rôle avec son assistante, elles lui firent tailler des pipes gloutonnes à leur gode-ceinture à travers la cage devenue son lieu de résidence.

LE LENDEMAIN

Après le lavement et la douche, trav-maso fut conduit dans un club mixte particulier. Coupé en deux zones, la zone gay et la zone hétéro, ce club contenait une pièce particulière aménagée pour le service sexuel pas toujours volontaire....

D'un côté de la pièce, un glory hole permettant aux clients de passer leur bite à travers un mur. De l'autre côté du mur, une mentonnière et des sangles maintenaient la tête du suceur ou de la suceuse ne pouvant plus se rétracter une fois entravé. De l'autre côté de cette pièce très étroite, un gros trou fait dans la cloison permettait d'y passer les fesses du même esclave puis de les bloquer par une barre en fer cadenassable. Coincé entre ces deux murs, trav-maso aux lèvres maquillées d'un gros rouge désirant être un esclave sexuel et un trou à bite allait être servi !

Au cas où un client hétéro aurait l'idée de regarder par le trou du glory hole, la zone était volontairement sombre et la pièce où se trouvait trav-maso dans le noir total. Côté hétéro il était indiqué au dessus du trou « la pipe à 5 euros pour lui permettre de prendre un verre ». Un savant jeu de câbles permettait aux clients de tirer sur des pinces à seins japonaises posées sur les tétons de trav-maso si la pipe n'était pas satisfaisante. Cette nuit là, la bouche de trav-maso rapporta 80 euros à Maîtresse Sophie.

Côté gay, la carte donnée à l'entrée prévoyait une boisson et un cul à baiser ce qui donnait un certain charme au club nous en conviendrons. Négocié 100 euros la soirée, le cul de trav-maso fut visité 18 fois par des membres parfois très brutaux. En fin de nuit, pour l'after des gays, trav-maso totalement épuisé servit de latrine dans les douches histoire de satisfaire les fêtards amateurs d'uro. La lope fut quasiment portée jusqu'au coffre de la voiture de Maîtresse Sophie tant elle étant vidée d'énergie.

Enfermé dans sa cage avec son éternelle gamelle de drogue, il trouva ce soir là le sommeil immédiatement.

EPILOGUE

Trav-maso trouva donc chez Maîtresse Sophie la réalisation de ses fantasmes : être un esclave sexuel et des trous à bite. La problématique majeure est qu'il perdit son emploi, ses comptes bancaires et sa maison furent saisis sans même qu'il ne le sache. Il essaya bien de se révolter mais un esclave n'a qu'un droit : tout accepter ou mourir dans d'atroces souffrances en étant livré dans une soirée pour une Snuff movies, où les places s'arrachent à prix d'or pour assister à la mise à mort d'une soumise ou d'un soumis.

La première révolte de trav-maso complètement abruti par les drogues fut vite réglée par une séance de fouet particulièrement hard dont on peut trouver la vidéo vendue sur le net. Sa deuxième révolte fut plus ennuyeuse pour le club et signa son arrêt de mort quand il mordit un client très sale.

La Snuff movies le conduisant à la mort lui « offrit » deux avantages. Le premier c'est de connaître le sub espace et de prendre un plaisir fou quelques minutes malgré les horribles douleurs. Suspendu nu par les bras et par le cou puis offert sans cage de chasteté à des clients particulièrement sadique, il put à loisir se tordre et hurler librement. La deuxième fut la libération par la fin de son calvaire quand son cœur s'arrêta de battre.

Message à l'attention de ceux qui écrivent « je veux être un esclave sexuel, une lope, un trou à bite » : attention, le mot esclave est bien différent du mot « soumis ».

TSM journaliste de Fessestivites.com

Les photos sont ici

http://www.fessestivites.com/fre/Article/15_Domination-feminine-Gynarchie-SM-chastete-camisole/albums/4288_Lope-encage-au-glory-hole-par-Maitresse-Sophie.html

La vidéo de son apprentissage est ici

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/7_BDSM-homme-soumis-Gynarchie-SM/2840_Lope-encage-au-glory-hole-par-Maitresse-Sophie.html

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Commentaires

tres jolie histoire, meme ci cela n'es que du fantasmes , on a plaisir a croire que cela es vrais, beaucoup de soumis t'elle que moi , aimerais realisé ce genre de fantasme, malgré les penetration multiple que j'ai deja recue , je vois mal le faite d'etre attaché et ainsi offert a toute les queues, et en ce qui concerne le smuff movie, il me semble que cela reste du folclore et rien d'autre, en tt cas merci de m'avoir fait revé.

commentaire n° :1 posté par : dupont le: 15/10/2014 à 12h05
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