Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 17:21

Le bousculer pour lui faire avouer et le dominer

Le bousculer pour lui faire avouer et le dominer par la suite

Telle a commencé la relation BDSM dans leur couple. Monsieur est devenu « soumise » pour sauver leur mariage.

La dispute a éclaté quand Anna a découvert ses collants déchirés un samedi soir, juste avant d’aller en club pour danser jusqu’à l’aube. Cela faisait plusieurs fois qu’elle constatait que ses vêtements n’étaient pas rangés comme d’habitude, que certains étaient abîmés alors qu’elle les avait portés qu’une fois pour certains.

- Mais putain, à quoi tu joues avec mes fringues ?

- Pardon ?

- Ne fais pas l’innocent, ces bas étaient neufs ! Crie Anna en lui faisant voir la paire qu’elle s’était achetée en prévision de la soirée.

- J’en sais rien moi ! Pourquoi tu m’agresses comme ça ?

- Ah tu veux jouer à ça ! Ok, je reviens !

Deux minutes plus tard, Anne revient avec un soutien-gorge ayant une bretelle en partie déchirée et une robe avec la fermeture éclair cassée qu’elle lui jette à la figure.

- Et ces fringues abîmées, c’est quoi ?

- J’en sais rien moi !

- OK, alors soit tu joues avec et te travesti, soit tu me trompes et prêtes mes fringues à une pouffiasse qui n’a pas de fric pour s’en acheter !

- Je ne comprends pas chéri, vraiment ! Répond Sam se retrouvant dans une situation délicate.

- Nous allons faire simple, comme nous n’avons pas de femme de ménage, c’est soit toi, soit une salope car mes fringues je les range avec soin et ne les abîme pas. Ton silence est un aveu, en clair tu me trompes. Lundi, je demande le divorce ! Hurle de rage Anna en faisant valser le cendrier posé sur la table avant de s’enfuir en larmes dans leur chambre.

Sam est très mal ! Comment lui avouer qu’il lui arrive le mercredi de se travestir avec les vêtements de sa femme pour s’accorder des moments de plaisir solitaires ? Ne sachant que faire, il reste assis sur le canapé. Quelques minutes plus tard, Anna arrive avec une valise et un gros sac. Elle lui annonce qu’elle le quitte et va aller vivre chez sa mère, que c’est fini entre eux, que....

- C’est moi, ça va !

- Ca va quoi ?

- C’est moi qui les ait abîmés.

- Je ne te crois pas ! Répond Anna en continuant de réunir quelques affaires avec la ferme intension de le quitter.

- C’est moi, ça va ! Le mercredi je réalise seul quelques délires. Je ne t’ai jamais trompée, je te le jure ! Excuse-moi ma chérie, je t’aime calme-toi.

- Me calmer ? Tu rêves ! Poursuit Anna dans sa colère en fermant son dernier sac.

- Ne parts pas, je te jure que c’est moi, que tu te trompes, que je ne t’ai jamais trompée ! Répond Sam en venant vers elle les bras grands ouverts.

Elle sent bien qu’il est gêné mais doute quand même qu’il se travestisse.

- Ok, mets les fringues qui sont là, je veux te voir te travestir ! Lui répond Anna en lui faisant face pour repousser ses mains tendues.

- Je ne peux pas, c’est trop gênant ! Répond Sam dans un état de gêne indescriptible.

- Ben voyons, la belle excuse. Moi j’ai toujours fait tout ce que tu voulais au lit et toi tu n’es même pas capable pour sauver notre couple de me faire voir tes petits jeux ? Ca va, j’ai compris, tu préfères ta pouffiasse que moi. Dis-le ce sera plus simple ! Conclue Anna bien décidée à partir en ouvrant la porte de leur appartement.

- STOP arrête ! Hurle Sam en repoussant la porte, ok, je vais le faire.

Il retire aussitôt son tee-shirt, envoie ses chaussures valser puis entreprend de retirer son pantalon. Dubitative, Anna le regarde se dévêtir sans lâcher la poignet de la porte. Sam essaye d’aller au plus vite pour qu’elle ne parte pas, sans elle, la vie n’aurait plus de charme. Au diable la honte, il va se travestir devant quelqu’un pour la première fois de sa vie. C’est encore plus gênant pour lui de le faire devant sa femme même s’il a beaucoup fantasmé sur une Maîtresse qui l’obligerait à se féminiser.

Une soudaine envie d’un remontant conduit Anna au buffet où elle se sert un grand verre de vodka qu’elle avale cul sec. Il ne reste plus que la robe à enfiler pour qu’il ait utilisé tout ce qu’elle lui a jeté à la figure. En le voyant faire, Anna se sert un deuxième verre qu’elle boit également cul sec.

- Je rêve ! Murmure Anna déconfite. Ce n’est pas possible ! Marche un peu, fais voir comment tu es belle.

- Tu n’es pas obligée de m’humilier.

- Et toi tu n’étais pas obligé de me mentir ! De me cacher tes délires ! Je croyais que nous étions un couple libre qui assume ses fantasmes. En fait, on a assumé les miens et c’est tout. C’est un peu comme si tu m’avais trompée pendant des années. Il y a longtemps que tu fais ça ?

- Non, cela m’est venu comme ça, une envie de délirer en lisant une histoire érotique sur Fessestivites.

- Et elle parlait de quoi cette histoire érotique ?

- Je ne sais plus vraiment !

- Si tu continues de me mentir je me barre !

- Pffffff ! Tu es chiante.

- Quoi ? Hurle Anna !

- T’énerves pas, s’il te plait, c’est déjà assez gênant comme ça !

- Elle parlait de quoi cette histoire érotique ?

- D’une femme dominatrice qui obligeait son mec à porter des vêtements féminins.

- Je veux la lire ! Retrouve-la !

- Je ne sais pas où elle est, il y a tellement d’histoires sur ce site que je ne vais pas la retrouver.

- Mais si tu vas la retrouver et surtout arrêter de me mentir !

Aux pieds du mur, Sam essaye d’esquiver en lui disant qu’ils vont être en retard à la boite et qu’ils auront du mal à trouver une place pour se garer. Anna lui répond qu’elle n’a plus du tout envie d’aller danser et lui demande de retrouver rapidement cette fameuse histoire. Il allume donc l’ordinateur puis se met à chercher dans la rubrique domination féminine. Il n’ose pas parler tant il est gêné et lui cède la place sur le fauteuil du bureau.

- Sert-moi un autre verre avec des glaçons s’il te plait ! Lui ordonne Anna en s’asseyant pour lire.

San se décompose soudain en pensant au commentaire qu’il a écrit sur cette histoire. Il croise les doigts en déposant le verre demandé à côté d’elle. Si elle le lit, il va être très mal.

- Je rêve où tu as écris : « ce soumis a bien de la chance d’avoir une Maîtresse comme ça » ! Indique Anna une vingtaine de minutes plus tard.

- C’était dans un moment d’égarement ma chérie. Répond Sam dans un état de décomposition avancée sur le plan psychologique.

- Sert-moi un autre verre avec des glaçons, je vais le lire une deuxième fois pour essayer de réellement tout bien comprendre !

Avec quatre verres de vodka, la retenue d’Anna s’est un peu envolée même si en fond, réside toujours le sentiment d’avoir été trompée pendant des années. Elle se lève, vient près de lui et plaque sa main entre les jambes de son mari pour lui malaxer les attributs.

- Mains dans le dos ! Aboie presque Anna quand il tente de se protéger.

Sam s’exécute et se laisse faire et la laisse surtout lui malaxer les précieuses en serrant les dents. Elle l’attrape par les cheveux et le guide vers le canapé où elle s’assoye en le guidant sur ses genoux.

- Cette Maîtresse lui donne aussi la fessée quand son soumis n’est pas sage. Et là, comme tu as été très vilain, tu vas en recevoir une ! Lui indique Anna en l’obligeant à s’allonger sur ses genoux.

Ni une ni deux, elle soulève sa robe, tire le collant sans précaution et déjà en mauvais état pour dévoiler les fesses de son mari. Son « non s’il te plait » n’est pas écouté, la première claque s’abat fortement sur son postérieur. Il se met à gémir aux suivantes données d’une main bien décidée. Si Anna ne se voyait pas Maîtresse, donner une réelle fessée punitive à son mari soulage un peu sa colère intérieure. La vodka aidant à vivre tous ces évènements soudains, elle y prend même un certain plaisir. Ce ne sont pas les fesses écarlates de son mari gigotant dans tous les sens qui l’arrêtent, mais sa main commençant à devenir douloureuse.

- Va au coin comme dans l’histoire et vite, sinon je recommence !

Décomposé et les larmes aux yeux, Sam s’exécute sans même réfléchir, sans penser au ridicule de la situation. Anna prend également conscience de ce qu’elle vient de faire et du plaisir éprouvé malgré sa colère intérieure. Discrètement, elle insère sa main dans son pantalon et sa culotte pour constater qu’elle vraiment éprouvé beaucoup de plaisir. Mue par un impérieux besoin de continuer à s’amuser, elle retire son pantalon et sa culotte avant d’ordonner à son mari de se mettre à quatre pattes et de venir la lécher. En la voyant jambes écartées en train de se caresser, Sam s’imagine que l’orage est passé, qu’ils vont vraiment se retrouver sous la couette comme avant. Il se trompe grandement pendant qu’il titille avec conviction le clitoris de sa belle.

- Oui, hummm, mets les doigts comme j’aime ! Crie Anna en écartant encore plus les jambes pour s’offrir au plaisir.

Il faut peu de temps pour qu’il pointe son nez, Anna serre les cuisses autour de la tête de son mari, la plaque contre son sexe au moment fatidique avant de s’envoler bruyamment dans un orgasme gigantesque la foudroyant sur place. Quelques instants plus tard, prise de pitié pour son mari, elle desserre les cuisses et se penche en avant pour l’embrasser.

- Mais tu bandes comme un âne ! Mais ça te plait d’être soumis et travesti ! Viens avec moi j’ai encore envie.

Arrivés dans leur chambre, elle arrache presque les vêtements de Sam, lui passe une chemise de nuit avant de l’attirer sur leur lit.

- Baise-moi, j’ai trop envie !

Lovés dans les bras l’un de l’autre, les corps fusionnent tout autant que les coeurs rassurés. La jouissance de Sam déclenche celle d’Anna, qui, pour la première fois, donne deux gifles à son mari en lui indiquant « je ne t’ai pas autorisé à t’arrêter, encore ». Et pour la première fois, Sam parvient à faire « un deuxième tour » sans débander.

- Dis-moi, cela te plait vraiment toi d’être travesti et dominé. Tu ne m’as jamais baisée comme ça. A partir de maintenant, je veux que tu m’appelles Maîtresse et je vais m’occuper de tes tenues. Garde ma chemise de nuit pour dormir, je te l’offre mon chéri. Par contre demain, et en chemise de nuit, je veux que tu m’apportes mon café au lit et me gâtes comme une reine.

- Oui mon amour ! Répond Sam tout ému et heureux.

- Cela aurait été tellement plus simple que tu me parles plus tôt de tes délires et fantasmes. Ah oui, un truc aussi.

- Oui mon amour !

- Dans l’histoire, ils parlent d’une cage de chasteté. Je ne sais pas vraiment ce que c’est mais je veux que tu en achètes une. On te la mettra le mercredi. Comme ça, au lieu de te branler, tu corrigeras les copies de tes élèves.

- Ai-je le choix ?

- Non !

Ainsi démarre une nouvelle vie de couple, et beaucoup de bonheur pour Sam qui aurait pu, bien plutôt, parler à sa femme de ses fantasmes.

TSM