Lundi 30 mai 1 30 /05 /Mai 18:36

La nuit d’une chienne soumise

Nous sommes vendredi, ils vont enfin pouvoir passer un week-end tous les deux. Un week-end en amoureux fait de tendresse et de BDSM parfois hard. La belle se présente à 18 heures après sa journée de travail, elle est venue directement pour gagner du temps, pour être le plus tôt possible avec lui.

A peine arrivée, elle sent qu’il se passe quelque chose, se demande si son Maître va bien ou s’il a quelque chose à lui reprocher, reproche signifierait déception et punition. Elle redoute bien plus la déception que les punitions même si celles de son Maître peuvent être très sévères quand il ne joue pas.

- Reste dehors et mets-toi nue !

L’ordre est sec, presque dur, elle est surprise, se demande vraiment ce qu’il se passe, ce qu’elle a pu faire pour être accueillie ainsi. En d’autres temps, ils s’enlacent, se font un baiser tendre, là, il n’a pas bougé de sa chaise et la regarde avec un regard froid. Charmelia hésite et ne sait que faire.

- J’ai dit « à poil devant la porte »

Dépitée et presque les larmes aux yeux elle s’exécute, pour la première fois elle est presque gênée d’être nue devant lui malgré tout ce qu’ils ont vécus ensembles. Il la regarde et ne dit rien, son silence est pesant, horrible, Charmelia ne sait plus que faire de ses mains moites.

- Position 6 !

A même le carrelage froid de la terrasse elle s’assoie nue sur ses jambes en essayant de se positionner au mieux dans cette fameuse position si connue dans le monde du BDSM. N’y pouvant plus elle lève les yeux pour essayer de comprendre juste au moment où il s’approche d’elle. La gifle part immédiatement accompagnée d’une voix forte lui rappelant « position 6 ». Charmelia est dépitée.

Le Maître, l’élu de son coeur sort de sa poche son collier et le lui pose avant d’y accrocher une laisse. Il tire dessus pour la faire entrer dans la maison en lui intimant l’ordre de rester à quatre pattes comme une chienne. D’un doigt il désigne un tapis posé près de sa chaise en lui ordonnant « couchée » avec le même timbre de voix.

- Tu seras une vraie chienne ce soir, tu n’as pas le droit de parler, une chienne ne parle pas. Trouve des moyens de communication à la façon des chiennes, gratte la porte si tu as envie de pisser. Si tu as soif, tire la langue, débrouille-toi pour le reste. Chaque parole humaine que tu diras sera sanctionnée d’un coup de fouet punitif, tu es prévenue. Tu grattes la porte si tu as envie de pisser

Sans lui accorder la moindre attention, Maître TSM se sert un verre d’apéritif, puis téléphone à un ami. Elle ne sait plus que faire, que penser, elle est déstabilisée. Soudain, au milieu de la conversation il dépose une assiette à soupe sur le sol, son contenu est rouge foncé, il y a des morceaux de pain qui flottent. Comprenant que c’est pour elle, et pour éviter de le mettre plus en colère, elle s’approche et lape le contenu. Ses papilles gustatives sont soudain un indicateur salutaire, c’est son vin préféré. Il n’aurait pas choisi celui-là s’il avait décidé de la punir.

Des larmes mouillent ses yeux de bonheur, elle lui adresse un baiser du bout des lèvres, faute qu’il ne relève pas même si une chienne ne fait pas des bisous. Après avoir raccroché le téléphone, il se saisit de la laisse pour la conduire à la salle de bain qu’il désigne d’un doigt. Si le message est clair, elle ne sait pas quelle posture prendre, il ne fait rien pour l’aider et la laisse dans l’embarras. Entre à quatre pattes et débout, il y a la position assise, c’est celle qu’elle prend dans la baignoire. En le voyant régler la température de l’eau, Charmelia en déduit que la position attendue doit être la bonne sans quoi, le martinet posé sur le lavabo aurait déjà sifflé.

- Tu pues, je ne sais pas où tu as traîné aujourd’hui, il faudra que je te fasse « pucer » par le vétérinaire au cas où tu t’égares. Lui indique TSM en entreprenant de la laver.

La douche de la « chienne » se déroule sans souci, tout comme la sécher. Il raccroche la laisse et le collier à son cou pour la guider dans la maison jusqu’aux pieds du canapé où un plaid est étalé sur le carrelage. Abandonnée là, Charmelia prend alors conscience que la maison est limpide, il n’y a aucune poussière par terre, le carrelage est parfaitement propre, aucune trace de pas ne vient altérer l’hygiène nécessaire à sa nouvelle condition. Il revient soudain avec un plateau télé, un repas léger semble t-il et un verre d’eau. Avant de s’asseoir il pose deux gamelles à côté d’elle, l’une avec du hachis Parmentier, l’autre avec du vin et du pain dans l’assiette. Pendant tout le repas, aucun mot n’est échangé. Sachant que chacune de ses paroles serait sanctionnée d’un coup de fouet punitif, elle n’ose pas s’aventurer à essayer de dialoguer. Elle mange donc comme elle le peut en essayant de ne pas trop salir son charmant minois.

Après s’être essuyée les lèvres et le visage à même le plaid, en manque de contact, Charmelia tente un rapprochement comme le ferait une chienne en posant son visage sur les genoux de son Maître. La caresse immédiate lui réchauffe le coeur, même si c’est une caresse du type que l’on fait aux animaux. Blottie contre ses jambes, elle regarde la télévision sans vraiment suivre le programme, son esprit est ailleurs, son esprit est câlin. Soudain, il se lève et tire sur sa laisse pour la guider dehors. Elle suit à quatre pattes, sa condition du jour est entrée en son âme de soumise. Conduite au gazon, l’ordre d’uriner attendu n’arrive pas, elle s’en étonne un instant avant de comprendre qu’on ne parle pas ainsi à une chienne, elle profite naturellement d’être dehors pour faire ses besoins. Après tout ce qu’ils ont vécu, cela ne la gêne plus, elle profite de cet instant pour faire son petit pipi à quatre pattes les jambes le plus écartées possibles, une chienne n’utilise pas un petit bout de papier toilette pour s’essuyer. La chose naturelle faite, elle est ramenée au salon, son Maître déplace le plaid jusqu’au piano où l’attend une chaîne et un cadenas.

« NON il ne va pas me faire ça » Pense t’elle en se couchant sur le plaid désigné par un doigt.

« Si il va le faire » constate Charmelia en le voyant l’enchaîner par le cou à un des pieds du piano.

Il lui jette une couverture et tourne les talons sans un mot. Dormir par terre ne la traumatise pas, ne pas avoir de câlin si. Pas le moindre petit bisou, pas la moindre petite caresse ne vient l’accompagner pour la nuit. La lumière s’éteint sur son désespoir affectif, les larmes lui montent aux yeux en l’entendant se coucher sans elle. Perdue au milieu de ses sombres pensées, il lui faut plus d’une heure pour trouver le sommeil.

Soudain, quelque chose ou plutôt quelqu’un la tire par le pied et la découvre. Soulevée et positionnée à quatre pattes, elle sent une main fouiller son intimité. Un doigt l’humidifie, il est rapidement remplacé par un sexe dur comme de la pierre. Il cherche la faille un instant, la trouve et s’y engouffre sans plus de précaution. Son va et vient en elle devient rapidement sauvage, la possession quasiment bestiale lui fait tourner la tête. Ses sens primaires l’emmènent à s’offrir plus encore au mâle conquérant. La tête posée à même le carrelage froid, elle s’offre aux coups de butoir en en savourant la totale possession qu’ils lui imposent. Son corps se met à trembler, la jouissance arrive comme la vague d’un tsunami qui lamine tout sur son passage. La chienne humaine n’arrive pas à taire ses cris rauques quand son corps lui échappe. Rapidement poussée, presque rejetée, elle prend ensuite le sentiment de solitude de plein fouet. Aucun câlin, aucun bisou, aucune caresse ne viennent en guise de conclusion comme son Maître le fait toujours après l’amour.

Abandonnée sans un mot, triste mais repue, elle ne tarde pas à se rendormir. Ses rêves sont peuplés de pensés folles d’un autre monde. Soudain, le mâle revient à la charge, la possède de la même manière en l’arrachant aux bras de Morphée. Trois heures se sont écoulées mais elle n’en a pas conscience quand elle se fait à nouveau « couvrir ».

Sans réfléchir, totalement animale dans l’âme, elle se donne en tendant les reins jusqu’à l’extase totale, celle qui vous laisse vide de toute énergie et à l’état de légume. A nouveau abandonnée, elle ne réfléchit plus, elle prend ce qui arrive comme ça arrive, là il est l’heure de DORMIR, elle veut dormir !

Pour la troisième fois de la nuit, elle est tirée de son sommeil, sauf que cette fois, ce n’est pas pour être prise par le mâle. Elle est libérée et portée à même l’épaule de son Maître jusqu’à la chambre où il la dépose sur le lit avec douceur. Sur la table de nuit il y a une rose dans un verre à champagne et un café chaud parfumant la pièce.

- Ecarte les jambes et tais-toi !

Et là, avec une infinie douceur, Maître TSM se met à lutiner la perle émergeant doucement de son écrin entre les cuisses délicieusement fuselées. Puis il fait une pause pour lui dire « Je t’aime et j’ai envie de toi ».

Les aventures « linguistiques » ne durent donc pas, et pour cause ! S’étant contenu toute la nuit pour aller au bout de cette aventure qu’il voulait lui faire vivre, son Maître a maintenant envie d’un vrai câlin d’amour.

Par TSM et Chamelia

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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