Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 13:24

Récit BDSM et sexe pour une femme soumise une très belle histoire d'Amour A DECOUVIR

Soumise de Maître Jean rencontré sur Fessestivites, j'ai trouvé mon équilibre entre la semaine chez moi (avec quelques webcams coquines) et les week-ends avec mon Maître. Ce qui est magique avec lui, c'est qu'il arrive encore à me surprendre, à me faire vibrer, à me rendre folle et parfois pire lol. Même si l'échangisme n'est pas dans nos aspirations, mon Maître a décidé il y a peu de me faire progresser dans ma soumission sexuelle. N'étant pas prude de nature, voir même « salope » en privée chose que j'assume, j'ai été surprise par ses idées car je suis ouverte à tout avec lui sexuellement.

Ce week-end, j'ai compris ce qu'il voulait dire par me faire progresser sexuellement ! ! !

Samedi nous avons reçu un de ses amis branché BDSM, je l'aime bien car il est respectueux et sait doser les coups tout comme me donner de belles fessée. Il arrive que mon Maître m'oblige à passer sous la table pour que je lui fasse une pipe, choque que je fais assez facilement avec des gens que j'apprécie si mon Maître me l'ordonne. J'avoue même que le petit côté « humiliant » d'être « prêtée » m'excite et qu'il m'arrive de fantasmer sur un gang band en étant attachée mais cela en reste un fantasme que je n'ai pas envie de réaliser.

La soirée était géniale, j'ai jouis comme une folle lorsque son ami m'a fessée en même temps que mon Maître jouait avec son vibro magique sur mon clito. La séance de cire sur mes fesses bien rouges était pas mal non plus...... Oui je sais, je suis une tarée mais je m'en moque, je suis heureuse, n'est-ce pas le principal ?

C'est le dimanche matin que j'ai compris ce qu'il voulait dire par me faire progresser sexuellement et là, j'avoue qu'au départ ce fut très très et encore très difficile pour moi.

- Lève-toi et va chercher nos cafés, ce matin tu vas vivre quelque chose de nouveau ! M'a indiqué mon Maître après m'avoir délivrée. (Je dors parfois attachée)

Me dire que j'allais vivre quelque chose de nouveau m'a autant réveillée qu'une perfusion de café lol ! Notre café au lit pris dans une ambiance originale puisqu'il ne voulait rien me dire, mon Maître m'a ordonnée d'aller chercher un plateau, un café avec un sucre bien remué puis un préservatif et du lubrifiant. Là j'ai commencé à me poser des questions dont les réponses n'ont pas tardée.

- Soumise, tu vas ce matin devoir prendre sur toi et me prouver que tu m'es réellement soumise. Si ta chatte m'est réservée, ce n'est pas le cas de ton cul. Tu vas donc aller réveiller mon ami avec ce plateau puis lui indiquer que s'il désire t'enculer il a ma permission. Je te veux bien soumise sexuellement, tu lui offriras ton cul comme tu le fais pour moi, tu auras même le droit de jouir. Par contre, je veux que tu me ramènes le préservatif fermé avec son sperme.

Interloquée ! J'étais interloquée, sur le cul, incapable de parler. Il a mis son doigt sur sa bouche pour me faire comprendre de me taire, m'a embrassée avec tendresse puis indiqué de m'exécuter. OUF OUF OUF ! ! ! Que faire ? Refuser ? Accepter ? Avais-je le choix ? Oui dans un sens car on a toujours le choix, non dans l'autre car en étant sa soumise, fière et heureuse de l'être, refuser me gênait. Ma fierté de soumise a pris le dessus, j'ai donc quitté la chambre bien décidée à faire ce qu'il m'était demandé. Une fois devant la porte de la chambre d'ami, ma motivation n'était plus la même du tout. Je suis restée un certain temps devant la porte, entrer dans cette chambre me semblait impossible. Dans cet univers de délire BDSM, ou tout les non-dits sont possibles, ou la vérité et les mensonges ce mêlent pour illuminer notre conscience, je suis allé puiser le courage dans mon fantasme de gang band en étant attachée puis dans le regard de mon Maître quand il est satisfait ou fier de moi. Je suis donc entrée en disant « bonjour monsieur » pour le réveiller. Un rayon de soleil perçait à travers les persiennes, ma nudité ne pouvait échapper à ses yeux encore endormi.

Oh mon dieu, que parler et dire ce que mon Maître voulait que je dise fut dur. Les mots se refusaient à sortir de ma bouche. A son sourire complice, j'ai compris qu'il savait ce que je devais dire, mais je n'y arrivais pas tellement ma gorge était nouée.

- Je crois que tu as quelque chose à me dire ! M'indiqua Julien pour m'aider mais avec un sourire coquin qui en disait long sur leur complicité.

- Si vous désirez m'enculer, mon Maître est d'accord monsieur !

- Voilà une proposition séduisante. Pendant que je prends mon café, met-toi à quatre pattes sur le lit pour me montrer ce cul qui m'est si gentiment offert.

Monter sur son lit, fut une grande étape psychologique. C'était un peu comme si je me jetais dans l'arène devant un picador bien décidé à m'achever devant deux milles spectateurs. Ma tête était chaude, brulante, mon cœur bâtait la chamade, à cet instant je me suis sentie comme une pute offerte quelle horreur. Il faut vraiment que j'aime mon Maître et lui fasse confiance pour avoir fait ça. Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, à quatre pattes le cul offert à ses yeux gourmands le temps qu'il prenne son café, j'ai éprouvé un sentiment de fierté.

Que de paradoxes ! ! ! Quand le lit a bougé, m'indiquant alors que j'allais passer à la casserole, j'ai bondi de peur. La main douce de Julien caressant mes fesses m'a apaisée au lieu de m'inquiéter. Mon Maître me manquait cruellement, j'aurai tellement aimé qu'il soit là, près de moi pour cette étape. Je me suis pétrifiée quand il mit du lubrifiant sur ma rosette peureusement contractée puis quand il effleura de son gland mes fesses en y cherchant la faille. Mon anus commençait à céder sous la pression impitoyable de sa verge bandée malgré l'étroitesse de mes petites fesses qui semblaient la refuser. Il entra difficilement son membre dur en moi sans que je ne souffre trop puis le retira doucement et le rentra à nouveau encore plus profondément puis le retira lentement et le rentra enfin en son entier. Prise, j'étais prise par un autre homme que mon Maître. Après quelques mouvements réguliers, profonds mais doux, je me suis lâchée. Si une sensation divine d'être ainsi comblée me submergea je me sentais plus honteuse que jamais d'être prise ainsi et d'y trouver tant de plaisirs.

Julien devait avoir de grosses envies car après quelques mouvements dès plus soutenus il se mit à ahaner alors qu'une marée de bonheur emplissait mon intimité. Au plus il me prenait, au plus je m'offrais à lui et me cambrait. Devant mes yeux, une image apparue, mon Maître était assis sur un sofa face à moi et me regardait. Lorsque j'ai ouvert mes yeux il n'y était pas mais pour moi c'est comme s'il y était. Ses vas et vient soutenus et l'implacable vigueur, avec laquelle il me prenait, usaient ma résistance et me sollicitaient intimement. Un plaisir odieux, malsain, loufoque, débile d'être à cet instant comme une « pute » et un « réceptacle » me fit perdre la raison. J'étais morte de honte de prendre autant de plaisir sans mon Maître et pour plaire à mon Maître j'en éprouvais aussi. Que de paradoxes !

Julien a jouis rapidement en se plaquant contre moi fortement comme s'il voulait me pourfendre. Si j'ai eu du mal à entrer dans cette chambre, à monter sur le lit à cet instant j'avoue avoir regretté que cela soit déjà terminé car mon plaisir commençait à pointer son nez.

En galant homme, Julien s'est retiré puis a déposé un baiser doux sur chacune de mes fesses avant de me faire un grand sourire silencieux. Il a su ne rien dire, ne pas user de mot pour ne pas me blesser, juste me sourire et me rendre le préservatif fermé. Lorsque je suis entrée dans la chambre de mon Maître avec le préservatif à la main, il m'a fait signe de me taire. D'une main délicate il me l'a pris des mains et m'a tendu un paquet cadeau. A son ouverture je me suis mise à pleurer, il contenait le collier de soumise que je porte aujourd'hui.

Récit rédigé par TSM Journaliste de Fessestivites.com

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 15:35

Guillaume un ABDL enlevé par deux folles qui vont lui faire vivre un calvaire ABDL

Guillaume est un jeune homme attiré depuis des années par l'ABDL. Dans son intimité, il se plait à rêver de rencontrer une nurse qui prendrait soin de lui. Pour satisfaire ses envies de pseudo contraintes d'obligations, il porte des couches la nuit et pratique un peu de self bondage ce qui le met dans des états d'excitation démesuré.

 

Il lui arrive de sortir de chez lui en couche avec une chaine et un cadenas en guise de ceinture en laissant bien sûr les clés à la maison. Savoir qu'il n'a pas d'autre choix que de faire pipi dans sa couche génère en lui des sensations divines, même dans les rayons du supermarché du coin. Pour vivre ses passions et rêves de contraintes ABDL, il s'est offert par deux fois un cadenas à combinaison géré par Fessestivites.com.

La première fois, il s'est mis en couche puis a cadenassé son pantalon de 20h à 8h le matin. Sa nuit fut courte et peuplée de songes érotiques les plus fous. La seconde fois, Guillaume a mis la barre plus haut et s'est fait de grosses sensations et frayeurs. Le cadenas fermé à 20h, il dut donc attendre jusqu'à midi le lendemain mais la nature étant ce qu'elle est, refreiner ses envies de déféquer fut difficile. Difficile mais grisant car les fesses et cuisses serrées, son épiderme était comme des capteurs sensoriels, un simple courant d'air l'enflammait. Plus d'une fois, son corps pris de contraction se révoltait mais il était parvenu à ne pas faire dans sa couche tout en se faisant de grosses peurs.

Les cadenas d'ABCplaisir c'est bien, c'est grisant, mais cela ne remplacera jamais la douceur féminine d'une nurse. Il se mit donc en recherche d'une femme sur internet pour s'occuper de lui tout en rêvant de rencontrer en même temps l'élue de son cœur. Après deux mois de recherche et de plaisir solitaire, il parvint à avoir un contact sérieux. La fille prudente lui imposa de lui donner son numéro de téléphone et d'avoir une discussion téléphonique pour faire connaissance. Karine l'appela en masqué pour ne pas se dévoiler, chose qu'il accepta de bonne grâce en comprenant la logique de prudence.

LE RENDEZ-VOUS

Le rendez-vous eu lieu un vendredi soir dans une brasserie. Vers 18 heures, en couche comme lui avait imposé Karine, Guillaume l'attendait sur la terrasse de la dite brasserie avec un bouquet de roses posé en évidence sur la table en guise de code. Ce n'est pas qu'il soit particulièrement timide, mais se présenter en couche même cachée par son pantalon devant une femme, l'intimidait énormément. Plus d'une fois il se traita de fou et faillit partir...

- Bonjour Guillaume ! Lui dit une superbe brune avec des mèches rousses presque rouges dont le sourire et le visage affichaient une sévérité naturelle, laissant paraître qu'il devrait être sage s'ils trouvaient affinités.

Lorsqu'elle attrapa une seconde chaise, Guillaume fut surpris puis atterré dans les secondes qui suivirent, en voyant une seconde fille blonde très complice venir prendre place à leur table.

- Je te présente mon amie, mon amie intime si tu vois ce que je veux dire ! Lui indiqua Karine sans être gênée d'annoncer son homosexualité.

Une heure plus tard, Guillaume parlait de lui sans aucune gêne, les filles ayant tout fait pour le mettre à l'aise. Si bien que lorsqu'elles lui proposèrent de venir chez elles pour le changer, il accepta timidement mais sans aucune méfiance. A peine arrivé dans un très coquet appartement, il dut prendre place sur un magnifique canapé en cuir et trinquer au champagne pour fêter leur rencontre. Si pour Guillaume son rêve de rencontrer l'âme sœur s'envolait, celui de rencontrer une nurse se réalisait doublement, la blonde prénommé Lucie ayant également une passion pour le nursing.

Il commença à chanceler à la seconde coupe de champagne, sa tête devint aussi lourde que ses paupières. Aidé plus que guidé par les filles, il se laissa conduire à une chambre d'enfant pour adulte jusqu'à un très grand lit à barreau. A peine étendu, ses paupières aussi lourdes que du plomb ne purent résister. Il s'endormit comme un bébé en perdant totalement conscience des réalités.

Un quart d'heure plus tard, Guillaume était vêtu comme un bébé avec une couche bien épaisse sans avoir pu apprécier que des filles s'occupent de lui à cause des drogues ajoutées généreusement dans son champagne. De solides et multiples sangles médicales l'entravaient sévèrement lui interdisant toute fuite. Ce n'est qu'au matin, lorsqu'il voulut apaiser une démangeaison, qu'il découvrit en se réveillant qu'il ne pouvait réellement bouger. Le réveil fut rude pour cet ABDL !

Il s'agita dans ses liens médicaux comme un forcené mais en vain, ce matériel médical est justement fait pour maîtriser des adultes. Il se mit donc à appeler puis à hurler ce qui ne changea rien, hormis faire monter son adrénaline et son angoisse. Bien plus tard et après cent mille questions sans réponse, les filles entrèrent dans la chambre. Comme l'on peut s'en douter, ses demandes, ses ordres puis ses suppliques pour être libéré restèrent vaines.

- Ecoute-moi bien Guillaume, soit tu te calmes soit je te castre ! Lui indiqua Karine en entrant dans l'énorme lit pour poser la main sur la couche, juste à l'endroit où cela fait mal quand on écrase ce qui est dessous.

Malgré ses suppliques maintenant désespérées rien ne se passa. Karine affichait un regard toujours aussi sévère.

- Je te fais le bilan, si tu me coupes la parole, je te castre. Comme tu l'as compris, nous sommes deux lesbiennes, nous aimons les couches et le BDSM. Nous aimerions avoir un enfant. Tu as été sélectionné parmi les tonnes de contacts que nous avons eus pour nous permettre de nous essayer, en clair, de voir si avoir un bébé est possible pour nous.

- Oui je comprends, mais pourquoi m'attacher alors que j'étais volontaire ?

- Parce que le test peut durer quelques jours et nous désirons essayer 24h sur 24h sur une durée que nous ne maitrisons pas.

- Désolé de vous ennuyer dans vos projets mais j'ai un travail, lundi il faudra que j'aille bosser.

- Lundi tu feras ce que nous déciderons que cela te plaise ou non, un bébé n'a pas d'ordre à donner.

- Allez vous faire foutre ! Hurla Guillaume furieux en se démenant comme un beau diable.

 

Un grand coup de pied dans la couche calma aussitôt ses ardeurs, un second le fit taire tant par la douleur que le souffle coupé. Lucie ravie de voir que son amie maîtrisait la situation, s'approcha avec un grand sourire et un biberon de Blédine bourré de tranquillisants et de laxatifs, Karine désirant réellement que son amie Lucie vive tous les effets d'une maternité.

Après quelques réfutations d'usage, Guillaume n'eut d'autres choix que d'abdiquer et de boire le biberon que Lucie lui donnait à travers les barreaux du lit. Dans un sursaut de désespoir, il se mit à hurler, chose que Karine n'apprécia pas tout comme le service trois pièces sous la couche qui n'amortit pas grand-chose.... Furieuse, elle alla chercher un bâillon dans leurs jouets BDSM et le lui imposa manu militari. Guillaume décomposé en relâchant sa vessie malmenée pleurait comme un bébé lorsqu'elles quittèrent la chambre.

LE SAMEDI MIDI

En guise d'apéritif, Lucie dut venir changer le bébé qui s'en rendit compte mais cette fois sans réfutation, les tranquillisants et le somnifère anéantissant la prise de conscience des réalités. Son cul merdeux fut lavé et photographié sous tous les angles par Karine, une nouvelle couche fut posée. Lucie prit place dans le lit contre le « bébé » afin de s'adonner aux plaisirs des mamans qui donnent le biberon à leur enfant. La problématique et la chance de Guillaume, c'est qu'étant dans les « vapes » il avala de travers et se mit à vomir sur Lucie.

- Dégueulasse ! hurla Lucie en lui donnant des baffes en guise de réconfort.

- Ca cela fait partie des joies des mamans. Lui indiqua alors Karine avec un petit sourire en coin.

- Cela t'amuse toi qu'il ait vomi sur moi et qu'il se cague dessus ?

- Non cela ne m'amuse pas du tout, c'est écœurant, tu pues et il pue mais le pire c'est que tu vas tout nettoyer, car prendre un bébé c'était ton idée.

- Salope ! Hurla Lucie folle de rage.

- Tu as rendez-vous avec la canne anglaise dans trente minutes. Répondit Karine avec une voix calme, froide, posée que Lucie interpréta clairement. Tu me nettoies tout ça et surtout sans le détacher, n'oublie pas ton rendez-vous.

EPILOGUE

Trente minutes plus tard, Lucie s'allongea nue sur le banc à fessée avec des larmes dans les yeux pour y être solidement entravée. La punition fut à la hauteur de l'insulte, les six lettres du mot « salope » furent transformées en soixante coups de cannes très appuyés que Lucie n'est pas prête d'oublier.

Guillaume fut libéré après cette explication très claire :

« Pendant que tu dormais, j'ai pris ton sac et tes clés pour aller chez toi. J'ai assez de photos et d'informations pour te pourrir la vie et te faire perdre ton travail. Sur les photos on te voit vêtu en bébé, le cul plein de merde et en train de boire le biberon. A cela se rajoute que j'ai pris pas mal de photos de tes petits jouets et quelques-unes sur ton ordinateur, j'ai vue que tu ne t'ennuie pas quand tu es tout seul gros cochon. Si tu nous cherches des ennuies, je vais te pourrir la vie, à cela rajoute que raconter aux flics que tu aimes chier dans ta couche va les faire rire.... et te discréditer. En clair si tu nous oublies tu n'entendras jamais parler de nous. Si tu nous cherches des noises et je te pourris la vie car tu n'as aucune preuves de ce qu'il vient de t'arriver »

Guillaume s'est remis de cette aventure, il lui arrive même d'avoir envie de les revoir mais le pseudo de Karine n'existe plus.

TSM journaliste de fessestivites.com


La vidéo de Guillaume un ABDL enlevé par deux folles est ICI

https://fessestivites.com/media/6018


 

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : ABDL & plaisir
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Lundi 26 novembre 1 26 /11 /Nov 15:34

Soumise No limit sans saferword du SM total pour une soumise à en perdre la raison Cette histoire est 100% véridique

ou

Notre histoire d'Amour SM

BDSM no limit d'amour SM

Cette histoire est réelle et celle d'une soumis qui s'est offerte en no limit sans saferword à son Maître en qui elle a une confiance absolue. Les photos et la vidéo permettront au lecteur de se convaincre de la véracité de cette histoire que les auteurs vivent dans leur façon de vivre qu'ils appellent un Art de vie.

PREAMBULE :

Maître TSM et soumise Kioki-san se sont rencontrés en septembre 2011 lors d'un pique-nique de rencontre organisé par fessestivites.com De cette simple rencontre entre adeptes du SM est née une envie d'aller plus loin et de construire une véritable relation de vie SM. Quatre mois plus tard, pour Noël il lui offrait un collier de soumise, un cadeau grandement apprécié ayant fait pleuré Soumise Kioki-san qui après des années de recherche d'un Maître sérieux n'en croyait pas ses yeux mouillées de bonheur.

Une confiance mutuelle totale s'étant installée, Maître TSM propose le 9 juin 2012 à soumise Kioki-san de fonctionner sans limite ou restriction et sans saferword. Si les mots « non » et « stop » existent toujours dans le vocabulaire de soumise Kioki-san, Maître TSM est devenu le Maître absolu ayant tout pouvoir sur son corps, son âme et sa vie.

PRECISIONS : Maître TSM est un Maître respectueux et ultra vigilant pour la sécurité de sa soumise tout comme de son bien être, ce n'est donc pas une histoire de fou mais bien d'Amour SM. Kioki-san n'est pas la seule soumise à s'être offerte ainsi à Maître TSM, Soumise xxxxx a fait la même chose le 21 juin 2012.

Cette histoire de vie réelle est écrite par Maître TSM et Soumise Kioki-san. Ils exposent ensembles leurs émotions et leurs sentiments afin de partager ce bonheur avec les lecteurs.

Le mot Soumise écrit avec un S majuscule est un choix de Maître TSM car il estime que ses Soumises le méritent de par leur investissement total dans cette relation et pour la confiance qu'elles lui ont accordé.

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Les sentiments de Maître TSM

Détenir tous les pouvoirs et disposer à sa guise du corps, de l'âme et de la vie d'une personne est grisant. Si cela est extrêmement jouissif de pouvoir jouer avec son corps, le fouetter et en abuser sexuellement engage également un degré de responsabilité morale titanesque. Dans ce type de relation, il n'y a pas que le plaisir égoïste du Maître mais un réel engagement de vie. Certes je décide de TOUT et je fais ce que je veux d'elle quand je le veux mais je veille à son bonheur, à son épanouissement et à bien d'autres choses dans la vie conventionnelle comme un père avec son enfant, comme un mari avec sa femme, comme un Maître avec sa soumise. Voilà pourquoi j'affirme que cette relation est grisante mais qu'elle engage également un degré de responsabilité morale titanesque.

Sentir vibrer son corps, sa peur, la voir ruer sous les coups sans qu'elle ne puisse s'en soustraire est grisant tout comme l'attraper par les pieds quand elle dort pour la prendre sans ménagement si une envie me prend. J'aime la voir se débattre dans ses liens et la pousser dans son masochisme pour la conduire au plaisir SM et parfois jusqu'à la jouissance, jouissance qu'elle a parfois au pluriel. Lorsqu'elle revient sur le « plancher des vaches » parfois en pleurant après ses jouissances extrêmes en me serrant dans ses bras, c'est un pur moment de bonheur.

LA PREMIERE FOIS EN NO LIMIT

Même si est de tradition qu'une soumise serve son Maître, j'ai tenu à servir l'apéritif pendant que nous discutions pour qu'elle se sente dégagée de mon emprise psychologique. J'avais déposé les fouets et cannes anglaises sur la table pour qu'elle les voit avant de me répondre « Oui Maître, je me donne à vous en no limit et sans saferword ». Elle m'avait déjà répondu « oui » lorsque nous en avions parlé mais l'excitation lors d'une discussion est une chose mais lorsque l'on est aux pieds du mur...... Soumise Kioki-sans n'a pas hésité une seconde quand elle a été aux pieds du mur ! J'étais si troublé par ce don et sa confiance que mes yeux mouillaient de bonheur je l'avoue sans aucune honte.

La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes font prendre conscience de la réalité de la possession. Histoire de l'emmener progressivement dans ses retranchements tout en lui faisant comprendre que je prenais bel et bien son corps et son âme en main, j'ai commencé par lui imposer un lavement sérieux afin de fonctionner dans de bonnes conditions d'hygiène pour les surprises que je lui avais préparées. Lorsqu'elle s'est présentée nue et propre à moi, je l'ai aveuglée avec un grand bandage médical me permettant d'affecter également sensiblement son ouïe. Avec deux sens affectés, ses sensations se sont démultipliées. Entravée sur le banc à fessée, elle m'offrait son fessier et c'est là que la première surprise est arrivée. En guise de fessée, Soumise Kioki-san s'est vue administrer un lavement d'un litre et demi d'eau avec des promesses de représailles sévères si elle avait des fuites. Pendant qu'elle se « remplissait » en geignant, histoire de la déstabiliser la cire chaude de cinq chauffes plat s'écoulait sur son dos et ses fesses. La cire touchant la peau la faisait sursauter mais elle serrait rapidement les fesses pour ne pas avoir de fuite. Dandinements forts agréables pour mes yeux gourmands.......

Après avoir joué avec de la bougie, comme chacun sait il faut retirer la cire mais il y a plusieurs façons de procéder. Soit avec un couteau, soit avec des instruments du type cravache martinet, canne anglaise..... mon choix s'est orienté vers ces instruments que j'affectionne particulièrement. La musique bien rythmée d'un CD me donnant le tempo, son corps toujours branché au bocal à lavement devint pour moi une batterie dont j'explorais les sonorités de bon cœur. Je ne vous cacherai pas que j'ai éprouvé grand plaisir à la faire sursauter en taquinant les endroits les plus sensibles ou en appuyant quelques coups sur d'autres zones plus « habituées ». Une bonne heure plus tard, c'est avec quelques marques sur le corps que Soumise Kioki-san fut conduite fesses serrées aux toilettes pour une vidange très gênante aussi sonore que laborieuse.

Ayant prévu à l'avance les « épreuves » de sa première journée de no limit, une fois propre et « vidangée » Soumise Kioki-san fut transportée à dos d'homme jusqu'à mon donjon où un matelas, des chaînes et accessoires l'attendaient. Installée à quatre pattes, pieds et mains liés avec une corde enroulée sous son ventre la maintenant dans la position d'un caniche, la Soumise Kioki-san ne pouvait plus qu'offrir ses charmantes rondeurs charnelles à ma gourmandise. Sans nul doute, elle aurait aimé être prise mais non, oh que non ! D'autres surprises l'attendaient. Abandonnée seule avec un gros plug de chasteté ouvert dans sa petite rondelle étoilées peureusement contractée, Soumise Kioki-san dut méditer un long moment à sa condition car avant de la laisser seule, je lui avais annoncé que j'allais la faire fouetter et prendre par des clients pour de rentabiliser mon « investissement ».

CITATION Annick Foucault en évoquant le masochisme a dit "La mort, chez nous, est comédie, comme la peur est factice, fabriquée pour jouir"

DES CLIENTS

Des clients il n'y en eut point hormis moi (une soumise n'est pas une pute) mais arrivé par surprise et sans parler pour qu'elle n'en sache rien, je l'ai surprise dans ses méditations. Le chant des martinets accompagnèrent à merveille ses gémissements durant un bon moment générant une mélodie fort excitante qui déclencha en moi des envies de « « « « consommer » » » » ma Soumise. Si de par nature je n'aime pas la vulgarité, en regardant la vidéo je me surprends encore du vocabulaire que j'ai utilisé en la prenant à la hussarde pour la conduire dans un état d'abandon total.

Dernière épreuve, dernière ligne droite avant le feu d'artifesses, pardon des jouissances.

Pour continuer d'affecter ses sens, en plus du bandage médical l'aveuglant et étouffant les bruits, un masque à gaz lui a été posé. La respiration en ce type de masque est tout à fait possible mais elle est toutefois surprenante lorsqu'on ne le connaît pas. Ainsi équipée, Soumise Kioki-san fut transportée à dos d'homme comme un sac de « patates » jusqu'à un grand noyer où l'attendait une chaîne accrochée à une branche haute. Entravée nue debout avec une barre d'écartement aux jambes, la belle était une belle cible pour mes fouets en frémissant d'avance.... Avec son plug de chasteté toujours en bonne place, les tétons pincés et lestés pour lui donner des regrets si elle se débattait, Soumise Kioki-san tentait le diable sommeillant en moi. Lentement et avec douceur, (oui vous avez bien lu) mes deux fouets tournoyants ont commencé à caresser son corps frémissant à leur passage.

Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, au fur et à mesure, que l'intensité des coups montait, son cerveau générait des endomorphine lui permettant de savourer la douleur. Cette transformation d'un mal physique devenait source d'intenses émotions ce qui n'allait pas tarder à la laisser toute pantelante sous mes coups de plus en plus appuyés. Mon objectif était de provoquer le subspace en infligeant de la douleur pour la conduire à de voluptueuses souffrances érotico-SM. La connaissant bien maintenant, lorsqu'elle ruait de douleur je savais aussi que c'était de plaisir en voyant ses jambes trembler, un signe distinctif chez Soumise Kioki-san. Quelques choses de pervers anima de nouveau mon bas ventre et mes neurones, comme la pousser encore plus loin dans ses retranchements. Pour cela, j'ai utilisé un de nos accessoires vibrants, insidieusement posé sur l'ergot féminin sensible épargné jusqu'à ce moment là. Juste au moment où elle s'approchait de l'extase, j'arrêtais pour faire valser mes fouets et ainsi de suite pour la « torturer » dans ses sensations. Au bout d'un moment ce jeu diabolique son cerveau était en déroute, elle haletait et était aux bordures du vertige, prête à recevoir les coups de grâce et les marques dont elle est si fière les lendemains de nos séances. Les coups de mes deux fouets en « enroulé » (faisant le tour de son corps) montèrent en puissance. Elle bondissait de douleur sous certains et s'offrait au plaisir pour d'autres. Lorsque je l'ai sentie jouir j'ai à peine levé le pied pour l'accompagner dans son plaisir puis j'ai porté les derniers coups, les coups de grâce le plus vite possible. Elle m'a offert son buste et ses seins que je n'ai pas épargnés même si j'ai modéré la puissance de mes coups. (Avec deux fouets tournants c'est très chaud, très piquants) Traversée de spasmes de plus en plus intenses Soumise Kioki-san se mit à jouir en hurlant d'une voix rauque à peine étouffée par le masque à gaz. Cambrée, la tête rejetée en arrière, ses longs cheveux tombant dans le vide alors que j'avais repris mes enroulés, elle se mit à trembler sans discontinuer sans que je ne fasse rien hormis la regarder. Un pur bonheur pour moi de l'avoir emmenée si loin dans sa jouissance masochiste.

Lentement libérée de toutes ses contraintes et accessoires, j'ai étendu Soumise Kioki-san dans le gazon. Ses bras et ses lèvres m'ont happé, cet instant de bonheur est magique et difficilement descriptible. Connaissant sa gourmande..... je lui ai donné notre jouet vibrant magique pour qu'elle entretienne encore ces si sublimes sensations que sont les orgasmes à répétitions. Telle une furie, une folle, une hystérique elle s'acharnait sur son enre-jambe à la recherche d'encore plus, encore plus et encore plus sous mes yeux émus. Et là, il m'est venu une envie pressante et l'idée d'asseoir encore mon emprise sur elle. Alors que je lui urinais dessus, Soumise Kioki-san continuait de s'envoyer en l'air en nageant dans le bonheur. Pour qu'elle ne s'épuise pas au sens propre du terme, je lui ai retiré notre jouet vibrant magique pour la couvrir de baisers..... (malgré mon urine qui l'avait inondée et que j'ai oublié à cet instant de communion)

CONCLUSION DE TSM

Il doit être difficile à de nombreux lecteurs de comprendre pourquoi nous allons si loin dans notre relation SM qui je le précise n'a AUCUN rapport avec une vie de couple. (Ce sont deux mondes différents) Le SM est une autre façon de vivre, un Art de vivre et d'aimer, un Art de se donner corps et âme généré par une pulsion puissance plus forte que la volonté qui nous submerge avec un engagement mutuel total qui, j'insiste, n'a aucun rapport avec une vie de couple « vanille » ou conventionnelle.

POUR INFO

Notre mariage BDSM est prévu le 27 juillet 2013.

TSM

LES QUELQUES PHOTOS DE CETTE VIE SM RELLE SONT ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/24_Femmes-soumises-SM-camisole-ceinture-chastete-bondage-shibari/albums/3375_SM-total-a-perdre-la-raison.html

UN EXTRAIT DE LA VIDEO DE CETTE VIE SM RELLE EST ICI. Tout ne sera pas diffusé, l'intimité est aussi quelque chose d'important qu'il faut préserver.

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/3_BDSM-Femmes-soumises-camisole-ceinture-bondage/1557_SM-total-a-faire-perdre-la-raison-d-une-soumise-.html

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 08:34

Soirée Ecole des fantasmes le 24 novembre

Samedi 24 novembre à Montpellier

Soirée école des Fantasmes

 

LIEU : Au Domicile de Maître Pierre entre Lunel et Montpellier

HORAIRES : Arrivée entre 18h et 19h

PRIX : Gratuit pour les membres du réseau Fessestivites

(Hors participation du type une bonne bouteille et participation pour les pizzas)

PUBLIC : Membre du réseau Fessestivites prioritaires

  • 2 femmes seules
  • 2 hommes seuls
  • 4 couples

Possibilité de déborder sur dimanche et éventuellement de dormir sur place.

CONTACT ET RESERVATION

Contacter MaîtrePierre34 sur le site www.fessestivites.com pour plus d'information.

A noter, un échange téléphonique est obligatoire en préalable. L'adresse et l'itinéraire seront donnés aux nouveaux par téléphone

Par TSM - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 20 novembre 2 20 /11 /Nov 08:33

Le sextoy humain encagé d'une Maitresse gynarchiste

« Je serai à vos pieds et votre sextoy si vous le désirez » ! Dire cela à une gynarchiste convaincue n'est pas sans risque.

Maîtresse K ne mélange pas ses amants et la domination. Un soumis c'est fait pour servir pas pour baiser. A ses yeux, confondre les deux c'est prendre le risque de gâcher un serviteur dévoué. Louis est donc sous cage de chasteté en 24/24 depuis qu'il est au service de sa Maîtresse, la frustration le rend fou, mais également fou d'Amour pour sa Maîtresse. Pour la satisfaire il est aujourd'hui prêt à tout et accepte toutes ses lubies, même les plus folles, les plus cruelles.

Si certaines de ses tâches sont faciles à assumer, il y en a toutefois pour lesquelles il cède par principe mais non sans mal. Nous avons vu dans les récits précédents, qu'elle n'hésite pas à s'en servir de toilette ou de papier toilette et à lui faire lécher le sperme de ses amants.....

Maîtresse K n'est pas de nature pudique, mais alors pas du tout, mais elle se complait à ne pas dévoiler son corps de rêve aux yeux de son soumis, décuplant encore sa frustration. De fait, lorsqu'il lui lèche le sexe, boit son champagne doré, Louis est systématiquement aveuglé par un bandeau ou une cagoule.

Habitué aux frasques de sa Maîtresse, soumis Louis ne s'étonne pas lorsqu'elle lui fait enfiler une tenue zentai en spandex l'aveuglant totalement. Son sourire de louve jamais rassasiée l'inquiète un peu, car elle peut être fascinante et venimeuse à la fois... Une fois aveuglé, il se laisse guider jusqu'à l'armoire de la chambre où elle le fait s'étendre avant de clore les portes.

Ce qu'il y a de merveilleux dans l'attente, c'est les pensées qui s'agitent en vous. Seul, abandonné avec sa frustration et ses interrogations, Louis se complait à imaginer perspectives érotiques mais bien loin de ce qu'il l'attend.

UNE HEURE PLUS TARD

Etendue sur son lit, après avoir lu ses messages, Maîtresse K laisse courir ses doigts finement manucurés sur son corps de rêve. Au plus elle pense à ce qu'elle va faire subir à son soumis, au plus sa vallée des plaisirs s'anime et se recouvre d'une fine rosée délicatement parfumée. Ni tenant plus, elle se lève d'un bond pour sortir Louis du placard en lui indiquant qu'il va lui servir de sextoy humain. Louis comprend le sens de ces mots lorsqu'elle entreprend de fixer un gode-ceinture à sa taille.

- Puisque ta nouille ne sert pas et que j'ai des envies, je te mets un gode-ceinture pour que tu me serves de machine à baiser !

La formulation de ce désir provoqua chez Louis une onde nouvelle de plaisir au moins imaginaire. Même par gode-ceinture interposé, il va prendre possession de ce lieu interdit dont il rêve en secret si souvent. Maîtresse K le laisse debout au bord du lit, s'étend sur le dos dans une position dès plus impudique face à son jouet humain qui ne peut la voir. L'introduction du phallus se fait sans aucune difficulté, le temple d'amour étant particulièrement désireux d'être visité. Etre aussi proche physiquement de l'intimité et des jambes de sa Maîtresse génère en Louis des sensations divines si intenses, qu'il en tremble comme une feuille.

- Allez travaille jouet, donne du plaisir à ta Maîtresse.

Avec d'infimes précautions pour ne pas la brusquer, il entreprend une série de vas-et-vient délicats dans une mélodie de muqueuses généreusement humectées. Dans sa tête c'est Hiroshima et Beyrouth dans sa cage de chasteté, son Popaul kamikaze étant prêt à imploser.

- Plus fort le jouet, plus fort et plus vite. Ordonne Maîtresse K

Ce n'est pas qu'il ne désire pas satisfaire la gourmandise de Madame, mais chaque fois qu'il s'enfonce en elle, la base du gode-ceinture lui écrase la cage qui, par vengeance, vient écraser ses testicules. (Si chaque fois que vous donnez un coup de B... vous avez l'impression de prendre un coup de pied dans les C..... cela calmerait vos ardeurs)

Furieuse après son sextoy récalcitrant à la manœuvre, Maîtresse K incendie son soumis en lui, promettant de très sévères représailles. Louis écarte les jambes pour essayer de faire « un peu de place à son service trois pièces » puis parvient avec peine à accélérer et allez plus fortement en avant pour satisfaire ses obligations. Mais il est trop tard, ne se séparant jamais de son outil pédagogique, Maîtresse K accompagne le martèlement sauvage de coups de martinet, pour l'obliger à accélérer encore tout en se comportant come une trapéziste émérite sur le gode-ceinture pour qu'il ne s'échappe point.

Louis ayant enfin trouvé le rythme désiré et la solution pour ne point se castrer, la totalité de son épiderme s'enflamme simultanément aux mouvements et à la chaleur des jambes féminines érotisant ainsi la moindre parcelle de son corps.

- Tu baises bien pour un mec encagé, continue, continue. Crie Maîtresse K au bord du vertige en titillant sa perle clitoridienne d'un second jouet vibrant.

Bien que son sexe soit inutile dans sa prison de métal, Louis est au bord de l'implosion et la jouissance. Résister, résister pour ne pas faiblir, devient son objectif sans pour autant ralentir les mouvements malgré les larmes de transpiration inondant son visage sous le spandex.

Maîtresse K est foudroyée par l'extase, les spasmes de son corps s'enchaînent. Elle geint, les yeux clos, sa tête roule en tous sens. Le calice de la volupté l'emporte mais elle n'arrête pas pour autant les vibrations de ses jouets pour prolonger le plus longtemps possible ces divines sensations.

Le sextoy humain est prestement repoussé pour être rangé dans l'armoire après quelques secondes salutaires, leur permettant de reprendre leur souffle. Le jouet humain heureux d'avoir comblé sa Maîtresse se laisse à nouveau enfermer en se demandant s'il n'a pas rêvé.

TSM

Les photos de Maîtresse K et de son jouet sont ICI

https://fessestivites.com/album/7928

La vidéo de Maîtresse K et de son jouet est ICI

https://fessestivites.com/media/5991

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 09:34

SOIREE WEBCAM MERCREDI 14 NOVEMBRE 2012 à 21H30

Soirée webcam érotique

Rendez-vous sur le chat de fessestivites en salle BDSM

Au menu et en webcam !

Romantisme lavement ABDL et SM

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : plaisirs SM
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Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 09:33

Pipi sur les toilettes SM diaboliques une punition réelle filmée

Mon Maître n'était pas content car j'ai oublié de lui demander l'autorisation d'aller faire pipi. Pensez-vous une seconde qu'il m'aurait donné une fessée pour me punir ?

Non, car il sait que j'aime la fessée, pas trop quand même quand elle est punitive. Mes punitions sont donc toujours désagréables et parfois originales. Pour lui il y a notre vie SM et les jeux SM, les jeux ayant pour objectif le plaisir contrairement aux punitions.

Je m'étais jurée de faire attention et m'étant faites gronder le matin même à ce sujet, dans l'après-midi je ne manquais point de lui demander la permission.

- Maître, puis-je aller faire pipi s'il vous plait ?

- Non !

pipi sur les toilettes diaboliques

Sa réponse froide me surprit et me fit comprendre qu'une punition m'attendait. Oui mais laquelle ? En fonction de ses humeurs, il m'envoie parfois faire mes pipis dehors debout, m'oblige à mettre une culotte et à la mouiller, à me mettre à quatre pattes comme une chienne, à le faire entre deux voitures au risque d'être vue..... Rassurez-vous très souvent il me répond « oui » sans pimenter cette action dès plus naturelle.

Une heure plus tard, je revins le voir avec mon envie pressante voire même très pressente.

- Maître, puis-je aller faire pipi s'il vous plait ?

- Non !

- Mais Maître, je vais craquer si j'attends encore.

- Si tu craques, je te fais lécher le sol à coup de fouet, peu importe l'endroit où tu auras fait pipi. Va dans la chambre et n'en sort que quand je t'appellerai.

Je tournais donc les talons en bougonnant car ma vessie me lançait des signaux d'alarme de plus en plus douloureux. Quand il m'appela une demi-heure plus tard je n'en pouvais réellement plus.

- Va voir les toilettes et revient. J'ai bien dit « voir » pas de faire pipi.

- Bien Maître

A petits pas et avec la main sur mon sexe pour essayer de stopper les menaces de fuites, je me rendis donc aux toilettes et là, stupeur ! Elles étaient recouvertes d'orties et il y avait des menottes au pied de la cuvette. Toujours à petits pas, je revins voir mon Maître qui affichait un sourire amusé.

pipi sur les toilettes SM diaboliques

- A partir de maintenant, tu peux aller faire pipi si tu le désires mais je viendrai en même te mps que toi pour t'inculquer les bonnes manières ! Retire ta jupe. Me répondit mon Maître.

- Maître vous êtes dur, cela va piquer !

- C'est le but, ma belle, c'est le but.

« A la tienne » ! Me dit mon Maître en levant son verre avant de me faire mettre à genoux pour partager son apéritif avec moi à la becquet.

Que je tarde ou pas, la sanction ne changerait pas. Je pris donc mon courage à deux mains et toujours à petits pas la direction des toilettes infernales. Psychologiquement difficile ! Je n'arrivais pas à m'asseoir ! Il était là, en face de moi, avec son sourire sadique. Je dus puiser dans la réserve « courage » pour me lancer et faire ce geste si commun, si simple que chacun de nous fait plusieurs fois par jour : s'asseoir sur des toilettes.

Mon premier cri fut plus de principe et par « peur », le second lui fut plus réel, car les poils urticants ont un effet décalé de quelques secondes. Et là mon Maître vint me lier les chevilles et les mains en m'indiquant de méditer. Mon envie prit le dessus sur les horribles démangeaisons mais je n'osais plus bouger d'un poil.

Renauld disait « et le roi des cons sur son trône », là moi, j'étais la reine des connes sur le mien avec le « cul » en feu.......

Récit rédigée par TSM pour Soumise Kioki-san

La vidéo de cette réelle punition est ICI

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/3_BDSM-Femmes-soumises-camisole-ceinture-bondage/1446_Toilettes-diaboliques-SM-aux-orties.html

Les photos de cette réelle punition sont ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/24_Femmes-soumises-SM-camisole-ceinture-chastete-bondage-shibari/albums/3336_Pipi-sur-les-toilettes-diaboliques.html

pipi sur les toilettes SM diaboliques

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Soumission et appartenance
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Lundi 12 novembre 1 12 /11 /Nov 18:37

Torture mentale strapon et chasteté

Maitresse K est diabolique avec son soumis. Sous cage de chasteté depuis des mois, hormis quelques pauses qu'elle lui accorde de temps en temps, Louis devient fou. Les rares fois où elle le libère pour dirons-nous, des raisons de santé, il a pour obligation de se « purger » sous ses yeux et de lécher son sperme, le sperme que beaucoup d'hommes se plaisent à faire « déguster » à leur femme.

A son retour du bureau, Louis trouve un décor et un message dès plus surprenants :

Met-toi nu

Met le gode-ceinture

Met ta cagoule

Attache-toi sur la chaise

J'ai des envies ce soir

Maitresse K


Du fond de son calçons et dans sa cage de chasteté, Louis sent bien qu'il est troublé, mais il a du mal à comprendre les objectifs de sa Maîtresse, qui chaque jour devient de plus en plus diabolique. Le jour où il lui a parlé du site fessestivites, il aurait mieux fait de se casser une jambe car elle y prend des idées particulièrement saugrenues.

En bon soumis, Louis exécute immédiatement non sans prendre la précaution de soulager sa vessie révoltée, car avec sa Maîtresse..... Une fois la dite vessie apaisée, il met donc le gode-ceinture à sa taille en se trouvant complètement débile de s'équiper ainsi au dessus de sa cage de chasteté. Il prend ensuite place sur la chaise puis s'entrave les pieds et met sa cagoule. Ses mains cherchent à l'aveugle les menottes disposées par sa Maîtresse au dos de la chaise. Les doigts tremblants, il parvient à menotter un de ses poignets mais au moment de menotter le second, le doute l'habite. (Sans jeu de mot il est encagé)

 

Louis aime bien se perdre dans des excitations sulfureuses, surtout depuis qu'il est sous cage de chasteté. Cela fait maintenant partie de lui de s'érotiser, d'exciter ses neurones, il adore ce petit plus qui tourne autour de la honte, de la frustration mais de là à s'attacher tout seul avec un gode-ceinture autour de la taille, il y a un monde.

Annick Foucault en évoquant le masochisme a dit "La mort, chez nous, est comédie, comme la peur est factice, fabriquée pour jouir" et là en l'espèce, Louis doute fort qu'il pourra jouir au sens propre. La mort dans l'âme, il ferme donc la deuxième menotte sur son poignet encore libre, s'offrant ainsi corps et âme à sa Maîtresse qui sans nul doute va le martyriser. Les minutes s'égrainent lentement, une à une pour former une heure. Le carillon de la maison lui permet de suivre le temps, le temps à attendre sans savoir à quelle sauce il sera mangé.

Trois heures plus tard, le bruit de la porte d'entrée le fait bondir dans ses liens et le tire des rêveries érotiques dans lesquelles il se complaisait à naviguer. Pas un mot n'est prononcé mais il sait qu'elle est là, il l'entend, il sent le parfum pimenté qu'il lui a offert il y a peu. Lorsqu'elle pose les mains sur lui, Louis bondit dans les liens par lui-même posés, tous les pores de sa peau sont comme des capteurs sensoriels. Troublé, ému, excité comme une puce, submergé par une envie de l'étreindre, il ne peut qu'attendre qu'elle veuille bien jouer avec lui. Maîtresse K ne tarde point, elle prend déjà place sur ses genoux et lui caresse les seins.

Sa poitrine fait l'objet d'un malaxage sans retenue et de petits pincement pendant que son sexe encagé est agacé par l'entrejambe de Maîtresse K se frottant à lui en recherche de plaisir, ajoutant par là même un peu d'acide à la confusion de ses pensés de soumis. Louis est aux abois dans sa tête et dans sa cage de chasteté.

Et là, sans aucune gêne et avec un plaisir non dissimulé, Maîtresse K s'empale sur le gode-ceinture. Pendant de longues minutes, elle s'extasie de plaisirs enivrants et bruyants, dont la mélopée diabolique crucifie Louis sur la croix de la frustration. Sous les assauts incessants de sa violeuse, il finit, malgré la souffrance intérieure, celle de ses « couilles » martyrisés et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, qu'il feule doucement. L'onde de plaisir monte dans son ventre en se disputant avec la raison car il sait qu'il n'arrivera point à l'heureuse conclusion.

Vade retro, Satana a soudain envie de hurler Louis lorsque Maîtresse K se lève pour jouer et embrasser ses testicules un instant, déclenchant en lui, des décharges électrico-érotiques de cent mille volts. Soudain, elle s'empale à nouveau, ravie et comblée de sentir son soumis à l'agonie. Dans une chevauchée fantastique, proche de Richard Wagner et John Wayne déchainé dans le fameux film culte de John Ford, Maîtresse K s'emballe jusqu'au galop final pour déguster des ondes voluptueuses traversant son corps. Sa féminité chahutée en redemande, elle repart au trop cette fois, déjà épuisée par la première déferlante.

Accrochée au cou de Louis, elle retrouve ses esprits au bout de quelques minutes, quelques minutes d'un souffle roque qui finissent d'anéantir les espoirs de Louis. Il ne jouira pas ce soir, sa maitresse est rassasiée. Abandonné avec ses espoirs déchus, il reste entravé sur sa chaise, le temps qu'elle prenne un bain salutaire.

- J'ai faim ! Indique Maîtresse K lorsqu'elle vient le libérer.

TSM

La vidéo Diabolique Maîtresse strapon et cage de chasteté est ICI

Diabolique Maîtresse strapon et cage de chasteté

Les photos Diabolique Maîtresse strapon et cage de chasteté est ICI sont ICI

https://fessestivites.com/album/7970

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Dimanche 11 novembre 7 11 /11 /Nov 11:35

Chaise percée et formation champagne golden shower de soumis Louis

Entravé sous la chaise percée avec le sexe encagé, Louis médite avec quelques appréhensions à ce qu'il l'attend puis à sa nouvelle vie avec Maîtresse K.

 

Lorsqu'il l'a contacté il y a maintenant 6 mois, Louis, comme beaucoup de soumis en recherche de Maîtresse lui fit beaucoup de promesses, certaines sont aujourd'hui difficiles à tenir.

  • Je serai votre petite main dévouée bonne à tout faire
  • Je serai votre jardinier
  • Je serai votre chauffeurJe serai votre serviteur en toutTout de vous sera pour moi un parfum de vie
  • Je ferai l'impossible pour vous satisfaire et si ce n'était pas le cas, j'accepte par avance vos punitions.
  • Je serai votre jouet, le jouet que l'on peut mettre au placard et utiliser à sa convenance.
  • Pour vous prouver que je ne cherche pas du sexe mais bien une vie de soumission à vos côtés, j'accepte d'être sous cage de chasteté dont vous seule aurez la clé.
  • De grâce je vous en supplie, testez-moi, imposez-moi des épreuves. Si par aventure je ne vous satisfaisais pas, sachez que je saurai me retirer sans autre réaction que vous remercier en m'éclipsant discrètement.

Soumis Louis en recherche d'un collier, sans obligation professionnelles et libre de toute attachement familial

Maîtresse K avait détecté en Louis sa bonne volonté et son sérieux, ce qui la gênait un peu c'est la manque d'expérience de ce soumis qui n'avait pas hésité à lui donner son numéro de téléphone en lui indiquant « à toute heure du jour et de la nuit ». Sa seule crainte était que dépassé par les évènements, il lui claque dans les doigts à la deuxième rencontre. Pour être testé, il le fut Maîtresse K n'étant pas tendre avec les soumis...... Louis accepta tout sans broncher y compris une armoire en guise de couchage. Elle testa également sa jalousie en l'enfermant dans le garage toute une nuit, sous prétexte de recevoir son amant. Jamais au grand jamais il n'opposa une quelconque réfutation, hormis lui indiquer avec le plus grand respect que certaines choses lui étaient difficiles.

Sous cage de chasteté depuis le premier jour, Louis devenait fou et Maîtresse K, le sachant, jouait avec ça comme levier. Lorsqu'elle voulut s'en servir de toilettes, la première fois ce fut une véritable catastrophe malgré la bonne volonté du soumis. Petit à petit elle l'emmena à accepter l'idée puis lui promis une récompense pour la première fois :

- Tu auras le droit de me lécher et peut-être de me donner du plaisir avec ta langue le jour où tu parviendras à boire mon champagne.

- Ce serait un grand honneur Madame. Boire votre champagne est quelque chose de dur pour moi, mais je vous jure que je fais l'impossible pour m'auto convaincre de ne pas perdre une goutte de votre précieux nectar. Répondit Louis avec une réelle conviction.

Très « pédagogue », Maîtresse K l'entrava sur une table basse sous une chaise percée puis s'amusa à l'exciter à le rendre fou. Le manque et la frustration le rendirent dingue. Outre une gigantesque érection compressée dans le tube de la cage de chasteté, Louis avait les mains moites, une forte sensation de chaleur, son cœur battait la chamade. Elle lui posa un entonnoir dans la bouche et le laissa méditer un instant afin qu'il se prépare mentalement à recevoir son champagne doré.

En imposant l'amour courtois* à son soumis encagé, Maîtresse K murissait l'idée d'en faire son véritable sextoy. Par expérience, elle sait que ce choix d'amour courtois permet d'avoir un être disposé à tout mais sans la fougue de l'homme dont le désir de pénétration impérieux crée des « disfonctionnements » surtout chez les soumis.

(*** La tradition de l'amour courtois Au Moyen Âge, on lui attribuait certaines particularités courantes : l'homme doit être au service de sa dame, à l'affût de ses désirs et lui rester inébranlable de fidélité. C'est un amour hors mariage, prude sinon chaste et totalement désintéressé, mais non platonique et ancré dans les sens et le corps autant que l'esprit et l'âme. L'amoureux, dévoué à sa dame était, normalement, d'un rang social inférieur, c'est un noble de première génération en passe de conquérir ses titres de chevalerie).

Pour Louis, approcher de la langue le sexe de sa Maîtresse pour lui donner du plaisir est un rêve, pour y parvenir il est mentalement prêt à se surpasser, à boire des litres de champagne si cela lui plait. « Je ne dois pas la décevoir », « Je ne dois pas la décevoir », « Je dois y arriver », « Je dois parvenir à transformer mon dégoût en bonheur », se répète-t-il sans cesse pour s'auto convaincre.

 

Lorsque Maîtresse K se plaça sur la chaise et souleva sa robe, dévoilant à son regard le sexe glabre qu'il voyait pour la première fois, Louis était comme fou, prêt à tout pour la satisfaire afin que sa langue puisse un jour accéder à cette vallée des plaisirs. Aux premières loges sous la chaise percée, il fut éblouit par son merveilleux minou s'ouvrant comme une fleur. Quand les premières gouttes commencèrent à perler, ses papilles gustatives ne se rebellèrent point, il les absorba donc avec un immense plaisir et une indicible joie. Un flot plus important heurtant l'entonnoir, lui permit de prendre un grand bol d'air avant de s'invertir totalement les yeux fermés pour se concentrer et ne point gâcher ce précieux breuvage. Même si cela fut un peu difficile à la fin, il y parvint avec une grande fierté.

Maîtresse K retira l'entonnoir et respecta sa promesse. Soumis Louis put enfin se noyer avec grand bonheur dans les nymphes de sa Maîtresse en s'enivrant des fragrances féminines. Le nez logé dans le cratère camouflé habituellement par les courbes fessières, il lapa avec grande conviction les lèvres délicates de son intimité puis la perle clitoridienne exacerbée qu'elle lui offrir en soupirant. Ce soupir pour Louis fut sa plus belle récompense.

Maîtresse K ayant pour passion les vidéos, il vous est donc possible aujourd'hui de découvrir en image les aventures de soumis Louis.

La vidéo est ICI


TSM

 

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis
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Vendredi 9 novembre 5 09 /11 /Nov 12:50

Lavement et couche d'Amour pour Kioki-san une aventure réelle comme le démontrent les photos et la vidéo

Préambule à ce récit.

1°) Un lavement peut être très érotique surtout s'il est fait avec Amour. Les sensations internes sont douces dès lors que le liquide est « injecté » en douceur dans le colon. Accompagné de quelques caresses et baisers doux, il est possible d'éprouver de grands plaisirs.

2°) Comme je l'ai indiqué dans le forum de fessestivites, il est possible de générer les sensations du « caca couche » en restant propre. L'astuce est simple, faire un lavement sérieux en préalable aux jeux et plaisirs désirés. La suite est expliquée dans le récit.

Récit de cette aventure vécue par Soumise Kioki-san

Vous n'êtes point sans savoir que je tourne un certain nombre de vidéos pour le site Fessestivites.com mais j'aime rendre l'utile à l'agréable...... On ne se refait pas.

Vers 22 heures, j'ai donc demandé à ma soumise d'aller faire un lavement sérieux sans pour autant lui dévoiler pourquoi. Vous connaissez les femmes, elle voulut en savoir plus mais devant mon refus de réponse, elle s'exécuta sans discuter comme se doit de le faire une bonne soumise. Mon sourire coquin accompagné de quelques boutades érotisait déjà ses sens.

En me voyant installer un robuste coffre puis des menottes, cordes et bracelets, Kioki-san cherchait à deviner ce que j'allais lui faire sans pour autant s'inquiéter outre mesure, puisque je ne suis pas totalement fou. Un peu oui, c'est même sur, mais pas trop quand même.

Dévêtue en douceur, Soumise Kioki-san se laissa entraver en commençant à vibrer pendant que j'installais le caméscope et les éclairages qui le la gênent en rien pour prendre son plaisir. Cette soumise est chanceuse, car entre mes envies de domination et les vidéos, elle n'est pas en « manque » de sensation.

C'est lorsqu'elle me vit arriver avec le bocal à lavement qu'elle commença à faire la grimace, grimace qui ne changea rien à mes projets. Ce qui la surprit encore plus dans les minutes qui suivirent, ce sont un insert, une couche et une culotte à cadenas. Elle ne parvenait pas à associer le lavement et la couche. Hé hé hé (rire sadique)

J'entrepris donc de lui poser sa couche avec douceur, un peu de talc pour éviter les rougeurs et quelques caresses attentionnées. La canule pour le lavement mise en place, elle me regarda refermer la couche avec des yeux très étonnés mais la suite allait bien plus la surprendre.

LE LAIT FRAIS

Lorsqu'elle me vit arriver avec une bouteille de lait frais (elle sortait du réfrigérateur) son visage se figea. Comme vous vous en doutez, ses réfutations et jérémiades ne m'arrêtèrent point. Irrémédiablement, sous l'effet de l'attraction terrestre, le lait frais commença à descendre dans le tuyau pour venir rafraichir son petit popotin aussi révolté que sa propriétaire. Des jérémiades il y en eut encore, mais elles n'affectèrent point mes tympans bien au contraire, elles m'amusaient. Après quelques caresses et baisers attentionnés visant à la rassurer, puis quelques petits coups de martinet sur ses « tétines » révoltés, je mis un peignoir sur ma Soumise pour qu'elle n'est point froid et la laissais se « remplir » doucement.


Un litre plus tard, pardon 20 minutes plus tard, je pris le haut du tuyau dans ma bouche sous son regard éberlué. Deux options s'offraient à moi, aspirer ou souffler, la deuxième me convint mieux car aspirer le lait de son colon, même propre, ne me branche pas, mais alors pas du tout ! ! ! Une douce mélopée charma soudain mes esgourdes, pardon, mes oreilles de grand sadique. D'un seul coup, d'un seul, je plongeais ma main dans sa couche pour retirer la canule à lavement en lui intiment l'ordre de serrer les fesses. Ca pour les serrer, elle les serrait vraiment....


Quelques caresses et baisers sur son petit bedon, me permirent de mélanger la sauce (lol) non, juste de la masser avec tendresse pour que le lait circule bien dans ses intestins propres. Pour ne pas qu'elle prenne trop l'habitude d'être câlinée, je terminais le massage avec le martinet sans excès, son corps n'étant pas assez « chaud » pour que les coups soient plus appuyés.

 

LA CULOTTE A CADENAS

La culotte en plastique à cadenas la fit bondir dans ses liens, son regard se troubla réellement lorsque je lui indiquais qu'elle allait garder le lavement toute la nuit et que la couche serait utile pour éviter les soucis. Une fois cadenassée dans sa culotte garantissant qu'elle ne retirerait pas la couche dans un moment de désespoir, je lui expliquais donc ce qu'elle allait vivre.

 

- Tes fondamentaux de la propreté appris dans l'enfance, vont être perturbés car irrémédiablement tu vas avoir des fuites anales. Serre les fesses et lutte sans excès pour les refreiner même si tu sais que tu es propre et si tu as bien fait ce que je t'ai demandé. (Comme quoi il faut toujours écouter le Maître..) Les sensations pour te retenir vont progressivement prendre de l'ampleur et pourraient bien devenir très érotiques. La sensation de « caguer » déféquer pardon, va forcément te perturber même si ce n'est que du lait. Ce lait étant chaud et propre, lorsqu'il va envahir la couche, il te réchauffera les fesses pendant quelques instants, car la couche et l'insert vont tout absorber.

 

Etant un Maître sadique mais attentionné, j'ai revêtu ma soumise d'une grenouillère bien chaude puis, histoire de la surprendre encore un peu, je la pris sur l'épaule pour aller la coucher. Sur la vidéo, on peut percevoir très aisément aux cris et râles, les effets ressentis lorsque son ventre s'est appuyé sur mon épaule.....


Une fois « bébé Kio » couché, je lui ais quand même indiqué qu'en cas de douleur ou réels soucis, elle pouvait me réveiller.


TSM

 
 

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Par TSM - Publié dans : Histoires et BDSM divers - Communauté : SM: Domination/Soumission
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