Mercredi 18 décembre 3 18 /12 /Déc 13:05

Cette histoire érotique nous raconte les aventures d’une fille ayant découvert le jeu de société « Le pensionnat des fessées »

Lorsque mon daddy m’a annoncée, le plus sérieusement du monde, que nous ferions un jeu de société pendant la soirée, j’ai eu quelques doutes. En effet, il n’a pas vraiment d’attirance pour ce type de jeu. En me disant qu’il voulait que je sois vêtue comme une étudiante, pour cette soirée avec deux couples d’amis, il m’a encore plus intriguée.

- Ne discute pas, c’est comme ça ! M’a répondue Pierre quand j’ai essayé d’en savoir plus.

Les surprises suivantes eurent lieu juste avant de partir. Monsieur avait décidé qu’il fallait que je fasse des couettes, bon pourquoi pas, si cela lui faisait plaisir. Quand je suis revenue de la salle de bain, il tenait mon doudou dans sa main et un sac à dos Barbie dans l’autre !!!!!

Euh ????

Une heure de route plus tard, nous sommes arrivés chez nos amis de Nîmes avec une bouteille de champagne et une boite de chocolats. Il a tenu à ce que je mette mon sac à dos et tienne mon doudou sous prétexte que ses mains été prises, franchement, j’avais l’air fine comme ça !

Après les bisous, les retrouvailles et discussions arrosées au champagne, l’hôte des lieux a installée un plateau de jeu sur la table en nous souhaitant « Bienvenus au pensionnat des fessées ». En récupérant son pion « élève », Paul m’a murmurée qu’il ne sentait pas bien, ce jeu du pensionnat des fessées. Comme à mon habitude, je l’ai traité de chochotte pour le titiller, il a attrapé mon doudou, pour m’embêter. (Nous sommes très complices)

- Ne commencez pas vous deux, si vos fesses vous démangent, vous n’avez qu’à attendre un peu. M’a dit mon daddy amusé, avec un sourire banane.

L’hôte des lieux nous a lu les règles du jeu, puis expliqués les astuces pour essayer d’esquiver les punitions et gages. Elle a ensuite demandée si nous jouions chacun avec sa chacune, ou si les professeurs pouvaient fesser n’importe quel élève. Quand mon daddy à répondu qu’il ne serait pas fâché si quelqu’un s’occupait de mon postérieur, je suis devenue blême. En effet, je n’aime pas trop quand c’est quelqu’un d’autre que lui qui me donne la fessée.

Du coup, je n’allais pas avoir d’autres choix que de me concentrer pour jouer réellement. Ce n’est pas que je sois contre de jouer avec la fessée, c’est vraiment que j’ai horreur que ce soit quelqu’un d’autre qui me la donne. En plus, la « maman » de Paul, a braquée son regard sur moi d’un air de dire « si je t’attrape toi.... ». Cela ne m’amusait pas non plus parce que je n’ai jamais été fessée par une femme et cela ne m’attire pas du tout.

Pendant le jeu, mon daddy m’a dépassée. YES, il ne pourrait plus tomber sur une case où je serai. Enfin, c’est ce que je croyais ! Par contre, Liliane, la maman de Paul, était toujours derrière moi. Quand je suis tombée sur la case « classe » j’ai décidé de sécher le cours, une des options possible. La Liliane sadique n’était qu’à 1 case, soit une chance sur 6 qu’elle fasse 1 avec le dé. Et bien elle a fait ce PUTAIN DE 1.

Le sourire radieux qu’elle affichait en reculant sa chaise, en disait long sur l’envie qu’elle avait de me tanner les fesses.

- Allez chipie, viens faire un petit stage sur mes genoux, nous avons à discuter toutes les deux, surtout que tu as traité Paul de chochotte. Tu vas avoir l’occasion de nous faire voir que tu n’en es pas une !

Je regardais mon daddy avec mes yeux de biche angoissée en espérant obtenir une grâce « présidentielle » ou la clémence du jury de sa conscience, en vain ! Histoire de bien me mettre la pression, il a fait le signe de la croix !

Ce signe de la croix était justifié !

En m’allongeant sur les genoux de Liliane, quand elle m’a aidée à m’installer, j’ai aussitôt senti que ses bras étaient musclés. Ma jupe fut relevée, je fus déculottée avec quelques compliment sur mes formes et carrément palpée.

- Voilà de la bonne fesse bien ferme qu’il convient de rougir ! A indiqué Liliane.

Si elle n’a pas été méchante au début en me claquant avec modération, sa gentillesse n’a pas durée. Comment de si petites mains peuvent faire aussi mal ? Mystère ! La sal.... m’a, en plus, fait épeler le mot « chochotte » en ponctuant chaque lettre d’une claque bien appuyée. La fessée terminée, quand j’ai remonté ma culotte blanche en coton, j’ai bien vu que Liliane était très intéressée par mon chaton. Je suis sûre qu’elle aime les femmes !

Les fesses bien chaudes, j’ai trouvé que la chaise était moins confortable quand j’ai repris ma place. Et là Paul m’a encore provoquée, en me disant d’arrêter de me dandiner sur ma chaise. L’enfoiré !

Et bien l’enfoiré s’est retrouvé chez le « directeur » 10 minutes plus tard ! Bien fait pour lui. Quand il a tiré la carte « gage » j’attendais avec impatience ce qu’il allait lui arriver.

« Position assise sur un paillasson après la fessée »

J’étais pliée de rire, surtout que c’est mon daddy qui allait devoir le fesser. Il a horreur de fesser les garçons, mais, quand il le faut, il joue le jeu. Il a vu mon regard amusé, j’aurai du rester de marbre ou regarder ailleurs, parce que cela ne l’a pas amusé du tout !

Le pauvre Paul s’est fait baisser le short et la culotte devant tout le monde, ce qui exposa son kiki sous cage de chasteté et tout rasé par Liliane qui est aussi Maîtresse. Cela allait me faire un argument de plus, dans ma caisse à outil de chipie. Couché sur les genoux de mon daddy, il a pu goûter à la corne « douce et soyeuse » de sa main de mécanicien. Comme il n’était pas sage et essayait d’esquiver, Liliane et venu lui tenir les jambes pendant que mon daddy lui bloquait la main. Pour avoir osé essayer de se rebeller, elle a estimé qu’une double dose de pédagogie « fessiale » s’imposait.

Et pour avoir de fait oser faire doubler son temps de fessée sur un garçon, mon daddy lui a expliqué son mécontentement en claquant aussi ses cuisses. Je peux vous dire qu’il n’y est pas allé de main morte. Moi cela m’a amusée de voir ses petites fesses rebondir et rougir à la vitesse grand V.

La fessée terminée, Liliane a déposé le paillasson sur sa chaise puis l’a fait asseoir. Comme il rechignait, elle s’est assise sur ses genoux pour lui faire un petit câlin consolateur, câlin dont il se serait bien passé !

Le jeu a repris, je suis tombée sur la case « WC ». La règle indique « vous avez été surpris à fumer tirez une carte gage ». Et là, j’ai vu le visage de Paul s’illuminer. Dommage pour lui, j’ai eu la carte gage indiquant « Aller au coin pendant 1 tour ».

Lio, la grande asperge n’a pas été épargnée non plus. Il faut dire qu’elle n’a pas eu de chance et que la stratégie, n’est vraiment pas son truc non plus. Elle est passée sur les 3 paires de genoux et a reçu une fessée à la ceinture en plus des lignes. Bon, comme elle est plutôt « maso des fesses » je pense qu’elle a adoré ce jeu. Je la soupçonne même d’avoir essayé de perdre. Quoi qu’il en soit, à la fin de la soirée, elle avait les fesses bleues au point que son daddy lui a passé de la pommade. Ne pensez pas qu’elle était attristée, bien au contraire, elle semblait ravie d’avoir de « belles marques » !

Paul, par contre, n’a pas apprécié de se reprendre deux fessées après avoir séjourné un long tour avec les fesses sur le paillasson. Une deuxième bouteille de champagne a été débouchée, pour finir la soirée avec les « étudiants » et fêter le diplôme de Lio qui est malgré tout arrivée la première. Et là, celle salo.... a profité de son gage à « offrir » pour me faire donner une fessée au martinet.

J’ai encore quelques marques sur les cuisses parce que, les lanières rebelles s’y sont égarées par inadvertance, je suppose.

Finalement j’ai bien aimé ce jeu du pensionnat des fessées. Ce que j’ai trouvé très amusant, outre les fessées et délires, c’est de pouvoir essayer d’esquiver. Cela ne marche pas à tous les coups mais c’est rigolo.

Mon daddy a décidé de s’en commander un. Il faut dire qu’à 1 euro le jeu, ce n’est pas un gros investissement.

https://abcplaisir.com/71-jeux-de-societe-pour-la-fessee

Et pour Noël, je lui ai commandé le Jeu de l’oie des fessées et le jeu de cartes spanking. JE ne pense pas qu’il me gronde pour avoir dépensé 2 euros LOL. Par contre, je me demande si je ne suis pas aussi un peu maso des fesses, pour lui avoir commandé des jeux de fessée.

TSM

Pour télécharger le jeu Le pensionnat des fessées cliquez ici

 

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Par TSM - Publié dans : Fessée - Communauté : La fessée
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Lundi 21 octobre 1 21 /10 /Oct 14:09

Etudiante fessée canne couche

 

Madame, Monsieur,

 

Suite à une de vos xièmes coupures  de connexion internet, nous avons utilisé votre application et là, le drame à venir m’a sautée aux yeux avec cette phrase : "un technicien interviendra sous 72 heures pour réparer votre connexion. Cette intervention est gratuite". 

 

OH MON DIEU ! 72 heures sans télévision ni internet a été ma réaction et je vais vous expliquer pourquoi, je compte demander la réparation des préjudices !

 

Mon conjoint est un Maître et un fesseur, parfois un Daddy. Votre coupure ne lui permettant pas de regarder la télévision ou de surfer sur des sites coquins comme Fessestivites ou Abkingdom, il n’y eut pas qu’un seul préjudice ! (Type bébé cause coupure d’électricité non, ce fut bien PIRE )

 

Le soir même, il était irrité et surtout plus attentif à mes éventuelles bêtises. N’étant pas une femme parfaite à ses yeux, j’ai donc commis quelques erreurs cul-linaires sans jeu de mot. Cela m’a value une fessée, avec quelques bleus sur les fesses pour lesquels il y a un préjudice fessial.

 

A ce préjudice physique, il s’en est ajouté un second !

 

En effet, il m’a indiquée que, puis-ce que je me comportais comme une gamine, je serai traitée comme telle. Je me suis retrouvée langée comme un bébé avec une couche.  

 

A ce préjudice moral, il s’en est ajouté un troisième !

 

Si la nuit fut longue et difficile pour moi, la couche a eu des fuites, le matelas a été endommagé. Nous vous adresserons la facture du matelas.

 

A ce préjudice financier, il s’en est ajouté un quatrième !

 

Ne pouvant travailler sur internet (c’est son métier) il m’a fouettée pour avoir polluée sa chambre et son lit. La lanière de son fouet n’étant pas très sympathique, il y a plusieurs marques disgracieuses sur mon corps. Le tribunal se devra de définir le prix de chaque marque dans le cadre de cette procédure judiciaire à votre encore.

 

A ce préjudice financier, il s’en est ajouté un cinquième !

 

Comme il n’avait pas pu surfer sur Abkingdom et Fessestivites, monsieur n’avait pas eu assez d’inspiration pour faire son « self-service » matinal. De fait, le soir, monsieur était très en forme. ET comme il ne lui était pas possible de regarder un film à la télévision, il m’a indiquée que nous allions faire un film « pournous ». Lorsque j’ai compris que le film  « pournous »  allait être un film porno, j’ai tout de suite su que cela allait être un film Catastrophe.

 

En effet, mes raglaglas venaient de débarquer. Etant indisposée « devant » monsieur a été obligé de se réorienter. Comme il avait du « retard » je n’ai pas pu « avaler » assez rapidement sa semence et j’ai vomi sur la moquette. J’ai à nouveau du dormir en couche sauf que cette fois, il m’en avait mis trois pour être tranquille. Nous vous adresserons la facture de la moquette à changer et des couches !

 

A ce préjudice financier, il s’en est ajouté un sixième !

 

Le lendemain matin, monsieur ne pouvait toujours pas surfer sur Abkingdom et Fessestivites, et avoir assez d’inspiration pour faire son « self-service » matinal. Il affichait une forme éblouissante dans son caleçon qui s’est déchiré sous la pression quand il m’a vue me lever. Nous vous adresserons la facture du caleçon !

 

A ce préjudice financier, il s’en est ajouté un septième !

 

Cette forme éblouissante fut traumatisante pour la partie la plus fragile situé au fond du pertuis de mon délicat fessier. En effet, mon devant étant toujours « bouché », ma bouche d’après lui à « hauts risques » pour la moquette du salon, monsieur a décidé de s’attaquer à mon anneau culier. Ce dernier ne s’en est pas remis, il n’est plus étanche ! ! ! 

 

Nous vous adresserons la facture des couches que je dois à présent porter en permanence pour cause d’incontinence fécale, le proctologue ayant déclaré « forfait » !

 

A ce préjudice financier et physique, il s’en est ajouté un huitième !

 

Un avocat coûte cher car, suite à mes chairs meurtries, il a décidée de dit-vorcer. Je vous demanderai donc de prendre en charge ces frais de justices injustes puisque tout est de votre faute.

 

 Une cliente Orange mécontente !

 

 TSM en délire (et poétique) suite à une coupure internet d’orange

 

 

 

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Boutique avec des produits pour ABDL

 

 

 

 

Par TSM - Publié dans : Histoires et BDSM divers - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 19 octobre 6 19 /10 /Oct 09:49

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Ce samedi et dimanche 20 octobre 2019

 

Votre boutique ABCplaisir est à présent en HTTPS pour votre sécurité, a encore évolué et vous informe de l’arrivée de nouveau produits.

RAYON SISSY ET FEMINISATION

45 nouvelles références avec des tailles pour hommes féminins

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Arrivée de nouvelles références et surtout, d’une gamme de croquettes pour pets-play HUMAIN ! ! ! Vous pouvez les mangez ou les faire manger à vos soumis, soumises, puppy et pets sans aucune inquiétude.

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Il y a de nouvelles références, en ceinture de chasteté et bien d’autres produits

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Par TSM - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 4 octobre 5 04 /10 /Oct 12:16

L’histoire érotique d’un gros fumeur qui nous raconte que, son épouse pas réellement branchée BDSM devient Keyholer et gère sa cage de chasteté par amour. Elle se découvre des attirances pour la fessée et la domination.

.............................

J’en étais à deux paquets par jour quand elle a décidé de devenir Maîtresse. Avant, elle s’amusait à me dominer et le faisait aussi pour me faire plaisir, la cage de chasteté n’était qu’un jeu. C’était au mois de juillet, quand cette idée lui est venue de jouer sur la cage de chasteté pour les cigarettes. Il faut dire, que je commençais à tousser et qu’elle avait peur pour ma santé.

J’avais laissé traîner la cartouche de Camel sur la table du salon avec comme idée de la ranger dans le tiroir habituel. Elle s’est levée du canapé pour l’attraper et la poser sur la table devant nous. Elle a regardé combien il en restait dans mon paquet posé à côté de moi.

- A partir de maintenant, tu n’as droit à un paquet par jour ! Je prends en charge le fumeur suicidaire.

- Cela va être dur ma puce !

- Mais non, tu vas voir, on va même s’en amuser. Va mettre ta cage de chasteté et ramène-moi les clés puis la valise qui se ferme avec un code.

Me voilà parti dans la chambre avec une petite touche d’inquiétude car, comme indiqué au début de ces confidences, Laura n’est pas vraiment domina. Ce changement soudain cachait obligatoire quelques chose. A mon retour, elle a vérifié que j’avais bien fermé le cadenas de ma cage de chasteté grille (très bien pour l’hygiène) et a récupéré les clés. Quand je l’ai vue mettre ma cartouche de cigarette dans la valise, au début je n’ai pas compris où elle voulait en venir. Elle a extrait un paquet de la cartouche et l’a posé sur la table en me disant « c’est pour toi demain ». Laura a ensuite changé la combinaison des verrous de la valise en se cachant puis l’a refermée.

- Si tu n’arrives pas à ne fumer qu’un paquet par jour, le soir, tu pourras venir m’en demander. Pour chaque cigarette en plus tu auras juste un jour de cage de chasteté en plus.

- Salope !

- Déshabille-toi et couche-toi par terre soumis devant mes pieds !

- Mais c’est froid !

- Le mot salope n’est pas un mot qui convient à ta Maîtresse.

Je me suis donc exécuté et allongé sur le carrelage froid en étant autant inquiet que ravi qu’elle ait envie de jouer. Laura a retiré ses chaussures pour poser ses pieds froids sur ma poitrine. Pourquoi les femmes ont toujours les pieds froids ? Mystère. Quoi qu’il en soit, même en juillet, cela n’était pas agréable du tout. Faisant comme si je n’étais pas là, elle a changé de chaîne pour regarder culture pub. De temps en temps, elle déplaçait ses pieds nus sur ma poitrine en recherche de chaleur. Quand elle a posé son peton sur ma cage, j’ai bien aimé en pensant qu’elle allait jouer sur ma frustration. En bien non, elle l’a juste posé en me disant que le mot salope avait 6 lettres, et que nous allions commencer par 6 jours de cage de chasteté.

Au début de nos jeux BDSM j’avais porté la cage 7 jours non stop, je devenais dingue de chez dingue d’excitation. Sauf que là, si elle ajoutait les jours des cigarettes en plus, cela risquait de quadrupler en en rien de temps. Je me suis dit pour me rassurer, que si elle n’avait pas été Maîtresse jusqu’à présente, elle n’allait pas changer de personnalité du jour au lendemain.

Culture pub étant terminé, elle a éteint la télé en me disant que nous allions nous coucher. Sur le coup, je me suis plus à espérer qu’elle se ferait brouter le chaton histoire de s’amuser un peu à mes dépends. Et bien non, Madame devait avoir mal à la tête....

Le lendemain, je suis donc parti travailler avec mon paquet de cigarette. D’habitude j’en prends deux. L’effet cage de chasteté s’est fait sentir sur le trajet. En temps normal, j’en fume deux sur le trajet qui dure 30 minutes environs et une en prenant un café en arrivant. Là, j’en ai sautée une dans la voiture. A la pause de dix heures, je suis devenu avare quand un copain m’a demandé une cigarette. Je la lui ai donnée avec regret.

Je suis souvent obligé d’aller sur le parc de véhicule de location, c’est là que je fume au travail en plus des pauses. Par réflexe, j’en ai pris une sans réfléchir. Ce n’est qu’à la deuxième que j’ai repensé à la menace de Laura. Je ne l’ai fumée qu’à moitié en conservant précieusement le bout restant dans le paquet. C’est là que j’ai pris conscience que j’étais vraiment d r o g u é. En fin de mâtinée, après être sorti quatre fois sur le parking, je me suis rendu compte que j’avais diminué de moitié mon nombre de clopes de la mâtiné. Je me suis dit que son idée n’était pas mal et que faire attention était bien.

Oui mais à l’apéro sur la terrasse de notre resto cantine, j’ai rattrapé le retard de tige de 8mm. (Une cigarette fait 8mm de diamètre) Pendant le repas, je ne suis pas sorti fumer entre les plats comme d’habitude. Après le café, elle s’imposait, ce serait inhumain de ne pas la fumer mais j’ai fait sauter celle que je prenais en retournant au travail. Mes copains m’ont trouvé songeur et m’ont demandé si j’avais des problèmes. Je ne pouvais pas leur expliquer ni leur dire que je bandais dans la cage sans même savoir pourquoi !

Quand je suis arrivé à la maison, il n’en restait que 2 dans le paquet de 20. La soirée allait être dure. Déjà, avec ma bière, parfois deux, j’en fume un certain nombre. J’ai craqué et je les ai fumées et j’étais en manque avant même d’avoir finie la dernière. Cela n’a pas loupé, le repas n’était pas prêt. Évidement..... en fait en temps normal, je m’en moque, sauf que là, manger aurait été une alternative à ma dose de came en tube. Je me suis dit que les débuts de mon sevrage allaient être le plus dur, qu’après cela irait. J’ai donc quémandé ma dose auprès de Madame.

- Déjà ! Tu as finis ton premier paquet ?

- Oui on m’en a tapé au travail !

- Il reste 30 minutes à attendre pour que le gratin soit cuit. Tu ne peux pas attendre ?

- Je suis déjà en manque !

- Je vais t’aider, regarde mon chaton, il est en manque de ta langue ! M’a répondu Laura en soulevant sa robe d’été.

Elle avait du retirer sa culotte en arrivant et prévu de me martyriser. En d’autres temps, j’aurai adoré son jeu de Maîtresse, j’aurai adoré me précipiter à ses pieds pour laper comme un bon soumis. Oui mais là, son chaton, je n’en avais rien à faire ! ! ! ! C’était une clope que je voulais ! Pour lui faire plaisir, je me suis exécuté. Assis sur mes genoux, le nez entre les cuisses de ma femme debout appuyée contre le réfrigérateur, je tirais la langue pour parvenir à faire ce qu’elle attendait de moi.

-Tu peux mieux faire !

- La position n’est pas la meilleure pour ça !

- Tu as raison, allons dans la chambre !

GRRRRRR ! Je n’ai pas aimé la réponse. Elle m’a repoussé pour aller s’étendre sur le lit jambes écartées et robe relevée comme une salope. Un petit moment plus tard, le ding du four sonna. J’ai cru que j’allais être libéré et bien non. Madame a ordonné que je continue. Cela me gonflait grave de jouer son jeu tordu.

- Je vois bien que tu n’as pas envie et ne fais aucun effort pour satisfaire ta Maîtresse. Pour cette faute, je rajoute un jour de cage. Allez, va mettre la table, on va manger ! M’a dit Laura réellement furieuse.

J’ai haï ma femme ! Sur mes bras, mes poils se relevaient tout seul tant j’étais en manque. A la fin du repas, j’ai joué son jeu et je me suis mis à genoux devant elle pour quémander une cigarette. En guise de réponse, elle s’est levée pour attraper un cahier et un stylo.

- Je note donc que tu a 6 jours pour le mot salope, plus 1 jour pour mauvaise langue + 1 jour pour dépassement de une cigarette. Mon chéri, tu en es à 8 jours de cage de chasteté.

Elle s’est levée pour aller ouvrir la fameuse valise en me laissant planté dans la cuisine avec une rage monstrueuse comme compagnie. A son retour, elle s’est lovée contre moi, m’a embrassée tendrement avant de passer sa main entre mes cuisses en me disant qu’elle adorait me voir tendu comme ça.....

La KATA ! Une vraie catastrophe à la télévision. Madame acceptait que je regarde le match de foot. Oui mais devant un match, on fume beaucoup ! ! ! ! J’ai craqué au bout de quinze minutes. J’ai pris un jour de cage de chasteté en plus. Un quart d’heure plus tard, l’arbitre n’a pas vu la faute ce qui m’a énervé et donné envie de fumer. J’ai repris un jour de cage de chasteté. Au coup franc accordé injustement à l’équipe adverse, j’en ai demandé une autre. En guise de réponse, elle m’a demandé de me lever et d’ouvrir le canapé. Elle l’a fait pivoter sur lui même pour s’allonger sur le ventre en plein milieu.

- Je veux que tu me suces là ! M’a indiqué Laura en écartant les fesses avec ses mains.

- Non, tu n’es pas sérieuse ?

- Si si, tu pourras voir le match au-dessus de mes fesses. Pour ta cigarette, on verra dans un moment si tu fais de réels efforts avec ta langue.

La garce ! Je l’aurai tuée si je ne m’étais pas retenu. Ce n’est pas de lui lécher le cul qui me posait problème, j’aime bien aussi ce petit côté là, c’est que je n’en pouvais plus. J’ai donc plongé ma tête entre les deux hémisphères en léchant comme un malade son p’tit trou en regardant le match par dessus ses fesses. J’en avais mal à la langue et elle ne voulait pas céder avant la fin du match que j’ai trouvé horriblement long. 90 minutes je sais, sauf que sans fumer ou presque et en lapant un cul, cela donne l’impression que les minutes deviennent des heures ! Je l’ai eu ma clope, je l’ai fumée à m’en brûler les doigts avant d’aller prendre une douche, de me laver les dents et de me coucher.

Et, en arrivant dans la chambre, Laura attendait jambes écartées avec le nouveau magic wand massager qu’on a acheté sur ABCplaisir. C’est le gros modèle noir qui la fait décoller rapidement.

- Ben à la vitesse où tu prends des jours de cage de chasteté en plus, on va devoir utiliser des sextoys. Si tu ne fais pas d’effort, il faudra qu’on aille sur fessestivites me chercher un amant ! M’a indiqué Laura qui me semblait réellement mécontente.

Après avoir joui de ma langue, de mes doigts et avec son magic, Laura est devenue une vraie garce, une véritable allumeuse. Elle s’est lovée contre moi, elle a joué avec ma cage et elle s’est même offert un petit facesitting juste pour me faire voir que son chaton était en manque de moi. (Elle m’a carrément dit pendant que je léchais « regarde comme ta bite lui manque »)

...........................

Le lendemain, ce fut un peu moins dur, et pour cause, je me suis mis aux demi cigarettes que j’éteignais et rallumais. En plus, comme il n’y avait pas de match à la télé ce soir là, je n’ai quémandé qu’une seule cigarette. Elle m’a rappelé que nous en étions à douze jours, que j’en avait déjà fait un, ce qui laissait un solde débiteur de 11 jours. (Son métier est comptable, vous l’aurez compris )

Pendant trois jours, j’ai tenu le coup. Je n’avais plus que huit jours de chasteté. Laura ne faisait pas que la méchante, elle m’encourageait et payait de sa personne en câlin, en faisant attention pour que les repas soient prêts un peu avant l’heure et avec de petites attentions. Un véritable amour de Maîtresse.

Un souci au travail m’a fait buguer. J’ai accroché une voiture de location. Il faut dire que je passe beaucoup de temps à les bouger, manoeuvrer pour les garer, le capital risque est donc plus important. Le paquet était vide à quinze heure. Je suis allé en acheter un.

Le soir même, Laura était furieuse. Après m’avoir donné une fessée sur ses genoux, (il y a bien longtemps qu’elle ne l’avait pas fait) elle m’a demandé ma carte de paiement et m’a donné cinq euros en espèces. C’était ça ou 20 jours de cage en plus ! ! !

La fessée a du l’amuser, à moins qu’elle ne soit devenue un prétexte pour augmenter le temps d’attente des cigarettes que je demandais. Elle m’en donnait systématique une en plus des jours de cages de chasteté. Au début, c’était à la main, ensuite, à la brosse à cheveux comme elle l’avait vu sur Fessestivites. Fin juillet, j’arrivais à tenir le coup avec un paquet de cigarette par jour. Je n’avais plus que cinq jours de cage de chasteté avant de ..... Je comptais bien y arriver, la sauter et me masturber en prime.

Oui mais en août, nous étions en congés. Oui est le problème ?

1°) La plage !

2°) Elle a diminué le nombre de cigarettes par deux.

J’ai troqué mon maillot de bain contre un short de bain et j’ai fait des siestes monumentales, on ne fume pas quand on dort. Nous avions loué au Cap D’Agde dans la zone naturiste. Pour la plage, Madame a accepté que nous allions à la limite de la zone textile afin que personne ne puisse voir ma cage de chasteté. Elle pouvait bronze nue et moi en short. Le troisième jour, nous nous sommes fait draguer par un couple, j’ai aussitôt vue arriver le danger, l’embrouille, les soucis. Oh, ils étaient supers sympathiques, très gentils même sauf qu’avec ma cage nous ne pouvions rien faire.

- Soit on diminue encore soit je leur propose une partie à quatre à l’appartement ! M’a dit Laura.

Je suis allé nager pendant une heure pour réfléchir et, au départ, pour débander car je m’arrachais les précieuses avec la cage parce que la fille était magnifique. Depuis ce jour là, je ne fume plus qu’après mon café du matin, du midi et une à l’apéro. Quand j’ai demandé à Laura si elle l’aurait fait de proposer une partie à quatre en me laissant sous cage de chasteté, elle m’a répondu « oui sans souci, ta santé mérite bien quelque sacrifice, et puis le mec, n’était quand même pas mal de sa personne ».

Depuis, je ne fume plus que trois cigarettes par jour !

FIN

TSM

Cette histoire est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.

 

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Faire des rencontres BDSM

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Chasteté
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Jeudi 19 septembre 4 19 /09 /Sep 11:14

L'histoire érotiques d'une femme soumise de 33 ans, coquine et curieuse des plaisirs de la vie, elle fait une rencontre BDSM et découvre le puppy-play de façon intense.

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Je surfais sur le net pour explorer divers fétichismes, titiller mes fantasmes et me faire plaisir tout simplement. Le monde vanille, l’amour à la papa maman commençait à m’ennuyer et aller en club libertin ne me branchait pas. Non pas que je sois timide ou pudique, mais parce que ce n’est, à mes yeux, que de la baise sans saveur. Chacun son truc, celui-là n’est pas le mien.

L’idée d’avoir un Maître qui me fasse faire des choses ou m’en fasse, me titillait. J’ai bien essayé le selfbondage ou le self SM mais cela ne m’a pas comblée, là aussi j’ai trouvé que c’était sans saveur. Bon des fois sans saveur mais bien agréable.... Je me suis donc inscrite sur fessestivites pour essayer de trouver un Maître. Mon annonce était simple :

« Soumise coquine en recherche d’un Maître célibataire pour la guider dans ses recherches. Région : mon département ou proche uniquement ».

Après avoir discuté avec deux ou trois tordus du cerveau voulant faire de moi une esclave sans me connaître et me traitant de salope en guise de « bonjour », j’ai eu aussi des contacts avec quelques soumis prêts à se « « dévouer » » pour me faire plaisir. Oui, et qu’après je les domine ??? Bon, je n’ai rien contre qu’ils s’amusent comme moi, mais je n’ai absolument pas l’âme d’une domina et j’ai déjà ma dose au travail avec 46 employés du bâtiment à gérer.

Et puis un soir, j’ai pu discuter en tchat avec un homme dont le profil sortait un peu de l’ordinaire. Sa photo ne montrait pas son visage mais il me semblait grand et « bien foutu ». Son annonce indiquait qu’il était célibataire et expérimenté, pour avoir vécu 15 ans avec sa femme qui était sa soumise de coeur. Et me voilà partie à discuter avec lui via le tchat. J’ai rapidement apprécié son côté posé, structuré. Il m’indiquait « je prends le temps de vous donner une réponse, je ne vous abandonne pas ». A chaque fois, sa réponse était construite, posée, sans faute d’orthographe. Il continuait de me vouvoyer, me parlait avec respect et me faisait parler de moi. En clair, il s’intéressait vraiment à moi.

Voilà ce qui m’a faite basculer dans les échanges :

Moi : discuter avec vous me change de certains qui m’appellent « chienne » dès le début.

Maître Max : On ne peut se permettre de parler ainsi à une femme, soit-elle soumise, tant que l’on n’a pas tissé un lien de confiance et une rencontre fusionnelle permettant d’user de ses mots. Cela génère quoi en vous le mot chienne ?

Moi : L’animal ou la levrette

Maître Max : Outre le fait de faire l’amour, la levrette permet de reproduire partiellement une sexualité primaire qu’il n’est pas inintéressant d’explorer sous d’autres angles.

Moi : sous d’autres angles ?

Maître Max : en partant du principe que vos ancêtres sont descendus de l’arbre, les miens y compris d’ailleurs, il réside en nous un côté « animal ». L’explorer avec des accessoires, des tenues permet de créer une ambiance favorable à l’abandon. Cela peut aussi permettre à une femme de lâcher prise et de laisser se révéler cette partie de son « moi » enfoui. Mon ex, paix ait son âme, adorait que je lui fasse des sessions de longue durée sur le Puppy-play.

Moi : Puppy-play, cela signifie quoi en réalité dans le monde des humains ?

Maître Max : un des partenaires joue le rôle du chiot, le petit chien joueur qu’on adore et qu’il faut éduquer. Pour s’immerger dans ce rôle, il faut un peu de temps, il ne suffit pas de poser une gamelle d’eau par terre pour faire boire sa puppy. C’est tout un monde fait de câlins, de jeux, de punitions aussi parfois, de pseudos contraintes qui font qu’au bout d’un moment, la personne lâche prise et prend plaisir à être l’espace d’une session puppy ou pets. Il faut le vivre au moins une fois sur quelques heures pour comprendre, sans quoi, cela ne paraît qu’un jeu humiliant.

Moi : vous avez des photos ?

Maître Max : oui mais pardonnez-moi si je n’ai pas envie de partager sur internet les photos de mon ex décédée il y a deux ans. Cela serait lui manquer de respect et douloureux pour moi de ressortir ses images.

Moi : Pardon, désolée, je n’ai pas réfléchi aux conséquences liées à ma demande.

La conversation a durée plus de deux heures. Etant en confiance, j’ai accepté de l’appeler quand il m’a donné son numéro de téléphone. Comme il était 23 heures, cela me confirmait aussi qu’il était célibataire. Au téléphone, sa voix ne m’a pas surprise, elle était chaude, posée, il était toujours autant à l’écoute. En clair, il me plaisait bien.....

Dans la semaine, il m’avait posé des questions assez directes sur ce que j’acceptais de faire, ce que je refusais, mes interdits, mes tabous et aussi « mes envies ». Si bien que la confiance s’est installée et que ..... le week-end d’après, je me rendais chez lui.

LA RENCONTRE

Dès mon arrivée il m’a déstabilisée. Je lui ai tendu la main, il n’a pas bougé, alors j’ai cru qu’il voulait que je lui fasse la bise. Il s’est reculé et a mis sa main devant ma bouche en me disant de l’embrasser. OUF ! Quand on a l’habitude de gérer des employés du bâtiment, cela change !!!!!! Maître Max a continué de me vouvoyer en me faisant visiter le rez-de-chaussée de sa maison, son jardin avec sa piscine où il a fait une étape pour me parler du waterbondage, une activité grisante imposant une confiance totale.

- Nous ne nous connaissons pas assez pour que je vous fasse découvrir cela, un jour peut-être si vous le méritez. Aujourd’hui, nous resterons dans le soft de façon à apprendre à nous connaître, il est important que vous vous sentiez à l’aise et que vous preniez du plaisir. Nous allons prendre un verre au salon, je vous ai préparé quelques petits trucs, suivez-moi ! M’a indiquée Maître Max.

Devant la table basse, il y avait un coussin molletonné pour un chien que je n’avais pas vu. Quelle gourde ! Il était pour moi ! ! ! ! OUPS. Il a débouché une bouteille de champagne et m’a servie dans une flutte, détail important car après, ce fut en gamelle mais il gérait la rencontre en douceur. Après avoir trinqué et bu une première flutte, il a sorti un collier pets-play élégance noir avec une clochette.


- Le jeu commence maintenant si vous acceptez que je vous pose ce collier pour le soirée. Si vous l’acceptez, à partir de maintenant, vous n’avez plus le droit de parler. Je ne vous vouvoierai plus, un Maître ne vouvoie pas son chien ni son chiot. Votre prénom sera Puppy pour ne pas faire référence à votre vie d’humain. Vous aurez le droit de jouer, de faire des bêtises et, en fonction des bêtises vous serez punie. Me permettez-vous ne vous poser ce collier ?

Mon côté joueur et provocateur s’est exprimé ! J’ai répondu « ouaf ouaf » ne sachant, je l’avoue, que dire d’autre. Avant de me le mettre autour du cou, il a caressé ma tête en me disant que j’étais une très jolie petite chienne et qu’il avait beaucoup de chance de pouvoir me garder ce week-end. A cet instant et avec sa façon douce de me traiter de « chienne » j’étais déjà dans le jeu et cela ne m’a pas offusquée. En d’autre temps, un homme me dirait ça, je lui donnerai une gifle.

Il m’a attirée vers lui par le collier et a commencé à me faire des « fêtes », des câlins, en me serrant contre ses jambes. J’ai voulu monter sur le canapé, il m’a repoussée en me disant que cela n’était pas autorisé. GRRR (j’avais vraiment envie de grogner)

Il m’a indiquée, tout en caressant ma tête, qu’un chiot n’a pas de robe ni de soutien-gorge et qu’il allait devoir me les retirer. Ce qui m’a surprise, c’est qu’il ne me mette pas de suite entièrement nue, encore une fois, il y allait doucement pour ne pas me bousculer. Ce sont toutes ces petites attentions qui me mettaient en confiance, je n’étais pas chez un Brutus.

S’il n’était pas Brutus, il n’en n’était pas moins pervers ! Au lieu de continuer à s’occuper de moi, il a pris son journal et s’est mis à le lire. Et moi, je ne savais pas quoi faire et j’avais l’air d’une conne assise aux pieds d’un mec qui m’ignorait ! Bien décidée à l’embêter et lui faire voir que j’avais compris son jeu, je lui ai sauté dessus pour l’empêcher de lire son canard ! En guise de punition, il est resté doux, gentil, attentionné. Il m’a juste jetée une balle en mousse dans son salon en disant « oh Puppy a envie de jouer, voilà mon chien amuse-toi » !

GRRRRR ! (Pensé et non pas formulé) Il n’allait pas s’en tirer comme ça ! Je suis donc allée chercher la balle pour la lui ramener en lui faisant des « fêtes ».

- Mon dieu qu’elle belle ma Puppy, mais bon, il y a toute une éducation à faire. A dit Maître Max avant de jeter la balle dehors en me disant « va chercher ».

Autant dire que j’avais envie de le mordre car elle était vraiment loin la baballe ! Mais bon, j’ai joué le jeu et, à mon retour avec la baballe entre les dents, j’ai découvert qu’il avait attrapé d’autres accessoires. Maître Max m’a posée des genouillères pour que je ne me blesse pas les genoux, et ... des moufles soi-disant pour protéger mes mains. Il a encore caressé ma tête, m’a fait des compliments en me disant que j’étais un bon « chien » et a encore envoyé la balle dehors !


GRRRR (bis) A mon retour, il y avait de posé sur la table une queue, du Sopalin et un désinfectant. « Oh putain » j’allais avoir droit à la totale. Maître Max a pris son temps pour désinfecter le petit rosebud avec queue, il l’a mouillée avec ses doigts et m’a purement et simplement enjambée avant de me bloquer entre ses jambes. Sans me dire quoi que ce soit, il a écarté la ficelle de mon string, puis mouillé mon anus et, avec douceur, introduit le rosebud de la queue de chienne dans le c... Je me sentais un peu humiliée qu’il s’occupe comme ça de mes fesses, mais bon j’ai joué le jeu.

- Oh Puppy, tu es trop belle comme ça, elle te va à ravir. Tu pourras la garder si tu veux, ce sera un petit cadeau. M’a indiquée Maître Max en me caressant la tête avec douceur en affichant un grand sourire.

Il s’est levé, a pris mon coussin et l’a apporté au bord de la piscine. Ne sachant que faire, je l’ai suivi à quatre pattes. Monsieur s’est mis nu et a plongé sans me dire quoi que ce soit de plus. La chienne n’avait qu’à le regarder faire ses brasses quotidiennes ! Ah ben non alors ! ! ! Je suis allé chercher la balle et je l’ai faite tomber dans l’eau. A son tour..... d’aller chercher la baballe ! Et bien non, il a continué de faire ses longueurs sans y porter la moindre attention.

« Et moi j’avais l’air d’une conne ma mère, et moi.... » Désolée George, j’ai un peu déformé les paroles de ta chanson.

Dépitée, je suis rentrée dans la maison et j’en ai profité pour monter sur le canapé. Comme je m’ennuyais un peu, j’ai retiré les moufles parce que pour tourner les pages du journal, c’est plus pratique. Lorsqu’il est rentré un quart d’heure plus tard, il n’a rien dit quand il m’a vue sur son « canap », ce qui est horripilant, j’attendais une réaction moi ! S’il n’a rien dit, il a quand même agit en allant chercher une laisse et des cadenas. Après m’avoir remis les moufles, cette fois il les a cadenassées. Il a posé la laisse à mon collier et m’a donnée des petites claques sur les fesses en disant « Puppy descend de là, c’est interdit ». J’ai résisté par principe, et pris une grande claque bien appuyée sur la fesse. GRRRR ! Conduite en laisse dans la maison, j’ai découvert que monsieur avait une cage ! OUPS ! ! ! Il m’a faite entrer à l’intérieur et l’a fermée avec un cadenas en me disantn sans lever la voix, que j’étais vilaine.

« Et moi j’avais encore l’air d’une conne ma mère, et moi.... » Bloquée pour bloquée, j’ai essayé de dormir, que faire d’autre dans une cage ? Une heure de râles, aboiements inutiles plus tard, je dormais.

...........

On me chatouillait le visage. Dans mon sommeil, j’ai cru que c’était une mouche. Sans ouvrir les yeux, je l’ai chassée et... je me suis mis un coup de moufle. Quand j’ai ouvert les yeux, il était là, souriant avec une plume à la main en train de m’embêter. Une envie d’uriner me tenaillait, je lui ai dit. Il est resté de marbre, l’enfoiré, j’aurai parlé aux murs, cela aurait été la même chose. Monsieur a pris son temps pour ouvrir la cage et me mettre la laisse pour me faire sortir. Sans me dire quoi que ce soit, il a entrepris de retirer mon string puis m’a tirée dehors. L’horreur, je venais de comprendre ! Effectivement, nous sommes sortis dans le jardin pour aller sur sa pelouse. Il a allumé une cigarette et a attendu que je fasse.... Vous avez déjà fait pipi à quatre pattes devant quelqu’un vous ? Et bien cela ne vient pas ! On a comme un blocage.

Lorsqu’il a eu fini sa cigarette, Maître Max m’a caressée la tête en me regardant dans les yeux. Monsieur s’amusait de ma gêne, il me souriait en me disant que nous n’allions quand même pas y passer la nuit. Je l’ai un peu mordu, j’ai pris une petite claque qui, hors contexte m’aurait mise hors de moi. Ma vessie a eu raison de ma pudeur au bout d’un long moment, j’ai donc fini par pisser à quatre pattes en écartant les jambes comme je pouvais. Maître Max a attrapé la queue quand il a compris que je me laissais aller, cela lui a évité d’être trempée d’urine.

Il m’a félicitée d’avoir attendu et de ne pas avoir fait dans la cage. Il m’a vraiment fait des « fêtes » un câlin et des caresses en me serrant dans ses bras. Le gag est que j’étais contente ! Je commençais à de plus être « moi ». Cela n’a pas duré ! Maître Max m’a ensuite faite entrer, toujours en laisse dans la maison, pour me conduire dans sa salle de bain et me pousser dans le bac à douche. Quand j’ai voulu me lever, il m’en a empêchée. Il a réglé l’eau, pris un gant et, quelle horreur, m’a lavée y compris entre les cuisses. Il m’a séchée et s’est fait couler un bain en me faisant des câlins, des compliments divers comme, tu es vraiment magnifique, obéissante, ..... Encore une fois, monsieur a fait comme si je n’étais pas là, ou comme si j’étais un chien ! Il s’est mis nu puis s’est allongé dans sa baignoire en allumant les remous. Je serai bien allée moi dans sa baignoire à jets multidirectionnels !!!!

GRRRR ! J’avais envie de lui dire que je déposerai plainte à la SPA. Maître Max s’est vraiment lavé comme si je n’étais pas là. Ma présence, il n’en avait rien à faire. Après s’être séché et rhabillé, il a retiré ma laisse et m’a appelée en sortant de la salle de bain. Je l’ai suivi jusqu’à la cuisine où il a mis la table ! Sa table, puisqu’il n’a mis qu’une assiette ! Pendant que son plat se réchauffait au micro onde, il a ouvert un sachet de croquette « Pets-play Alimentation » qu’il a vidé dans une gamelle en me disant « bon appétit.

Si je m’attendais à ce qu’il me fasse le coup de la gamelle, il était hors de question que je bouffe des croquettes de chien. Maître Max a insisté en me disant qu’elles étaient bonnes. Nous avons un peu lutté, lui en m’enfonçant la tête dans la gamelle, moi en le repoussant comme je pouvais. Et là, j’ai explosé !

- Stop, ça suffit, on arrête, tu ne me feras pas manger des croquettes de chien, ça va pas la tête, tu veux que je sois malade ?

- Deux fautes dont une grave, cela méritera une sérieuse fessée demain. M’a indiquée Maître Max toujours aussi calme et sûr de lui en affichant un grand sourire !

- Non mais, franchement, ça va trop loin là !

- Bon, puisque tu parles, tu n’es plus une Puppy et tu vas m’écouter sans me couper. Cela te permettra de comprendre que tu as tord.

- Ouai, c’est ça oui.... (Avec une voix de femme furax).

- D’abord ce sont des croquettes réalisées spécialement pour les humains. La preuve m’a dit Max en en prenant une qu’il a mangée sous mes yeux. Ensuite, je t’ai pris celles aux crevettes, elles sont vraiment bonnes, cela vient de chez ABCplaisir qui les commercialise en France. Je les ai commandée exprès pour toi. Penses-tu un instant que je prendrai le moindre risque avec ta santé ? Cela est un affront qui est une faute grave. J’en mange une autre sous tes yeux où tu me fais confiance ?

- Heu, je ne savais pas.....

- Regarde la boite, il y a le détail de la composition de ces croquettes. Où vois-tu quelque chose de mauvais pour ta santé ? M’a indiquée Maître Max en en mangeant une autre directement prise dans l’emballage.

- Pardon, je n’ai pas l’habitude, je ne savais pas.

- Quand on ne sais pas, on demande avant d’être insultante. Est-ce que la fessée que je te donnerai demain est justifiée ?

- Non, je ne savais pas !

- Et quand on ne sait pas, on demande, je t’aurai expliquée et même fait lire la composition de ces croquettes. Ce manque de confiance était accompagné d’un tutoiement du Maître, ce qui est aussi une faute. Une soumise vouvoie son maître. Qui t’a dit en plus que tu n’aurais que ça à manger Puppy ? Personne, alors pour me faire plaisir, tu vas de calmer, te remettre à quatre pattes et bouffer sans discuter comme une bonne petite chienne ! A conclue Maître Max avec un grand sourire puis en me faisant un bisous sur la joue et une caresse prolongée derrière la tête.

J’ai cédé en baissant les yeux. J’ai repris ma position de chienne et j’ai bouffé des croquettes qui, finalement ne sont pas mauvaises du tout. Pendant que je grignotais, il a posé une autre gamelle par terre et y a vidé une belle rasade de champagne en me disant qu’une première gamelle de croquettes, cela se fête ! GRRRRRR du champagne en gamelle !

- Oh, les moelleux au chocolat sont passés de date, on ne va pas les jeter. Puppy fait la belle !

Ses yeux étaient rieurs, son sourire apaisant, il ne m’en voulait pas. Il continuait simplement de s’amuser avec mes nerfs. Sur l’emballage des moelleux, la date de péremption indiquait qu’ils étaient encore bons un mois. cette fois, je ne me suis pas faite avoir. Maître Max me les faisait manger dans sa main, de l’autre il me caressait, me souriait, c’était vraiment un moment de jeu et de complicité qui s’installait, surtout pas, de l’humiliation.

A la fin des moelleux, il a pris un os dans une jolie boite en me disant « c’est pour qui ça » ? Il l’a mis entre ses dents et me l’a tendu, nous étions comme deux amoureux qui se partagent un gâteau, sauf que là, c’était un os pour humain de chez ABCplaisir.

- Bon, il faut que je respecte les indication du vétérinaire, il te reste un médicament à prendre et on va se coucher. A indiqué Maître Max.

Il a attrapé un biberon, y a mis de la vodka et un peu de coca, puis il s’est servi un cognac avant de quitter la cuisine. Par réflexe, je l’ai suivi à quatre pattes. Il s’est assis sur le canapé et à tapé dessus avec sa main en me disant « aller Puppy, monte ». Quand j’ai sauté sur le canapé, il m’a prise un peu au vol pour me coucher sur ses genoux comme un bébé à qui on va donner le biberon.

- Désolé mais le vétérinaire a dit que ce « médicament » t’aiderait à dormir et qu’il est nécessaire pour ta croissance ! M’a indiquée Maître Max avec un grand sourire.

Comme un chiot, j’ai tété son bibi, en me souvenant que le dit « Brutus » m’avait demandée quelle était ma boisson préférée quand nous discutions en tchat. J’avais répondu vodka coca bien frais et il s’en souvenait.

Les « médicaments » terminés, il m’a faite redescendre du canapé en tirant le coussin du chien contre ses pieds. Pendant qu’il sirotait son cognac, je me suis lovée contre ses jambes, et j’ai eu des caresses. J’étais bien contre lui, je ne me posais pas de question, j’étais dans un autre monde. Si j’avais été un chat, j’aurai ronronné.

Son verre terminé, il s’est levé et, comme on parle à un chien, m’a appelée en se dirigeant vers sa chambre où une autre surprise m’attendait. A côté de son lit, à même le sol, il y avait un long coussin et un plaid tout doux en faux poils et UNE CHAINE. Ce rustre avait décidé de me faire dormir par terre et, encore une fois j’ai cédé. Il a attaché la chaîne à mon cou en me disant qu’il avait l’habitude des Puppys et que la nuit, ils essaient toujours de monter dans le lit.

En me disant ça, j’ai vu ses yeux briller. Il y avait encore beaucoup de tristesse car il a du penser à sa femme décédée. Alors j’ai décidé d’être sage, je me suis couchée sans rien dire. Il m’a couverte et a éteint la lumière. Il m’a fallut un peu de temps à trouver le sommeil, trop de choses me passait par la tête. Il n’avait rien tenté en terme sexuel, il n’avait eu aucun geste déplacé, et par sa douceur, m’avait emmenée où il voulait. Ah ce moment là, je n’aurai rien eu contre que Maître Max devienne z o o p h i l e avec sa Puppy et qu’il la prenne en levrette à même le sol.

............

Au milieu de la nuit, une main s’est mise à caresser ma tête. Maître Max m’a dit des « ouaf ouaf » interrogatifs comme s’il parlait « chien » ? J’ai répondu « Ouaaaf » en insistant sur le aaaa pour lui dire que j’étais d’accord. Il a décroché la chaîne de son anneau et j’ai sauté dans le lit. Je lui ai fait des « fêtes » en léchant un peu son visage comme un chien tout content. Il a bloqué ma tête pour simplement déposer un baiser furtif sur mes lèvres. Moi j’en ai déposé plusieurs, et puis, il m’a couchée sur le côté et embrassée en me faisant des caresses plus « humaines ». De bisous en caresses, j’ai fini à quatre pattes sur le lit. Il a soulevé la queue qui était toujours en place puis, après avoir mis un préservatif, m’a prise en levrette en tirant sur la chaîne toujours attachée à mon collier.

Ce qui est surprenant, c’est que je me suis vraiment sentie « chienne » ! Cela n’était pas ma première levrette, mais celle-là avait un autre sens. Si c’est lui qui m’a prise, je me suis donnée comme jamais tant j’étais sur un nuage. Bien cambrée la chienne « en chaleur » se donnait. Et après le coït sauvage, presque animal, il a été trop « chou », trop câlin. Il m’a serrée dans ses bras fortement pour continuer de me caresser avec une extrême douceur. Nous nous sommes endormis comme des bébés même pas chien MDR.

.................

Le lendemain, après les douches « normales » le petit déjeuné « normal » il m’a rappelée que j’avais une punition en attente. Encore une fois, il a pris le temps de planter le décors..... Maître Max a tenu à ce que je mette debout devant lui avec les mains croisées dans le dos. Il a commencé par me faire la morale sur « la confiance » et le vouvoiement qui était imposé. Qualifiant cela d’inacceptable, il est allé s’asseoir sur une chaise et m’a demandée de m’approcher de lui.

Maître Max a tenu à ce que je retire ma culotte toute seule, enfin, le string qui n’aurait rien changé pour une fessée. Il me regardait avec un regard volontairement hautain pour augmenter ma gêne. Il m’a laissée mariner au moins deux minutes debout mains dans le dos en me disant de méditer. Je ne savais plus si je devais rire ou pleurer.

Quand il m’a dit « Couche toi sur mes genoux », je n’étais pas fière. Sans se presser il a soulevé ma robe, m’a laissée attendre encore un peu la claque qui, irrémédiablement allait tomber. Elle m’a surprise et faite crier alors qu’elle n’était pas forte. Cela m’a valu le « tu es une chochotte, tu vas bien avoir le temps de crier ». L’enfoiré faisait encore monter le pression.

Avec le recul, la première fessée qu’il m’a donnée n’était vraiment pas forte, mais elle m’a marquée, elle est à jamais gravée dans ma mémoire parce que c’était la première, puis parce qu’il avait créé une ambiance régressive pour moi. J’ai bien sûr eu « le droit » d’aller au coin mains sur la tête et fesses à l’air pendant qu’il reprenait un café. GRRRR mais en même temps, je me sentais « petite fille » ce qui est totalement fou.

Et ensuite ? Ensuite, il m’a retirée ma robe, m’a attrapée, portée et jetée dans la piscine pour me faire un câlin. Après, nous sommes allés déjeuner dans un bouiboui sur la plage et bronzer un peu comme des gens « normaux ». Quand il m’a dit qu’un jour il me promènerait peut-être en laisse sur cette plage, je n’ai pas relevé, j’avais trop peur que ma réponse soit interprétée comme une provocation.

Au moment de nous quitter, il m’a tendue la queue que j’avais portée en me disant que c’était un cadeau. J’étais un peu gênée mais en même temps, cela me faisais plaisir. Il m’a ensuite demandée si je voulais aussi le collier en me disant, de façon très posée, que si je l’acceptais, cela avait une valeur morale.

Le sens de cette proposition ne m’a pas échappé pour avoir lu des informations sur le forum : « Débutez en BDSM Infos pratiques » de Fessestivites. Devant mon absence de réponse, Maître Max n’a rien dit, il attendait tout simplement.

Dans mon cerveau, se sont mis à défiler toutes les images vécues, les sensations ressenties, le fait que finalement, être Puppy m’avait permis de lâcher prise sur tout et de me laisser aller comme si je n’avais plus de responsabilité.

Cette emprise qu’il avait sur moi, ne l’avait pas empêché d’être attentif, doux, câlins et respectueux. Cet acte sexuel hors norme ayant fait que j’étais dans un autre monde, ne l’avait pas empêché non plus d’être ensuite ultra câlins. Ce jeu de rapport de force, de transfert d’autorité m’attirant beaucoup, en plus des plaisirs éprouvés m’ont poussée à une réponse débile : « Ouaf, ouaf ».

Il l’a posé autour de mon cou, m’a remercié de cette confiance que je lui portais et m’a embrassée avec amour en me serrant dans ses bras.

EPILOGUE

Vous l’aurez compris, moi, ma femme de tête, gérante d’une entreprise de BTP, je suis devenue la « soumise » d’un homme qui fait de moi ce qu’il veut.

- Cela tombe bien, j’aime ne plus avoir à décider de quoi que ce soit.

- Cela tombe bien, j’aime ne plus avoir à gérer mon « image »

- Cela tombe bien, j’aime presque tout ce qu’il me fait... y compris certaines fessées qui me font décoller, qui me transportent dans un autre monde.

Le pets-play, ou puppy play, nous n’en faisons pas tout le temps, par contre, il lui arrive parfois de me « noyer » dans ce monde un week-end entier. C’est bien souvent quand j’ai trop de soucis professionnels. Ouaf, ouaf !

TSM


Pour des astuces voir ce post forum sur L’animalisation, vie de chienne ou de chien en BDSM

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Rencontres fétichistes et BDSM

FORUM Débutez en BDSM Infos pratiques  

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Lundi 2 septembre 1 02 /09 /Sep 08:37

Les 170 pages de ce roman érotique de TSM, édité en version papier et Kindle sur Amazon, abordent avec élégance la vie d’une vierge effarouchée âgée de 18 ans.

 

Rencontré par un beau jour de printemps à la buvette du club hippique créé par son père, Laurence rencontre Eric. Elle a un  coup de foudre pour ce bel homme grand et musclé dont le visage et la coupe de cheveux lui donne un air de mafioso qu’elle adore. Au fil du temps, Laurence se laisse guider dans le monde particulier du BDSM où elle découvre beaucoup de choses, et, de bien agréables sensations.

Avec le temps, elle se dévergonde pour devenir une jeune soumise insouciante parfois provocatrice. Ses interdits deviennent des fantasmes, ses fantasmes deviennent réalité, même si parfois, cette réalité est un peu difficile.

Patient et très imaginatif, connaissant bien les processus de la domination, Eric ne lui impose rien pour faire tomber ses barrières. Il génère seulement en elle des envies de découverte, quand la belle ne s’aventure pas seule sur les chemins interdits.

A cause de Windows encore bloqué, le prédateur de son coeur découvre qu’elle joue parfois sur le net à enflammer les esprits, qu’elle raconte leurs ébats et ses fantasmes. Et là laissons Laurence décrire ses sentiments :

« Les conséquences sont lourdes pour mon matricule et ma libido généreuse au penchant de plus en plus masochiste. Il a lu mes textes, du chapitre un au onze avec beaucoup d’attention. Mon bourreau d’amour pervers avait déjà une imagination débordante pour me guider sur les chemins tortueux de l’amour non consensuel, mais la dramatique de cette histoire est que mes écrits lui ont tout dévoilé.

Lorsque je dis tout, c’est vraiment TOUT ! Comme beaucoup, j’ai des pensées érotiques et quelques petits films intello-sensuels normalement inavouables.  En belle cruche, je me suis amusée à pondre de mini scénarios sur un doc nommé « Brouillon masochiste » en m’accordant quelques petits plaisirs. Chacun sait, qu’entre fantasme et réalité, il y a tout un monde alors, comme c’était privé, je me suis franchement laissée aller ...... J’ai un peu peur ! »

Pour conclure la présentation de ce roman BDSM captivant et sans vulgarité gratuite, la sensualité rime avec la jeunesse, l’insouciance de la belle même si l’aventure la conduit loin, loin, très loin dans ce monde un peu fou ..... Si on y parle d’amour, ce roman n’est pas à mettre entre toutes les mains.

Vous pouvez trouver ce roman ici sur Amazon en version brochée non dédicacé

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Vous pouvez trouver ce roman ici sur Amazon en version Kindle pour vos e-book tablettes ou ordinateurs.

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Ce livre existe en version limitée et dédicacée par TSM sur ABCplaisir. Attention, il n’y a que 20 exemplaires papier de ce type.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Lundi 2 septembre 1 02 /09 /Sep 08:34

Une petite histoire érotique sur la chasteté. CMC signifie Chasteté Masculine Contrôlée

Tu mets ta cage de chastete pour mes vacances

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Une fois sa poitrine, ses jambes et son sexe intégralement rasés, on dirait celui d’un gamin. Son appendice comprimé dans le tube, qui avec une cage de chasteté castrat est plus une coquille qu’un tube, ses précieuses bloquées par un anneau d’acier semble plus grosses que sa pauvre verge. Elle a du se bagarrer avec elle pour parvenir à la loger sans le pincer, car dans une castrat, avoir une érection est un rêve tant c’est petit.

- Voilà, tu voulais jouer le bébé, et bien maintenant tu l’es au moins en bas.

- Mais ma reine, si je peux me permettre, je désirais simplement tester la couche pour voir ce que cela donne. L’ABDL ne m’attire pas.

- Déjà il n’y a pas de mais qui tienne, ensuite c’est toi qui a acheté un paquet de grosses couches pour personne incontinente. Ne discute pas où je te prive de ta pose mensuelle.

- Je n’oserai vous contrarier ma reine cela n’est point dans mes intentions, ce n’était qu’une information, plaise à vous de décider ce que je dois porter.

- J’ai une surprise pour toi mon amour, mon amie de Marseille vient passer quelques jours à la maison, elle était nounou avant de prendre sa retraite. Elle pourra s’occuper de toi.

Le coeur de Luc s’emballe soudain, jamais personne ne l’a vu, à par son épouse, sous cage de chasteté. Et là c’est bien pire, sa reine compte que son amie s’occupe de le langer ? Il se décompose mentalement, devient rouge, il n’a jamais été aussi gêné malgré leur passé.

En effet, quand ils se sont connus il y a 20 ans, c’était dans le libertinage. Des folies, ils en ont fait sans pudeur, avant de « se calmer » à l’arrivée de leur fille. Aujourd’hui étudiante surdouée, la prunelle de leurs yeux a quitté le logis pour étudier à Harvard, une université privée américaine située à Cambridge aux Etats Unis. Cela représente pour lui, 20 ans de chasteté, ils ont commencé comme un jeu avec la CB3000 avant de passer à d’autres modèles bien plus solides en acier.

C’est elle qui achète ses cages de chasteté sur ABCplaisir. Marie lui a pris une cage de chasteté grille pour l’hygiène et ses petits délires comme le piquer à travers l’espèce de grillage. Elle lui a aussi offert une Cage de chasteté regret CBT pour quand elle désire le punir, les pointes étant vraiment très méchantes, elle a accepté qu’il les lime un peu. La castrat qu’elle vient de lui mettre est son dernier « cadeau », son dernier délire aussi.

Si elle s’entretient, fait du sport et on eut le dire, est encore une très belle femme, Marie n’est plus très intéressée par les choses du sexe, à 53 ans en pleine ménopause, ce qui l’amuse c’est plus le côté cérébral de la CMC. Elle adore jouer avec son mari qui a presque 10 ans de moins qu’elle. Si sa sexualité a évolué, cette belle femme n’est pas timide pour autant, pour exemple, elle adore jouer avec le sexe encagé de son mari et va parfois jusqu’à mimer une fellation sur le métal. Pour Marie, martyriser son mari plus jeune et plus vigoureux qu’elle, c’est lui donner de l’amour autrement. Par principe, elle se fait brouter le minou et entre les fesses longtemps avant chaque libération du petit oiseau.

Pour être cru et appeler les choses par leur nom, une fois qu’ils ont fait l’amour, elle a « sa dose » de câlins pour au moins un mois. Cela ne l’empêche pas d’aimer son mari à la folie, disons que leur sexualité a évoluée et que la CMC entretient leur vie de couple. Marie n’hésite pas à rebondir sur les prétextes permettant à son mari de vibrer, ajouter des jours de cage, en retirer parfois, lui faire porter un rosebud ou une de ses culottes en échange de journées de cage en moins. Elle lui donne de l’attention à défaut de fusionner physiquement avec lui sous la couette.

Quand il lui a dit qu’il aimerait essayer de porter une couche pour voir ce que cela fait, si ce genre de fétichisme ne l’attire pas, elle a malgré tout accepté en se disant que si cela le rendait heureux de jouer avec ça pourquoi pas. Son esprit machiavélique ne pouvant trouver que des deals pervers, Marie, dont les neurones gambergeaient, s’était dit qu’il y aurait sûrement matière à s’amuser avec le côté humiliation.

La petite cage de chasteté Castrat et le rasage plus important de son mari, l’ont follement amusée. Marie s’est réellement amusée comme une folle à le raser, elle tirait sur la verge libre pour aller chercher les poils rebelles en lui disant qu’il allait être un beau bébé. Elle ne s’est pas limité à son intimité, non, non, elle a aussi fait les jambes et le buste.

- Allez, on n’a plus qu’à cacher tout ça dans une grosse coucouche et bébé pourra aller dormir. Indique Marie en entreprenant de langer son mari.

Comme elle aime bien tout contrôler, Marie renforce les attaches de la couche en faisant deux tours de scotch d’emballage en guise de ceinture. Elle appose sa signature sur le scotch avant de lui faire remonter les jambes pour lui enfiler son caleçon par dessus.

- J’avais déjà une grosse culotte ma Reine, pourquoi enfiler mon caleçon par dessus ?

- Cela aidera à bien la maintenir car tu vas la garder jusqu’à demain. Répond Marie en lui faisant un gros bisou.

...............

La nuit de Luc fut bien plus difficile que prévue. Uriner dans une couche n’est pas si évident qu’il ne l’imaginait, avec en plus, la castrat qui comprime toujours sa verge. Pour y parvenir il a du se lever et aller s’asseoir sur les toilettes. Psychologiquement il n’y arrivait pas. Ce qu’il ne sait pas quand il va se recoucher après avoir, finalement, bien apprécié son premier pipi couche, c’est ce qu’il l’attend le lendemain.

7 HEURES

Bien que nous soyons un samedi, Marie est déjà debout et habillée, elle passe réveiller son époux pour lui dire qu’elle va faire une course et qu’il doit être sage en son absence. Pour Luc, le message est clair, garder sa couche. Etonné qu’elle se soit levée si tôt, le « grand bébé » ne se pose pas trop de questions, par contre, il s’amuse à marcher en couche, prend des poses de bébé à quatre pattes, et inonde la protection en se caressant les tétons. L’excitation est à son comble quand il entend la voiture de sa femme se garer dans le jardin trente minutes plus tard. Lorsque la porte s’ouvre, il se retourne pour faire un grand sourire à sa Reine.

Son sourire s’arrête net.

La terre semble se dérober sous ses pieds.

Son coeur s’emballe.

Luc ne sait s’il doit courir se cacher ou dire « Bonjour » à cette énorme femme entrant dans leur maison.

- Bonjour bébé, ravie de faire ta connaissance, je m’appelle Louise ! Lui dit ce mastodonte bien plus grand que lui en tendant la main.

- Bon bonjour madame ! Bégaye Luc rouge comme une écrevisse en tendant la main.

- Je suis nounou Louise pour toi, Marie m’a parlée de toi et m’a tout racontée. Regarde ce que je t’ai apporté ? Lui indique cette femme ressemblant à une armoire normande en lui tendant un biberon.

Derrière Louise, Marie est pliée de rire. Elle voulait faire une surprise à son mari, jouer avec ses nerfs et le rendre dingue. Ce qu’il ne peut savoir c’est que cela ne fait que commencer.

Les présentations faites, les filles se rendent au salon avec un sac de croissants, Marie demande à son mari de servir le café. Mort de honte, Luc est trop heureux de s’enfuir dans la cuisine. Le service fait, ils partagent le petit déjeuner au son de la voix des filles trouvant matière à alimenter la conversation et faire durer les croissants. Le souci de Luc est que la matin, comme beaucoup de monde, il éprouve le besoin d’aller aux toilettes pour y déposer quelques matières solides. Ne pouvant plus tenir, il en est donc réduit à demander la permission à sa Reine de retirer sa couche. En grande sadique, elle lui demande pourquoi et s’amuse à le voir gêné de devoir répondre à cette question.

- Allez viens, c’est nounou Louise qui va te la retirer ! Lui répond Marie avec les yeux pétillants de malice.

Luc commence à haïr cette étrangère qui lui tend les bras en lui disant « aller viens bébé ». Elle a beau avoir des yeux bleus à faire fondre un régiment de cavalerie, un sourire d’ange, elle n’en est pas moins une étrangère prête à l’humilier. Lorsqu’elle a fini de retirer le scotch, Luc tente de mettre un terme à son calvaire en disant « merci » hélas sa tentative échoue. La nounou perverse tient à lui retirer sa couche. Il n’y a donc par besoin d’être devin pour savoir qu’elle va voir sa minuscule cage de chasteté.

Ce que ses prédictions n’avaient pas dit, c’est qu’elle ajouterait « oh que c’est petit » puis un commentaire élogieux lui indiquant qu’il puait et qu’après avoir fait « popo » une douche serait nécessaire. Assis comme le dit si bien Renaud dans sa chanson Hexagone, « Et le roi des cons, sur son trône » .... sauf que l’on peut changer la suite des paroles pour les remplacer par « se bouffe les ongles d’inquiétude » car, cette femme a l’air aussi perverse que son épouse. Et il ne se trompe pas dans son intuition !

A peine est-il sorti des toilettes, que Marie lui indique que c’est Louise qui va lui donner la douche. Luc sait très bien que résister ne sert à rien, négocier non plus, hormis prendre un ou deux mois de cage en plus, il n’a rien à gagner. Décomposé, la tête baissée comme un gamin se rendant chez le directeur de l’école, Luc se rend à la salle de bain. La grosse mégère âgée est bien aussi « tordue » que sa femme, elle lui donne la douche et passe bien le gant partout, y compris entre ses fesses. Elle tente de laver son zizi en vain, la castrat ne laisse guère de solutions autres que la retirer ou la « branler » avec du savon. Et c’est ce que fait Louise sans aucune gêne contrairement à lui. Le rinçage se fait de la même manière sans aucune pitié pour sa pudeur.

- Et voilà un bébé tout propre ! Indique Louise en raccompagnant Luc tout nu au salon avant de demander s’il faut lui remettre une couche.

- Non, il est propre dans la journée ! Répond sa femme pliée de rire sur le canapé et il va aller s’habiller tout seul.

Trop heureux de pouvoir se soustraire de cette situation plus qu’embarrassante, Luc s’enfuie à toutes jambes dans leur chambre pour se vêtir.

...........................

La journée s’est déroulée simplement, Louise les a invités au restaurant le midi, ils lui ont fait découvrir en voiture quelques coins fabuleux de la Bretagne avant de prendre le chemin de la maison. A tour de rôle, ils prennent leur douche et ont fait découvrir la Cotriade à Louise.

(La Cotriade, désigne le contenu d’une marmite, c’est un plat typique du sud Finistère qui se compose de morceaux de poissons (rouget, lieu jaune, dorade et congre), de moules de bouchot, de pommes de terre, d’ail et d’échalotes. Cette bouillabaisse bretonne sublime pour les papilles gustatives ) Fin de la parenthèse.

- Ce soir, on va rajeunir de 20 ans mon chéri, on va faire du libertinage ! Déclare soudain Marie après avoir posé sa tasse de café.

Luc est à deux doigts de s’étrangler, quand il entend cette déclaration en avalant sa gorgée de café. L’envie de se remettre à fumer le prend, même s’il sait que sa femme ne lui permettra pas.

- Le rêve d’un homme n’est-il pas d’avoir deux femmes dans son lit ? Lui demande Louise.

- La Reine devenue le soleil de ma vie me comble, je n’ai point ce fantasme là ! Répond Luc décidé à jouer la prudence.

- Bien, alors Louise va te préparer pour la nuit, son expérience de nounou est bien plus grande que la mienne ! Répond Marie avant d’ajouter que dans leur chambre, cela sera plus pratique.

Luc se sent pris dans un piège quand Louise se lève pour lui prendre la main pendant que son épouse va chercher une couche. Lorsqu’elle revient, Luc est étendu nu sur le lit, elle le rejoint en lui demandant s’il n’est pas trop à l’étroit dans cette minuscule cage de chasteté. Il hésite fortement à répondre que si, sa boule de cristal interne lui indiquant « prudence ». Sans attendre la réponse, Marie se penche au dessus de son sexe en invitant Louise à s’approcher pour voir. En heyholder allumeuse et sans complexe, surtout avec sa plus grande amie, elle se penche pour faire entrer la clé souris dans la serrure de la cage.

- Oh, elle est bloquée, je n’y arrive pas ! Murmure Marie avant d’ajouter, que des bisous doivent aider à réchauffer le métal.

Luc ne sait s’il doit se réjouir ou s’affoler en regardant son épouse faire comme une fellation au diabolique sarcophage de la Castrat.

- On va attendre un peu, j’ai envie de bisous là ! Déclare Marie avec ses yeux pétillants de malice en désignant son entrejambe.

Ni une ni deux, elle retire sa jupe et enjambe le visage de son mari. Certes il ont déjà fait cela des centaines de fois, mais la présence de Louise le gêne. La voilà qui se met à s’occuper de sa cage de chasteté pendant qu’il déguste le chaton déjà bien mouillé de sa femme, un signe qu’elle préméditait ce qu’il lui arrive et s’en est excitée. Histoire de le rendre dingue de désir, Marie joue avec les petits tétons de son mari, un accélérateur de sensations proche de l’accélérateur de particules de Grenoble.

Devenant comme fou, l’encagé râle de bonheur avec le nez plongé dans les nymphes épanouies de sa perle d’amour. Il est soudain attristé de le voir s’envoler, pourquoi sa belle ne reste-elle pas, il sentait bien qu’elle allait prendre du plaisir. En voyant arriver une montagne de chair féminine soutenue par des cuisses ressemblants à celles d’un boeuf, pardon, d’une vache, Luc comprend que sa femme a décidé de le « « prêter » » à son amie. Sauf qu’aussi sympathique que soit cette femme adorable, au sourie d’ange et aux yeux bleus pouvant faire fondre le Pape lui même, il n’a aucune attirance pour son chaton. Au contraire, il a peur, peur de mourir étouffé dans ses chairs.

Quand elles arrivent sur son visage, il n’a pas d’autres choix que de lécher cette vulve ressemblant à un marécage, au parfum d'algues marines quelque peu salées. Il est tellement perturbé par cette mission à hauts risque lui déplaisant fortement, qu’il sent à peine que sa femme lui retire sa cage de chasteté. Marie sait à merveille comment fonctionne son service trois pièces, le mettre en forme n’est pas bien long. Elle enserre doucement ses précieuses d’une main, de l’autre la racine de sa verge avant de prendre son gland entre ses lèvres. Comme Louise a compris que ses tétons sont comme le bouton de mise à feu de la fusée Ariane, de ses gros doigts boudinés elle accompagne conjointement son amie pour le propulser dans la stratosphère.

Luc se perd très vite dans des sensation enivrantes, il en oublie les formes plus que généreuse de la belle le chevauchant et prends un plaisir démesurer à le déguster puis s’y noyer quand Louise se met à jouir. La fête ne pouvant s’arrêter là, Marie enjambe son mari pour s’empaler sur le sexe fier comme le glaive d’un centurion prêt à partir en manoeuvre. Attaqué par deux femmes décidées, le pauvre encagé libéré ne peut retenir la sève trop longtemps contenu, il jouit bien trop vite à son goût et celui de son épouse. Furieuse qu’il ne se soit pas contenu, elle demande à Louise de se pousser pour imposer à sa mari de nettoyer la zone polluée et la faire jouir sans tarder.

Assise sur son visage, elle se penche en avant, remet le mini tube de sa Castrat un peu trop rapidement en arrachant quelques cris « entre ses jambes » Elle demande à Louise de langer le bébé et maintient même les jambes de l’infortuné pendant que la couche trouve sa place. L’experte emballe prestement l’objet du délit dans la protection pendant que Marie essaye de parvenir au plaisir mais en vain. Elle quitte alors précipitamment le visage contrit du fautif pour aller chercher le scotch lui servant à assurer la « « sécurité » » de la couche de son mari qu’elle envoie dormir dans la chambre d’amis en guise de punition.

- Je t’ai organisé une soirée de rêve alors ne râle pas, cette nuit je dors avec mon amie, file et ferme la porte ! Ordonne Marie en le voyant bouder.

................

Ce qu’il s’est passé dans la chambre des filles ? Je n’en ai aucune idée, elle n’ont pas voulu me le dire. peut-être ont-elle dormi ?

FIN

TSM

Note de l’auteur : Désolé de conclure aussi rapidement cette petite histoire, mais je n’avais que deux heures de libre ce matin.

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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 20:39

Quelles toilettes choisir

Oui mais, vous qui regardez cette image de quel côté aimeriez-vous être ?

 

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Mercredi 19 juin 3 19 /06 /Juin 17:10
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