Lundi 29 avril 1 29 /04 /Avr 20:56

Participez à un gang bang Samedi 18 Mai 2013

de 15h à 18h sur Pernes  dans le Vaucluse

gang bang Samedi 18 Mai 2013

gang bang Samedi 18 Mai 2013

Organisation84 (Monsieur Stefan) vous propose

Le Samedi 18 Mai 2013 de 15h à 18h sur Pernes les fontaines dans une villa avec piscine.



Deux chiennes totalement délurées sans taboo :

Karen 47 ans vrai salope à baiser sans ménagement par tout les trous. Pisse sperme et crachat dans la bouche (celle qui suce sur la photo).

Serena 50 ans petite pute à baiser sans ménagement par tout les trous. Sperme en bouche possible (celle qui écarte sa chatte sur la photo).

Ces deux garces seront livrées par leurs propriétaires pour être démontées durant trois heures par groupe de 10 mecs.

Je cherche des "bites" pour bien les prendre.

Capotes obligatoires. (merci d'amener vos capotes, votre gel).

Il est possible que je demande une participation en fonction des frais que j'aurais engagé.

Si ce plan vous tente, merci de m'envoyer un email AVEC :   Age, Prénom, Pseudo (site), Téléphone, Ville, et si éventuellement vous pouvez accueillir un prochain plan.

PSEUDO  organisations84 sur www.fessestivites.com

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Lundi 29 avril 1 29 /04 /Avr 18:59

Participez à un gang bang le  25/05/2013 dans le Gard

Gang bang

Lieu : Saint Gervasy (30) : le lieu précis vous sera donné si vous êtes sélectionné.


Etalons : 6 à 10 hommes cagoulés pour gangbang.

Scénario : Le samedi 25 mai 2013, vous serez attendus à 14h30 précise au lieu dont l’adresse vous sera communiquée 3 jours avant. Vous aurez pour but de former un groupe d’hommes tous cagoulés. Ceux qui ne le seront pas se verront refuser l’accès du lieu.

A 15h, Ella de DralL sera amenée par son Maître. Elle sera tenue en laisse par son collier. Elle portera un corset et des talons hauts.

Une fois les vérifications nécessaire faites par Maître DralL, un échauffement BDSM sera réalisé sous vos yeux pour mettre la soumise en température. Maître DralL vous offrira une démonstration de flagellation diverse qui sera réalisée en extérieur, sa soumise attachée.

Ella restera en cette posture afin qu’une fois l’autorisation de son Maître acquise, vous puissiez de vous-même toucher la poupée sexuelle qui sera mise à votre disposition pour les heures à venir.

La limite de temps est fixé à 4 heures si bonne complicité entre tous.

Participation :

Afin de pallier aux frais (lieu, boissons et autres) une participation vous sera demandé à votre arrivée.

A des fins personnelles, le gang bang sera photographié par le Maître. Les cagoules vous apportant l’anonymat.

Conditions d’utilisations :

Cunnilingus, fellation nature, doigtage, pénétration (préservatif) vaginale et anale, pénétration (préservatif) double vaginale, éjaculation corporelle, triple pénétration (préservatif), pipes à la chaine, sodomie à la chaine, petites fessées, utilisation en objet, positions multiples, virilité et directivité souhaitées. Avant tous autres actes, demander au Maître son aval.

Faveur personnelle : Ella a été dressé afin de recevoir le sperme de son meilleur étalon du jour. Elle reste la seule à décider qui aura l’honneur de couler dans sa gorge.

Interdiction formelle :

La soumise sera livrée comme esclave sexuelle et non soumise. Ce qui implique le respect d’une femme. Salope certes, mais son Maître est là pour la dominer et la dresser afin que VOUS puissiez en jouir sans retenu lors de nos rencontres. Sachez rester dans votre rôle son Maître sera dans le sien.

Les étalons de qualité de cette rencontre auront la possibilité de rentrer dans le cercle très privé de la garde de Maître DralL et ainsi avoir, certains avantages par la suite.

Comment postuler ?

Envoyez moi un mail en réponse avec une photo de vous en entier nu avec email, Tel, Pseudo, Prénom, Age, Ville.

Mon pseudo est : Organisations84    sur Fessestyivites.com



Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 11:34

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Alexandre aime les femmes, comme tout le monde me direz-vous, sauf que lui a une particularité réellement hors norme : il les enlève et les maltraite avant de les faire disparaître dans le ruisseau des Blandis.

Niché au creux des poumons, il y a un organe qui s'appelle le cœur. Tous les êtres humains en ont un. Tous sauf lui. A sa place, il y a un bloc de fonte que rien n'atteint. Il mesure 1.80, pèse 90 kilos de muscle et déteste qu'on le contrarie et ne supporte pas la moindre frustration.

Sa ferme quasiment en ruine est située sur la commune Les bayles, pas très loin de Grenoble où il va chercher ses proies à la gare. Il leur promet monts et merveilles et comme il choisit des femmes en état de faiblesse, elles tombent dans ses filets avec une facilité déconcertante. Son approche est celle d'un séducteur, soi-disant veuf depuis 10 ans qui cherche à recommencer sa vie. Il ne leur cache pas qu'il a des tendances BDSM mais ultra modérées et toujours respectueuses. Son désir est d'après-lui de rendre heureuse la femme qui illuminera son cœur puis de lui permettre de vivre des moments de plaisir en plus d'une vie simple et équilibrée à la campagne à deux pas d'une grande ville.

Il se montre en cam sur skipe à la moindre sollicitation dans la seule pièce encore en bon état de la maison en exposant en arrière le plan d'une magnifique cheminée en pierre. En espérant le bonheur, ses proies déchantent vite mais alors très vite. Sous prétexte d'entendre un bruit suspect dans sa roue avant droite de sa voiture, il s'arrête sur le bord d'une petite route puis à la première occasion pose un tampon de chloroforme sur le visage de la fille. Elles essaient de résister quelques secondes et se débattent mais entre ses bras ultra musclés et ceux des filles surprises, la lutte est inégale.

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Enchainée dans un ancien poulailler, Christelle rage, peste et se débat depuis une semaine chaque fois qu'il l'approche et la viole. Il aime sentir cette résistance, cela le fait bander. Si elle s'offrait à lui il n'y parviendrait pas, seule la violence, la souffrance et les rapports de force le font bander. Affamée Christelle a fini par manger comme une chienne, chose qu'elle n'aurait jamais imaginée. Elle a fait voler à coups de pieds les deux premières gamelles qu'il lui a apportées mais la soif a eu raison de sa résistance. Pour ne pas gâcher cette nourriture, il a mis quelques poules avec elle pendant trois jours. Ces innocentes volailles ont commencé par picorer les poids rependus sur le sol puis se sont approchés d'elle pour essayer de picorer les grains de poussières qu'elle avait sur son corps. Ce n'est pas qu'elle est peur des poules, mais mains enchaînées dans le dos, quand elles viennent picorer son corps dans son sommeil elle bondit de peur à chaque fois.

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Pour la convaincre de lui faire une pipe sans le mordre, il est venu avec sa hache et une énorme buche de bois qu'il a fendue en deux d'un simple coup. « Si tu me mords, je te coupe un pied de la même façon » lui a-t-il dit quand il a introduit son gland fétide dans sa bouche. Ses rapports sexuels sont toujours un mélange de vulgarité et de violence pure. Tout en lui maintenant la tête de sorte qu'elle ne puisse aucunement se dérober, il commence par lui défoncer la gorge puis, en fonction de ses envies, il la viole ou déverse son sperme au goût musqué. Souvent, après avoir recraché et toussé quelques instants elle se met à vomir et pleure toutes les larmes de son corps.

Alexandre le fermier sadique du Vercors

Alexandre le fermier sadique du VercorsAlexandre a envie de nouveauté puis de jouer avec des femelles, deux femmes câlinant ensembles sur une vidéo porno lui en ont donné l'idée. Elle s'appelle Angélique, comme bien d'autres filles elle découvre la ferme de l'enfer quand il la dépose nue comme un sac de pomme de terre dans la paille près de Christelle affolée.

- Je t'ai emmenée de la compagnie ! Dit-il en enchainant les mains d'Angélique à un des gros anneaux d'acier rouillé par le temps. On va bien s'amuser les filles et puis, vous pourrez vous câliner et baiser toutes les deux pour le plaisir de mes yeux ou pour vous réconforter. Allez roulez-vous une pelle salopes !

Les filles sont éberluées par ce qu'elles viennent d'entendre, elles se regardent un instant avant de se mettre à pleureur de concert. Dans la tête d'Angélique l'horreur vient de s'installer quand elle a compris quel serait son nouveau mode de vie.

Alexandre isère sadique

Alexandre isère sadique- Hmm ! Je suis sûr que cette fille va nous faire passer d'agréables moments! Dit-il avant de ravaler sa morve d'un coup de snif bruyant. Allez embrassez-vous ! Lance Alexandre très excité par ce concert de pleurs.

Si Christelle est prête à faire ce qu'il demande pour ne pas être fouettée, il n'en est pas de même pour Angélique qui n'arrive pas encore à admettre sa nouvelle condition de vie. Elle tire comme une dératée sur les chaînes mais en vain, elle est bien piégée. Christelle quant-à elle se recule pour ne pas prendre les coups de pieds que donne sa nouvelle compagne en proie à la panique. Alexandre interprète cela comme de la rébellion, un refus pur et dur des femelles de son cheptel. Il saisit son énorme fouet noir et s'approche d'elles avec un sourire carnassier posé sur les lèvres.

Alexandre le fermier sadique du VercorsRoulées en boule, elles essaient de protéger leur visage, les coups de fouet d'une violence rare s'abattent sur leurs corps agités de soubresauts de douleur. Les cris qu'elles poussent galvanisent le fou du Vercors qui s'en donne à cœur joie. Christelle supplie Angélique de faire ce qu'il leur demande et s'approche d'elle. La voir commencer à embrasser le visage baigné de larme de sa nouvelle victime le calme un peu, ni une ni deux il ouvre son pantalon et se branle comme un malade puis vient éjaculer sur ses victimes sans tarder tant cette séance de fouet et ces cris l'ont excité.

Deux jours plus tard, affranchie par Christelle, Angélique n'oppose plus de résistance pour manger ou boire. Pour les câlins lesbiens non plus quand il vient prendre son moment de spectacle à une nuance prêt, elles doivent se lécher les « trous » même quand il y a déversé son ignoble semence. Ce qu'il affectionne, c'est les voir s'embrasser ou se brouter la chatte en faisant un 69.

Récit érotique hard viol abuseAngélique est étendue sous Christelle, elle s'applique à faire ce qui lui est demandé quand soudain dans son champ de vision, elle voit apparaître son pénis gorgé qu'il masturbe à pleines mains. Quand il s'allonge sur elles, Angélique est aux premières loges pour assister à un viol. La pénétration est brutale, sauvage, l'assaut du bélier de chair dure et brûlante ravage son sexe un instant avant de prendre un autre chemin plus étroit.

Alexandre sourit à la pensée des cris à venir quand l'étroit conduit va devoir gober sa grosse bite. Ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la haine de Christelle puis la douleur intense qui ravage ses reins quand il entreprend de l'enculer. L'idée qu'elle va être forcée par derrière comme une bête par ce monstre la rend malade de dégoût, de honte et de terreur. D'une seule poussée il s'enfonce dans l'anus vierge et contracté. Christelle pousse un cri de bête blessée en se débattant inutilement sous Alexandre, dont la force herculéenne a toujours raison de la résistance des filles. Par chance si l'on peut dire ainsi, Alexandre est un éjaculateur précoce, il déverse rapidement un flot de sperme épais en son ventre profané.

Alexandre parti, Christelle est accroupie, la respiration haletante de cette horreur qu'elle vient de subir, elle peine à trouver des mots, elles pleurent silencieusement l'une contre l'autre. Angélique embrasse doucement sa sœur de peine pour essayer, non pas de la consoler, mais pour l'aider à surmonter l'horreur qu'elle vient de subir.

10 HEURES

Si l'anneau d'acier a résisté à la force d'une fille, face à la force du désespoir de deux filles acharnées et décidées à survivre, le ciment a fini par céder. Le paysan qui n'a eu d'autres choix que d'arrêter son véhicule pour ne pas les écraser n'en croyait pas ses yeux. Quand il est descendu de sa camionnette et qu'il a vue ces deux femmes nues, le corps strié de la tête aux pieds enchainées à un anneau, il a commencé par faire le signe de croix.

6 HEURE LE LENDEMAIN

Un bataillon de police encercle la propriété, le GIGN est prêt à intervenir. En guise de réponse aux sommations, Alexandre a tiré un coup de fusil. Trois heures plus tard, le préfet donnait l'ordre attendu car les regroupements faits par les inspecteurs de police, localisaient enfin le tueur en série du Vercors considéré comme une bête sadique.

Les trois tireurs délite dépêchés sur place attendaient le moment crucial pour en découdre avec ce tueur qui tirait sur tout ce qui bougeait autour de sa ferme. Quand le volet de bois est parti en éclat sous la charge d'explosif, une balle de fort calibre est entrée entre les deux yeux d'Alexandre emportant avec elle l'histoire de 18 autres filles maltraitées et assassinées.

« Un fou de moins qui ne gâchera pas nos impôts en prison » fut la pensé du tireur d'élite.

TSM Journaliste de fessestivites.

Les 122 horribles photos sont ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/albums/4263_Alexandre-le-fermier-sadique-du-Vercors.html

 

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 11:33

Cuckold au féminin Histoire vécue

Ce témoignage n’est pas une histoire inventée, son auteur est disposé à en parler sur le chat de fessestivites avec vous.

Nous étions amants, nos rencontres étaient assez fréquente pour le plaisir d’être ensembles et le reste….. Lui comme moi avions beaucoup d’envies et de fantasmes. Au départ, c’est lui qui m’a fait découvrir le monde du libertinage. Au début nous allions voir des couples puis il m’a présenté des hommes. C’est lui qui prenait les devants et s’occupait de moi pour toutes ces choses là. Il m’a même présenté une femme mais ce sera peut-être l’objet d’un autre récit.

Il me disait souvent, « fait-moi une surprise, étonne-moi ». Je cherchais donc un moyen de l’exciter, je le surprendre pour qu’il ne me quitte pas car j’avais peur qu’il aille voir ailleurs si à mon tour je ne parvenais pas à lui donner quelque chose, à lui faire plaisir.

Au départ je pensais contacter une femme sur des sites mais je ne savais pas m’y prendre, mes essais étaient infructueux. L’idée m’est venue de lui proposer de trouver lui-même une femme et de me téléphoner pour que j’entende tout lorsqu’il lui ferait l’amour.


Cuckold au féminin Histoire vécue Il a trouvé l’idée géniale mais cela l’a beaucoup étonné. Il m’a demandé si j’aimerai vraiment cela. Je garderai en mémoire le sourire radieux qu’il avait ce jour là. J’attendais tous les soirs en restant éveillée car j’étais réellement en attente de l’appel téléphonique qui concrétiserait cette aventure.

Un soir ou plutôt une nuit, le téléphone a sonné, rien que de voir que c’était lui, j’en ai mouillé ma culotte. Il devait être une heure du matin, mon cœur battait la chamade car j’attendais vraiment.

Lorsque j’ai décroché le téléphone, j’ai dit « allo » comme de tradition mais il n’y avait aucune réponse. A travers le combiné, j’ai pu percevoir une musique. J’étais aux aguets. La seule parole que j’ai entendue est « approche-toi de moi » puis, scotché au téléphone, j’ai entendu une femme dire : « qu’est-ce que tu vas me faire ».

Allongée sur mon lit, je me suis découverte pour la suite que vous imaginez sans problème….

« Oui, vas-y, doucement », elle gémissait, il lui disait « hum que tu es belle » ses gémissements et sa forte respiration m’ont excitée à un point difficilement descriptible. En écoutant cela, je me caressais comme une folle avec des images plein les yeux. Elle, je ne la connaissais pas, mais lui je l’imaginais faire des choses en essayant de deviner en fonction de ce que j’entendais. Rien que d’y penser en vous le racontant, cela m’excite, c’est dire si cette expérience m’a marquée.

J’ai pris beaucoup de plaisir à les entendre et avec mes doigts comme si j’étais atteinte de la maladie de Parkinson c’était magique. Lorsqu’il a raccroché, j’ai compris qu’ils avaient terminé, j’étais bien, reposée, épuisée par ce que je venais de vivre.

Une heure plus tard, mon téléphone a sonné à nouveau, c’était lui. Il m’a demandé ce que j’avais ressentis et comment j’avais vécu la chose. Je lui ai avoué sans aucune honte que j’avais beaucoup aimé, que cela m’avait rendu folle et que je m’étais caressée jusqu’à la jouissance.

Et là, il m’a demandé de me caresser pour lui et de tout partager avec lui. Il voulait tout entendre, tout savoir, il voulait que je lui donne tout par téléphone. Il m’a répété plusieurs fois qu’il était fier de moi et qu’il ne m’aurait pas cru capable de faire cela et de le surprendre à ce point là. A ce moment là, je n’avais pas envie qu’il vienne, je voulais garder cette image et la réalisation de ce fantasme qui m’a rendu folle. Je garde aujourd’hui un sentiment impérissable de cette soirée.

QUESTION DU JOURNALISE : avez-vous éprouvé un sentiment de jalousie ?

Pas du tout, au contraire, cela m’a énormément excitée. Il m’a toujours clairement dit qu’il n’avait rien à faire des filles avec lesquelles il faisait l’amour, en insistant sur le fait que pour lui elles n’étaient que des jouets. Il était amoureux de moi j’en suis certaine, il y a des signes qui ne trompent pas et comme nous partagions tout, je ne me suis jamais sentie trompée.

Trompée c’est quand on ne le veut pas, quand on ne le sait pas. Là je savais tout, il me disait tout, j’étais heureuse de le voir heureux tout comme il était heureux sans être jaloux quand je vivais de grands moments de bonheurs physiques lors de nos rencontres à l’extérieur. C’est aussi ça l’amour non ?

TSM journaliste du réseau Fessestivites

Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : Mondes Libertins
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Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 13:08

Ma cage de chasteté électrique

Ma cage de chasteté électrique est une lubie de ma Maîtresse, elle adore jouer avec et ne s'en prive pas. Elle n'a testé la force 4 qu'une seule fois, croyez-moi sur parole, je fais tout pour éviter une punition qui lui donnerait envie de renouveler.

Ce boitier électrique se pose au dessus de la cage de chasteté avec un fil électrique qui passe dans le tube. Quand elle appuie sur un des boutons de la télécommande je prends une décharge électrique. Son sadisme a pris soudain de l'ampleur avec cette machine diabolique. Avant elle m'appelait pour se faire servir, maintenant elle appuie sur la télécommande pour m'appeler. Autant dire que j'essaye d'anticiper ses besoins.

Elle s'en sert également pour me punir, la puissance de la décharge électrique est proportionnelle à la faute. Si je dis un gros mot ou oublie quelque chose c'est force un, si je suis en retard force deux et quand elle est en colère force trois. La force quatre, le jour où elle l'a testée je me suis vrillé en deux et retrouvé par terre.

Vous m'avez demandé pourquoi j'accepte ça, pourquoi je ne coupe pas le fil. La réponse est simple, je suis son soumis, elle est ma reine, sans sa domination je ne suis plus moi. J'aime la servir, la choyer et subir ses petits caprices. Cela m'excite et me rend dingue, ne me demandez pas pourquoi je ne le sais pas moi-même.

DE LA CAGE DE CHASTETE AU CUCKOLD

Comme mes érections ne sont pas spectaculaires et que je bande mou, avec moi ma Maîtresse ne prend du plaisir qu'avec ma langue et en me dominant. Depuis quelques temps elle me parlait de prendre un amant pour satisfaire ses besoins de choses viriles. Je ne me suis pas opposé à cela car j'aime ma femme, ma Maîtresse, je la veux heureuse même si je dois souffrir. Son bonheur est mon seul objectif de vie même si elle est parfois cruelle avec moi.

Pour exemple, la semaine dernière elle m'a demandé de préparer sa robe rouge en m'indiquant que c'était pour aller se balader avec son amant. Nous étions dans la chambre, elle s'est amusée à m'envoyer des décharges, plus pour me mettre la pression que me punir car il n'y avait pas de motif. Et là elle a franchi un cap en me disant de lécher là où son amant passerait sûrement. Je m'attendais à ce qu'elle m'offre sa minette que j'affection beaucoup mais elle en a décidé autrement. « A genoux » m'a-t-elle ordonné avant de me tourner le dos. Maîtresse s'est penchée pour présenter à mes yeux ses délicieuses fesses admirablement bien galbées. Naturellement j'ai commencé à les embrasser avec douceur mais une décharge m'a fait comprendre que c'était plus bas. Je me suis donc penché sur le côté pour essayer d'atteindre sa vallée des plaisirs et j'ai pris une seconde décharge. Lorsqu'elle a écarté ses fesses j'ai compris ce qu'elle attendait.

La pointe de ma langue a commencé à glisser du haut de son pertuis en titillant les parois pour venir finir sa course sur le cratère habituellement camouflé. Avec délicatesse elle le titillait, le provoquait pour qu'il frétille mais elle en voulait plus même si je n'aime pas ça. Elle tenait à ce que ma langue entre dans sa grotte. Comme je ne parvenais pas à m'y résigner, elle a appuyé sur le bouton force deux. Plutôt que de résister et prendre le risque de prendre une décharge de force trois, je me suis jeté à l'eau si je puis dire ainsi. Je m'attendais à ce que cela soit dégueulasse en termes de gout, il n'en était rien. J'ai donc enculé ma Maîtresse à coup de langue avec une certaine conviction car le petit gémissement de plaisir qu'elle a poussé ma donné des ailes. Elle était heureuse et appréciait.

Au bout d'un moment, elle m'a dit « être prête » puis m'a ordonné de la vêtir. J'ai donc revêtu son corps de déesses avec douceur, ce corps qu'un autre allait sans nul doute malmener. Ce n'est pas tellement qu'elle aille voir un amant qui me chagrine le plus, mais qu'il lui fasse du mal. Dans mon âme de soumis réside un tueur, si un jour quelqu'un lui fait du mal, je l'étranglerai sans aucune hésitation avant de le jeter aux chiens. Chaque fois qu'elle s'en va voir un amant en me laissant seul à la maison j'ai peur, c'est ainsi, on ne se refait pas.

Mon rêve est qu'elle les reçoive à la maison, je serai plus tranquille et qui sait, je pourrai peut-être les regarder ou l'accompagner dans son plaisir mais pour l'instant elle refuse catégoriquement. Non je ne suis pas jaloux, je veux qu'elle vive sa vie de femme, la vie que je ne peux lui offrir. D'après elle je suis une perle, une perle soumise certes mais une perle car quand elle revient de ses rencontres, elle se love contre moi avec amour et me raconte tout sans rien me cacher. Si ce n'est pas de l'amour ça, c'est quoi ?

Soumis de Maîtresse Anaïs

TSM journaliste de Fessestivites

Les photos de sa cage de chasteté électrique sont ici

La vidéos de sa cage de chasteté électrique est ici


 

 

Acheter une cage de chasteté (180 références)

Il y a ici plus de 900 vidéos autour de la chasteté (SANS pub)

Forum dédié aux cages et ceintures de chasteté

Lire des histoires érotiques sur la chasteté

Faire des rencontres BDSM

 

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Jeudi 25 avril 4 25 /04 /Avr 13:07

J'ai aimé être une petite chienne

Oui vous avez bien lu, j'ai aimé être une petite chienne. Comment et pourquoi une femme peut-elle aimer cela ?

Je vous raconte donc comme demandé ce qui a été ma plus grosse surprise dans les choses de la vie. A force de regarder des vidéos sur Fessestivites, Eric mon compagnon se fait des films dans sa tête. Il est de plus en plus attiré par le BDSM et ce genre de chose. Même si je ne suis pas timide en amour, ces trucs là ce n'est pas mon truc et mon enfoiré est parvenu à me piéger lors d'un pari. J'étais sûre de gagner et comme je suis du style têtue, j'ai relevé un de ses défis lorsque nous étions au bowling. Le deal était qu'il me réveille avec café croissants et me fasse un massage s'il perdait et que j'accepte de faire la « petite chienne » un soir si c'est lui qui gagnait. Au bowling, je suis plutôt douée sauf que ce soir là je me suis prise une raclée monumentale car il empilait Strike sur Strike. Cet enfoiré jubilait !

Femdog chienne

Le lendemain, alors que nous allions faire les courses, il s'est arrêté dans une jardinerie pour me conduire au rayon animalerie et là, j'ai tout compris avant même qu'il me dise : « choisi ton collier de chienne ». Ce qui est surprenant c'est qu'à la caisse j'avais l'impression que tout le monde me regardait alors qu'après tout, nous aurions très bien pu avoir un chien. Les courses à peine rangées, il s'est approché de moi avec le collier et la laisse achetés deux heures plus tôt, le sourire posé sur ses lèvres en disait long sur mon avenir immédiat. Ma robe n'a pas tardée à choir sur mes pieds et le collier à trouver sa place.

- A quatre pattes chienne, je vais t'éduquer ! M'a dit Eric avec le sourire du vainqueur et des yeux brillants de désir.

Je me suis donc exécutée car j'assume toujours mes paris mais cela me faisait tout drôle. Il me lançait des « Assis, couché, aux pieds, assis » que j'exécutais sans réel plaisir mais quand il a commencé à me faire marcher à quatre pattes en me tenant en laisse, j'ai fini par rentrer dans son délire. Je frétillais des fesses pour l'allumer un max, je lui sautais dessus, je le mordais ci-et là, en clair, j'ai commencé à m'amuser. Au plus je m'amusais à faire la chienne, au plus ses yeux brillaient. Son sourire et les expressions de son visage en disaient long sur ce qu'il ressentait. Gratifiée plusieurs fois par des « je t'aime, tu es belle, puis nos petits mots d'amour, le côté humiliant de la chose s'est envolé. Totalement dans mon rôle, j'ai léché ses mains mais si c'était au départ comme une chienne, à la fin c'était de l'Amour. Je me perdais dans le chaos des émotions, sensations et contradictions personnelles. Je devenais soumise à mon propre désir animal, un peu comme si j'étais piégée par mes sensations.

Femdog chienne

Ses caresses et baisers tendres, ses yeux et son sourire devenaient pour moi de l'opium et pour en avoir toujours plus, je m'enfonçais dans mon rôle de chienne sans aucune pudeur ni honte. Au contraire, j'y éprouvais un plaisir inexplicable. Il n'a pas tardé à retirer son pantalon, la bosse sous son caleçon exposait clairement son ressenti. Prise dans la tourmente du jeu, j'ai attaqué son caleçon avec les dents pour le retirer, comme vous vous en doutez il n'a pas tardé à le retirer lui-même ...... Après avoir mangé goulument ce sexe que j'imaginais déjà ailleurs, il ma prise à même le sol à quatre pattes comme une chienne. Mon dieu que c'était bon, il tirait sur la laisse pour le principe car de vous à moi, je n'avais aucune envie de partir.....

Femdog chienne

Depuis ce paris mémorable que j'ai perdu, il nous arrive parfois de rejouer, aujourd'hui nous avons un panier et une gamelle alors que nous n'avons pas de chien. J'aimerai bien qu'il fasse le chien pour moi mais il refuse tout le temps, je l'aurai un jour, je l'aurai.

TSM journaliste de Fessestivites

Les photos sont ici

http://www.fessestivites.com/fre/Article/75_Femdog-dog-trainning-animalisation/albums/4238_Adorable-petite-chienne.html

La vidéo est ici

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/6_BDSM-Pony-girl-et-pony-boy-animalisation-Femdog-dog-training/2776_Adorable-petite-chienne.html

Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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Mardi 23 avril 2 23 /04 /Avr 13:06

WEEK-ENDS ET RENCONTRES GRATUITES DE FESSESTIVITES ETE 2013

Comme chaque année, Fessestivites organise

quatre week-ends « pique-nique » de rencontre avec des thématiques différentes.

Rencontre Fessestivites

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT ET PRIX

de ces week-ends offerts aux membres du réseau

  • Prix : gratuité totale pour les membres abonnés du réseau
  • Chacun vient avec son pique-nique pour deux repas + 2 bouteilles de son choix
  • Hébergement : camping possible sur le terrain gazonné ou hôtel à proximité
  • Parking clos
  • Places limitées : quota H / F couple respecté
  • Photo et vidéo interdites : l'appareil du webmaster est prêté il permet d'avoir des souvenirs et de garantir l'anonymat.

LES ACTIVITES ET FONCTIONNEMENT

  • Heure d'arrivée : le samedi entre 11h et 12 h (12h30 fermeture du portail)
  • 12h à 13h30 apéro et présentation avec quelques dérapages des anciens.... (Sourire)
  • 13h30 à 15h repas en commun
  • 15h à 18h30 activités proposées sur les thématiques
  • 18h30 apéro 20 h repas
  • 21h30 soirée (jeux / piano / discussion / folies/...)
  • Le dimanche :
  • Petit déjeuner en commun
  • Séance photos / vidéos / jeux divers
  • Midi : Apéro / repas
  • Jeux et découvertes de diverses pratiques

COMMENT RESERVER ?

Adressez un email avec votre numéro de téléphone (obligatoire) et un minimum d'informations puis vos questions si vous en avez.

contact@fessestivites.com

 

8 et 9 JUIN Pique-nique ABDL et fessée (Ni l'un ni l'autre ne sont imposé)

30 places réparties ainsi :

  • 5 hommes seuls
  • 5 femmes seules
  • 10 couples

6 et 7 JUILLET Pique-nique BDSM découverte initiation école du BDSM

30 places réparties ainsi :

  • 5 hommes seuls
  • 5 femmes seules
  • 10 couples

XX Aout thème SM pur

XX Septembre thème à définir

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Par TSM - Publié dans : Libertinage cuckold - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Lundi 22 avril 1 22 /04 /Avr 11:05

Shibari pantyHose par BondMr

Maître BondMr, un Artiste du shibari du réseau Fessestivites nous a rendu une petite visite qui nous a fait grand plaisir. Maître BondMr s'étant déplacé comme à son habitude, avec ses cordes nous n'avons point résisté à l'envie de le voir à l'œuvre pour le plaisir de mes yeux comme pour celui de ma soumise Kioki-san qui adore ça.

Ci-dessous quelques photos du travail de cet artiste du shibari.

La galerie complète est ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/78_Pantyhose-collants-bas/albums/4224_Shibari-PantyHose.html

TSM

Shibari PantyHose

Shibari PantyHose

Shibari PantyHose

Shibari PantyHose

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Par TSM - Publié dans : Pantyhose - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Lundi 22 avril 1 22 /04 /Avr 10:31

La coquine piégée devient soumise sexuelle

Suite des aventures de « La coquine » dont la première partie est ici :

http://www.fessestivites.com/fre/Article/27_Hard-OU-tres-violent/recits-histoires-roman/4216_RECIT-Une-coquine-piegee-et-forcee-se-decouvre.html

Préambule

Coquine a vécu malgré elle une aventure peu orthodoxe assez proche d'un viol sans pour autant en être un. Ci-dessous le dernier paragraphe du récit précédent pour mémoire.

« Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non ».

La coquine piégée devient soumise sexuelle

Louis et Anna m'appellent maintenant « Coquine » ce sont des coquins libertins adeptes également du BDSM qui m'ont « éclairée » sur les choses de la vie autre que la vie vanille. Ils ne sont pas mes Maîtres mais je ne m'oppose pas à leurs fessées qui me laissent toujours pantelante. Il est fort possible que je me fasse un jour « mangée » par Anna, mais l'avenir nous le dira.

Louis m'a invité ce midi en m'indiquant que je devais prendre mon après-midi. Je m'y rends donc avec une bonne bouteille de rosé puisqu'ils aiment ce vin. L'apéro est un peu plus corsé que d'habitude, je sens bien qu'ils me préparent quelque chose et essayent de me décontracter avec un petit excès d'alcool. Le repas préparé par Anna est simple mais succulent, j'aimerai avoir ses talents de cuisinière. A peine terminé, Louis nous emmène, dépose Anna à son travail pour me conduire à cette fameuse maison en travaux où j'ai vécu des choses diaboliques.

Je sais encore une fois que le suivre n'est pas une bonne idée mais encore une fois, il m'est impossible de résister. Je suis même convaincue que c'est une bêtise mais me laisse conduire au grenier où j'ai vécu une forme de tournante heureuse et très jouissive. En montant les escaliers de bois, mon trouilleomètre est à zéro, je le suis comme une brebis en route pour l'abattoir. Il sort des cordes de son sac, à leur vue mon estomac se bloque, ma gorge se serre, un frisson me saisit mais encore une fois, l'incapacité totale de fuir me submerge. C'est ainsi, ne me demandez pas pourquoi, il m'est impossible de répondre à cette question. Telle une condamnée à mort, lorsqu'il me dévêtit je suis sans réaction. Ma pudeur n'a plus aucune prise sur les évènements.

Sur une sorte de tabouret de bois assez haut, il pose un coussin de cuir puis il entrave mes mains à mes cuisses avec ses cordes. Dans l'incapacité mentale de résister, je le regarde prendre son temps pour m'attacher. Louis me soulève et me pose sur le dos sur le tabouret, mon sang ne fait qu'un tour, je ressemble à une grenouille sur une table de vivisection. Il lie ensuite mes pieds écartés avec une barre de bois puis il passe la corde à une des poutres du grenier. A présente, mon intimité ne peut être plus offerte, je suis morte de honte et comble de l'horreur, cette situation m'excite. Bien que je sois déjà totalement immobilisée et à sa merci, il persiste à ajouter des cordes comme si j'avais envie de m'échapper. Dans l'état psychologique où je suis, les cordes supplémentaires ne servent à rien, je n'ai pas envie de fuir même si j'ai une peur bleue de cet inconnu où je vais avoir la vedette.

Soumise sexuelleAu lieu d'abuser de moi, de me faire monter au septième ciel comme la dernière fois, Louis m'abandonne purement et simplement en me souhaitant un bon après-midi. La haine me submerge aussitôt, comment peut-il me faire ça alors que je lui fais totalement confiance ? Les minutes s'égrainent lentement, elles me donnent l'impression de durer des heures. La position devient rapidement inconfortable, je le hais. Si un fou passe par là, peu probable qu'il s'aventure dans ce grenier, je ne pourrai rien faire hormis le laisser me massacrer après m'avoir violée, car mon intimité est à la fois offerte et à la bonne hauteur pour cela. Mes seins sont eux aussi bondagés, comme s'ils pouvaient décider d'aller voir ailleurs. Quand je lève la tête pour les voir, j'ai l'impression qu'ils grossissent, c'est bizarre comme sensation.

Des bruits de pas me font bondir dans mes liens, mon heure est arrivée. Les ouvriers de la dernière fois entrent dans le grenier, s'approchent de moi et me claquent les fesses en arrivant. Je suis presque rassurée de les voir car malgré les quelques petites gifles ou claques sur les fesses qu'ils m'ont données, ils n'ont pas l'air méchants. Louis les rejoint rapidement et leur explique qu'aujourd'hui je suis totalement à eux. A cet instant, j'aimerai me fondre dans le décor et disparaître mais il est trop tard pour cela, je n'avais qu'à refuser ou prétexter un rendez-vous plutôt que me jeter sciemment dans la meute de loups. Paradoxalement, me sentir ainsi offert à leur merci me met dans tous mes états. Je suis folle, givrée, une vraie malade mentale mais c'est ainsi, je n'y peux rien, me sentir ainsi comme une proie face à des prédateurs sexuels assoiffés de sexe m'excite.

Cette fois ils sont moins prévenants que la première où ils m'avaient déjà bien bousculée. En un rien de temps, l'un des ouvriers sort son sexe et me prend sans comme ça sans même me parler pendant qu'un autre ouvre sa braguette pour extraire sa bite à quelques centimètre de mon visage. Je la prends dans ma bouche et commence à lui donner ce qu'attend son propriétaire pendant que les autres malaxent ma poitrine saucissonnée. A peine ont-ils commencé à malaxer mes seins d'une sensibilité étonnante surement due aux cordes qui en font des grosses oranges, que mon esprit s'envole. La verge en moi me taraudant sans relâche pendant qu'ils me pétrissent les seins comme des boulangers, me pousse déjà au paroxysme de l'excitation. Je ne suce pas la bite que j'ai en bouche, non, elle devient pour moi un exécutoire tellement je me sens transportée dans les brumes évanescentes de ma folie. Je m'y accroche, je l'aspire, je la dévore.

Celui qui branle l'intérieur du ventre m'entreprend comme la première fois. En quelques minutes il m'a conquise, je suis à lui ou plutôt à sa main diabolique, ces phalanges infernales qui vont m'arracher un orgasme d'une puissance impossible à imaginer et que je n'avais jamais connu avant de le rencontrer. La vague arrive doucement du fond de mon âme, sachant ce qu'il m'attend je suis moins contractée, j'ai moins peur. Ce n'est pas une vague déferlante que je sens arriver, mais un tsunami qui emporte tout sur son passage, ma retenue, ma pudeur sont déracinés de mes principes. Cette fois je sais ce qu'il m'arrive et crie « encore » et des « oui » d'une totale impudeur que je ne me connaissais pas. Bien que je sois encore au bord du vertige quand un doigt force ma petite porte de derrière, je m'insurge et crie « non pas là » mais ils n'en n'ont que faire. Louis vient de leur apporter un tube de lubrifiant.

Soumise sexuelleGénéreusement lubrifiée par leurs doigts avides, de par ma position mon anus semble ouvert à leur gourmandise. Si jusqu'à présent j'étais arrivée à interdire ce passage à mes rares amants, cette fois je sais que je n'y couperai pas. Elle se pose contre moi, pousse, avance recule, cherche à dompter la petite porte interdite, cette bite va m'avoir je le crains. C'est sale, dégueulasse, ignoble, j'ai honte plus que je n'ai mal. Mon petit trou finit par céder malgré-moi à la pression impitoyable et à s'ouvrir. Lentement il prend possession de mes entrailles, c'est un douloureux mais comme à cet instant précis comme si Louis leur avait demandé, ils s'acharnent sur mes seins et mon clitoris déjà bien malmené cela reste supportable. C'est fou, totalement fou, je me sens remplie. Ses premiers mouvements lents me perturbent, j'avais peur d'avoir très mal alors que là, cela me fait plus drôle que mal. Après m'avoir laissée apprivoiser la bête, le cheval de Troie s'anime et commence à me conquérir. Ses mouvements lents deviennent plus intenses, plus profonds, plus forts. Le plus surprenant est que cela me transporte dans de sombres sensations plus fortes que la raison. Je me perds, je divague, je crie sous ce laboureur émérite qui parvient à retourner mes sens.

Entre leurs mains, je ne suis plus qu'un corps dont ils peuvent user et abuser à leur convenance. Au bout d'un moment et après plusieurs spéléologues acharnés ayant visité mes intérieurs devenus accueillants et gourmands, ils entreprennent de me libérer puis de me porter sur un vieux canapé hors d'âge à moitié détruit. Soulevée je suis, empalée sur une bite en pleine forme je suis. Son propriétaire me vole un baiser puis soulève mes reins. Ce n'est qu'en sentant une présence contre mon petit trou que je comprends leurs intentions. J'ai soudain peur mais la deuxième bite vient sans trop de souci rejoindre sa voisine. Et là, faisant cause commune pour m'anéantir, elles se mettent en mouvements. Oh mon dieux, (pardon je blasphème) que c'est bon d'être ainsi comblée, pourfendue, possédée, prise de partout avec en prime Louis qui m'oblige à m'occuper de sa bite gorgée de désir. Mes seins frottent la poitrine de celui qui est dessous pendant qu'ils s'animent en moi, mes melons toujours saucissonnés semblent eux aussi s'animer et faire cause commune avec les bites pour me clouer sur la croix du plaisir malsain. Je me perds, je crie, je hurle mon plaisir, je ne suis plus qu'une esclave sexuelle, esclaves de ces hommes, esclave du plaisir qui me ravage et inconnu jusqu'à ce jour.

Soumise sexuelleQuand à la fin de la joute qui a durée un temps indéfinissable, ils se mettent autour de moi à genoux sur le sol poussiéreux pour présenter leur glaive vainqueur, je ne peux que les sucer non pas avec conviction, mais avec passion pour les remercier de ces plaisirs divins. Leurs mains s'animent sur leur arme pour le jugement final, aspergée de sperme, je bois, j'avale, je suce leurs bites avant de m'écrouler sur le sol comme vide de vie mais heureuse.

Louis je te hais mais qu'est-ce que c'est bon.

La coquine

TSM journaliste de Fessestivites.com

Les photos sont ICI

http://www.fessestivites.com/fre/Article/24_Femmes-soumises-SM-camisole-ceinture-chastete-bondage-shibari/albums/4221_La-coquine-piegee-devient-soumise-sexuelle.html

La vidéo est ici

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/20_BDSM-et-sexe/2745_La-coquine-piegee-devient-soumise-sexuelle.html

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
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Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 15:36

RECIT Une coquine piégée et forcée se découvre

Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m'entrainait. Louis et Anna sont des coquins libertins, ils font aussi du BDSM et me disent depuis toujours qu'en moi réside l'âme d'une soumise qui ne demande qu'à se révéler pour que je m'épanouisse. Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration, Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens mais je n'en ai pas bu, je n'aime pas ça. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient, s'embrassaient et moi, je tenais la bougie... Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.

Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour.

Des ouvriers sont arrivés, trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement je ne les ai pas entendus et ils m'ont vue. Je me suis précipitée vers mes amis, les ouvriers ont suivi. Ils ont vite compris et les voyant que je matais leurs câlins. « Elle a des envies de sexe mais n'ose pas » leur a dit cet enfoiré de Louis. J'étais blême, je l'aurais tué.

coquine piégée et forcée« On va la décoincer » Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis. « Ce serait une bonne idée » leur a répondu Louis au lieu de me défendre. De fil en aiguille, ils sont devenus très entreprenants avec moi, j'avais peur mais la présence de Louis me rassurait un peu. Anna a disparu, je crois maintenant qu'elle était de mèche avec Louis pour ce qu'il m'est arrivé ensuite. Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises, Louis les a rejoint puis m'a ordonné de me mettre à genoux. Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe à travers son pantalon, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire. « Suce-le » criait un des ouvriers. L'un d'eux a guidé ma main sur Louis, j'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir son pantalon.

Ils me touchaient les seins comme des malades et commençaient à les malmener, l'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris dans ma bouche, cela m'a fait comme un électrochoc, il y avait au moins deux ans que je n'avais pas de copain. Un des ouvriers me tenait la tête et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le monde que je mouillais comme une salope. Quelle honte. Si j'avais pu passer entre les tuiles je me serai envolée comme un papillon affolé. Au lieu de m'aider Louis forçait ma bouche pendant que les ouvriers me malaxaient les seins ou me tripotaient la chatte malgré ma résistance. Mon chemiser a été ouvert brutalement, laissant dans ce grenier de la honte quelques boutons. Mon soutien-gorge n'a pas résisté longtemps à leur fougue, palpée de toute part, je ne savais plus où donner de la tête. Je disais « non » j'essayais de résister mais en même temps, je faisais tout ce qu'ils me disaient de faire. Quand un autre des ouvriers à sortie son sexe et me l'a présenté, je l'ai sucé lui aussi sans qu'il me le demande.

Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n'ai-je pas crié, pourquoi ne les ais-je pas mordus ? Je n'en sais rien mais à partir du moment où je les suçais au lieu de me débattre, je crois que j'ai ouvert la porte à tous leurs délires et toutes leurs envies perverses. Je suis convaincue maintenant qu'ils ne sont pas des violeurs, certes ils m'ont tripotée comme des mecs qui ont envie de faire peur à une fille mais si j'avais voulu m'enfuir j'aurai sûrement pu le faire. Au lieu de ça, j'ai accepté de sucer toutes les bites qui se présentaient devant ma bouche. Cet enfoiré de Louis a tendu ses fesses vers mon visage en m'ordonnant de les lécher, il a suffi qu'une main me pousse un peu pour que j'y loge mon visage et ma langue. Ils ont tous voulu goutter à ma langue de « lèche cul » et je les ai laissé faire même si je disais « non » sans résister physiquement ou mordre.

coquine piégée et forcéeL'un d'eux a attrapé ma culotte et l'a déchirée, ils m'ont tripotée et s'amusaient à dire que je mouillais comme une salope. Pour me prouver que c'était vrai, l'un d'eux m'a carrément fait lécher ses doigts après m'avoir tripotée. Ils m'ont soulevée pour me présenter jambes écartées à Louis. Soulevée et entre leurs mains, je n'étais qu'un pantin de chair, cuisses ouvertes, chatte à l'air prête à être baisée. Louis a osé me prendre, sa verge dure m'a comblée totalement, si j'étais morte de honte, ses mouvements en moi me troublaient. Entre sa bite et les mains des ouvriers me malaxant les seins et me caressant le clitoris, j'ai rapidement senti monter en moi une onde de plaisir malsain. Louis s'est retiré, j'ai cru qu'un autre aller prendre sa place et me violer mais au lieu de ça, l'un d'eux m'a enfoncé ses doigts dans la chatte pour me branler de l'intérieur comme un malade. A un moment il s'est passé quelque chose que je n'ai pas compris. Mon ventre devenait bouillant, j'avais envie de faire pipi. Je leur ai dit mais ils s'en moquaient. Au lieu de ça, celui qui me branlait comme un malade l'intérieur de mon ventre à accélérer encore son mouvement. J'avais honte, je criais, mon corps semblait décoller, ma vue s'est troublée, j'ai cru perdre connaissance tellement les sensations étaient fortes.

coquine piégée et forcée« Elle est fontaine » cria celui qui me branlait comme un malade. « Elle est fontaine ». J'ai jouis une première fois contre mon gré puis une seconde qui m'a faite hurler tellement c'était fort, puissant, un peu comme une avalanche qui ravage tout sur son passage. A partir de ce moment là, je ne me souviens plus de grand-chose, j'ai été soulevée plus d'une fois et prise dans tous les sens, j'ai sucé des culs et des bites sans même opposer aucune résistance, je n'étais plus moi-même. J'y éprouvais un plaisir malsain, c'est fou.

Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non.

TSM journaliste de Fessestivites

Les photos sont ici

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La vidéo est ici

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/12_Viol-hard-OU-tres-violent/2739_Une-coquine-piegee-et-forcee-se-decouvre.html

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Ecritures Sensuelles
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