Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 08:28

Les longs chemins d’un selfbondage de malade mental

 

Après avoir testé le coffre électronique pour ma chasteté, je m’en suis servi pour un selfbondage de folie. J’ai commencé par mettre ma cage de chasteté avant toute chose, se préparer pour une session de selfbondage est très excitant et je n’aurai pas pu la mettre après. A la suite de quoi, je suis allé cacher trois clés dans le bois derrière chez moi à un bon quart d’heure de marche.

La deuxième clé était celle de mon plug anal de chasteté, celui qui s’ouvre dans les fesses et se bloque avec un cadenas.

La troisième clé était celle du cadenas de ma culotte plastique qui se ferme avec une chaînette et un cadenas.

De retour à la maison, j’ai immédiatement mis mon plug anal de chasteté puis une couche Abena et la culotte plastique qui se ferme avec une chaînette et un cadenas.

A la suite de quoi, je me suis fait un string de chaîne par dessus la culotte en plastique et je l’ai bloqué avec un cadenas posé au dessus de mon nombril. Le but était de bloquer des menottes au niveau de mes reins.

Mes accessoires BDSM et fétichistes étaient composés d’un soutien-gorge bloquant mes pinces à seins puis un body sculptant de femme et un collant. Pour ne pas attirer l’attention ni risquer l’attentat à la pudeur en allant chercher les clés quand je serai libre, j’ai enfilé un survêtement. Cela me faisait tout boudiné, un gros c... et transpirer.

Par sécurité, au premier étage de la maison, j’ai attaché une corde solide qui allait d’une grosse armoire au bas des escaliers. Elle me permettrait de descendre les escaliers bondagé et à l’aveugle en tenant la corde. Fou dans mes selfbondages mais pas suicidaire !

 

J’étais déjà en transe, le plug de chasteté anale commençait à « pousser » comme si j’avais envie de déféquer et dans la cage de chasteté, ma verge était compressée au maximum. Du ruban adhésif et une chaîne plus un cadenas m’ont permis de lier mes chevilles et mes cuisses serrées. Là, commencer à me déplacer devenait difficile.

Pour compliquer un peu ma libération, j’ai entravé mes chevilles au radiateur avec une chaîne et un cadenas dont les clés étaient dans le coffre électronique.

 

Il était aux environs de 15 heures, quand j’ai enfilé ma cagoule d’isolation BDSM et bloqué mes menottes au niveau de la chaîne de me reins. Cette chaîne bloquait mes mains de telle façon que je ne pouvais pas essayer de retirer les pinces à seins. Les clés des menottes étaient dans le fameux coffre électronique que je me suis offert il y a peu. Une ficelle les reliait à mes menottes. Le coffre était programmé sur 3 heures, j’allais donc rester bloqué au moins 3 heures avant de pouvoir commencer ma libération.

Après le dernier clic des menottes, par habitude j’ai commencé à tester mes entraves. Impossible de m’échapper. Hum... Rouler et tirer sur les entraves, quel plaisir.....

Le premier soucis est rapidement arrivé dans mes fesses. Le plug de chasteté anale semblait vouloir sortir, sauf qu’une fois ouvert à l’intérieur de l’ampoule rectale, s’il sortait cela risquait d’être plus que ultra hard ! J’ai donc serré les fesses comme un malade. La meilleure position pour le maintenir était couché sur le ventre fesse serrées, mais, couché sur le ventre, les pinces à seins..... La patience étant de mise quand on fait du selfbondage, j’ai fini par trouver un compromis au niveau de la position puis par m’endormir, tous ces préparatifs m’ayant épuisé.

Le réveil fut difficile, très difficile ! Le plug anal de chasteté semblait vraiment vouloir sortir, ma vessie criait son envie de se vider. J’ai bougé pour le coincer en massacrant mes tétons avec les pinces. La chose douloureuse faite, le pipi couche sous cage de chasteté fut un réel moment de plaisir de par les sensations et le soulagement d’uriner. Lorsque j’ai tiré sur la ficelle des clés de mes menottes, le coffre s’est rapproché de moi mais n’était toujours pas débloqué. L’attente a commencé à devenir compliquée sur le plan anal puis difficile pour mon pauvre corps compressée et pincé en plus de l’inconfort.

Au bout d’un moment que j’ai trouvé très long, le capot du coffre s’est ouvert et a libéré les clés de mes menottes. Les mains engourdies, cela m’a pris plus de deux minutes pour les ouvrir à l’aveugle, je commençais même à me trouver nul ! A tâtons, j’ai rapidement trouvé les clés du cadenas de la chaîne m’entravant au radiateur. Une fois partiellement libéré, il me restait à descendre les escaliers pour aller récupérer les clés de la cagoule + les ciseaux pour couper le ruban adhésif + les clés de la chaîne bloquant mes chevilles.

Comme indiqué précédemment, j’avais prévu une corde pour assurer ma descente en « rappel ». Comme je n’avais aucune marge de manoeuvre au niveau de mes chevilles, c’est avec la corde de sécurité dans les mains que j’ai descendu les escaliers un à un avec prudence sur les fesses. A chaque marche, le plug anal....... J’ai du faire une pause en cours de route tant ma tête tournait.

Arrivé en bas des escaliers, j’ai pris l’option de ramper sur le ventre, mon anus n’en pouvant plus. Ramper sur le ventre avec des pinces à sein fut assez douloureux. J’ai donc commencé à tricher en plongeant les mains dans le body sculptant pour les retirer. Là j’ai un peu dégusté....

Il était 19 heures quand j’ai pu enfin marcher librement sur mes jambes après avoir retiré la cagoule. Je comptais me rendre sans tarder dans le bois derrière chez moi pour aller chercher les clés. Je comptais...... Je comptais...... Je comptais......

« Je comptais » car devant la maison, les jeunes du quartier jouaient au foot ! Même avec mon survêtement cachant ma tenue, je n’ai pas osé sortir. Je n’ai pas osé sortir pour aller chercher les clés dans le bois mais derrière ça poussait ! Pour compenser les effets sur mon anus, je me suis mis à marcher dans la maison en tenant le plug anal de chasteté. Chasteté « mon cul » cela m’a excité !!!!!! Cela m’a donné des envies de folie. Je me suis donc assis devant mon ordinateur, en étant assis dessus il ne tenterait pas de sortir. Et là, je suis devenue une « chienne en chaleur » !

Assis sur mon fauteuil je bougeais mes fesses comme si cela devenait un impérieux besoin d’avoir quelque chose qui bouge dans mon anus. Mes mains sont remontées machinalement vers mes tétons comme quand je m’accorde quelques plaisirs solitaires. Mes tétons n’en voulaient pas, j’avais trop f o r c é sur le temps des pinces à seins. C’était trop douloureux que de les titiller. Oui mais, dans ma cage de chasteté, la tempête faisait rage, je mis inutilement les « Mahomet », les mats au mets, pardon les mains au mat tordu dans son tube par dessus la couche et la culotte en plastique m’en interdisant l’accès. Je devenais fou !

Ce n’est que vers 21 heures que l’estomac des jeunes a du se manifester et les inviter à rentrer chez eux. C’est à pas de loup, avec un coeur de louve affamée de clés avec la main sur les fesses pour maintenir le plug anal de chasteté, que j’ai enfin pris le chemin de la libération. J’ai rejoué, à ma façon, le calvaire de Jean Moulin qui devait avoir la peur au vente, moi je l’avais juste un peu plus bas à cause de mes délires. Arrivé à l’arbre choisi, juste sous la pierre j’ai retrouvé les clés dans leur petit sac en plastique. Et là j’ai hésité entre rentrer comme ça avec le « frère sadique » dans les fesses et l’exclure du voyage retour.

La gestapo !

Pour moi c’était du pareil au même que la gestapo ! Dans ma rue, il y avait une voiture de flic ! Un voisin les avait appelé pour les jeunes qui avaient recommencé de jouer au foot ! Il voulait dormir et moi je voulais rentrer chez moi discrètement. Sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Ce n’est qu’une bonne heure plus tard que j’ai enfin pu rentrer à la maison et me libérer derrière. J’ai retiré tous mes sextoys, les pièces féminines de ma tenue fétichiste et là, vous pensez que j’ai soulagé mes tentions intérieures ? Et bien non, j’étais tellement HS que je me suis allongé sur le lit en couche sur le lit pour souffler et que je me suis endormi comme un bébé.

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Dimanche 7 mai 7 07 /05 /Mai 09:11

Une diaper-girl envoutée par Lil'One ® The One fait du selfbondage

 

 

 

Par TSM
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 15:25

Magalie m’a piégée avec le BDSM

 

Magalie est une amie de très longue date. depuis des années, elle fait du BDSM avec son mari. Il gagne super bien sa vie, ils ont même un donjon dans leur immense villa de rêve avec piscine, sauna et un jardin de folie. Lorsque je vais en vacances dans le sud, je fais toujours un crochet par Nice, cela me donne l’occasion de la revoir. L’été dernier, nous étions en pleine confidences de filles après nous être baignées nues dans leur piscine. je lui parlais de mes aventures coquines, elle me parlait de son BDSM, des sensations grisantes qu’elle éprouve quand son chéri la martyrise.

J’étais en train de fignoler mon maillot à la pince à épiler quand elle me parla des sensations du bondage, que l’on se sent libre de s’abandonner et que c’est très agréable. Magali m’a proposée de me faire essayer, je n’étais pas très chaude à l’idée d’être attachée. Elle m’a proposée un jeu débile avec des cordes et des menottes en me disant que je pourrai toujours essayer d’aller plus loin toute seule chez moi. Je ne comprenais pas vraiment l’intérêt de s’attacher seule mais elle a insisté et j’ai fini par céder, pour ne pas mourir idiote, d’après elle. Deux minutes plus tard, elle revenait de leur donjon avec des barres, des cordes, des menottes et des bâillons.

Magalie a commencé par bloquer ses jambes écartées avec une barre en me disant de faire la même chose qu’elle. Elle était d’humeur très joyeuse et pleine de délire en me disant des trucs très cochons du style : « imagine que tu es attachée à la disposition de ton amant qui va te défoncer la choune, que..... » Ensuite, elle m’a fait voir comment se faire un bondage de poitrine pour bien faire ressortir les seins. Comme pour la barre des pieds, je devais faire les gestes en même temps qu’elle. Et là, elle a commencé à partir dans de graves délires avec un bâillon qui représente un sexe. Elle le léchait comme une salope en manque avant de me donner un bâillon boule qui se serre derrière la tête avec une sorte de harnais. Pour lui faire plaisir, je me suis donc bâillonnée. Elle a jeté les clés des cadenas et des menottes dans le salon puis m’a fait comprendre que l’on devait passer les mains dans le dos et se menotter.

Comme j’avais peur, elle a retiré son bâillon pour m’expliquer que nous libérer serait ultra facile. Elle a encore lécher le phallus en faisant des « hum » avant de se le remettre. Quand elle m’a tendue mes menottes, j’étais tellement amusée par ses simagrées que je ne me suis pas méfiée. J’ai donc fait comme elle, j’ai mis mes mains dans le dos et j’ai fermé les menottes en galérant un peu. Cette salope s’est mise à genoux puis a commencé à venir se frotter contre moi. Dans nos délires, à un moment nous étions à genoux face à face et nous nous boxions à coup de poitrine. J’étais pliée de rire, ce jeu débile m’amusait.

Elle m’a abandonnée un instant pour aller chercher les clés à genoux. La voir se casser quasiment la figure pour attraper les clés m’a faite pouffer de rire. Moins d’une minute plus tard, elle avait retiré ses menottes et libérait ses chevilles. C’est quand elle a entrepris de libérer sa poitrine bondagée, que j’ai vu son regard briller. Magalie s’est levée puis m’a abandonnée en partant avec les clés. Je n’étais pas inquiète du tout, elle est très farceuse et toujours pleine de délire. Lorsqu’elle est revenue avec des sextoys dans les mains, j’ai commencé à me poser des questions. Elle n’allait quand même pas se masturber devant moi avant de me libérer !

Ses idées étaient toutes autres ! Quand elle s’est penchée sur moi avec une barre et de gros bracelet en attrapant mes cuisses j’ai immédiatement compris son piège. Malgré mes ruades de désespérée, elle a réussi à la poser sur mes jambes au niveau des genoux, m’interdisant ainsi de serrer les cuises. Sous mes yeux et sans aucune gêne, elle a allumé un vibromasseur en forme de micro (je sais maintenant que c’est un magic wand massager) puis se le passait sur les seins avant de le faire descendre doucement sur son intimité à peine protégée par un string minimaliste. Ses yeux brillaient du feu du désir, elle était belle et rayonnait dans son exhibition coquine. Soudain, elle s’est approchée de moi et m’a fait la même chose. Sur les seins bondagées, les sensations étaient très fortes, j’essayais d’y échapper par principe car j’étais un peu gênée et faisait « non » de la tête. Et là, au lieu de s’arrêter, elle m’a plaquée sur le sol puis l’a plongé entre mes cuisses en s’attaquant à mon chaton. J’avais beau essayer de me débattre, les deux barres écartant mes jambes et mes cuisses lui laissaient le champ libre.

Même si j’étais très gênée, son machin vibrant de folie a commencé à me faire des choses. En me disant que je mouillais tellement que mon string en était trempé, Magalie me mettait face à une réalité. Au delà de ma gêne et de ma pudeur, mon plaisir était au rendez-vous. Quand en même temps qu’elle vibrait ma choune elle s’est mise à grignoter mes tétons, j’ai su qu’elle allait m’avoir, les tétons étant chez moi un déclencheur de plaisir. J’ai arrêté de lutter, le plaisir montait et je ne pouvais rien faire pour échapper à son piège. Cette salope allait me faire jouir. Trois minutes plus tard je me tordais dans tous les sens en criant comme une perdue dans mon bâillon.

Lorsque j’ai ré ouvert les yeux, Magalie était couchée contre moi et caressait mon visage avec douceur. Avec beaucoup de douceur elle m’a retiré le harnais maintenant le bâillon puis les cordes du bondage de poitrine avant de me prendre dans ses bras pour un gros câlin. Je l’ai traitée de salope sans haine ni colère, je ne lui en voulais pas, ce n’était pas la première fois qu’elle me faisait des pièges, ils s’étaient toujours bien terminés mais n’étaient jamais allés aussi loin question intimité. Elle m’a demandée si elle pouvait me faire découvrir encore un truc, j’ai voulu savoir quoi, elle n’a pas voulu me le dire. Comme je ne refusais pas, elle m’a à nouveau étendue sur le sol puis s’est jetée couchée entre mes jambes pour me dévorer le chaton. J’avais beau lui dire « non », elle ne m’écoutait pas. Sa seule réponse a été : « j’en ai envie depuis trop longtemps ». Experte en la matière, cette garce m’a rapidement faite grimper en titillant mes tétons et en lutinant à merveille mon clito. J’étais tellement bien, que je n’ai même pas « imprimée » qu’elle fourrait ses doigts dans mon chaton.

Au bout d’un moment, je m’en suis rendue compte mais le plaisir était tel que je n’ai plus rien refusé, sa langue magique étant un « anti réfutation ». En même temps que sa bouche de gloutonne, je sentais mon chaton s’ouvrir à ses doigts. C’était divin, je me sentais « pleine » de plaisir. A un moment j’ai eu un peu mal puis c’est redevenu très, très, très bon, sa langue se déchaînait, sa main aussi. Quand j’ai explosé façon puzzle dans ma tête et mon corps, j’ai cru perdre connaissance tellement c’était fort. J’étais comme un légume, étendue sur le sol et vidée de toute énergie. Et là, Magalie m’a demandée si je voulais bien lui rendre sa main. Pour me permettre de comprendre, elle m’a aidée à relever la tête, je ne voyais plus que son poignet, elle venait de me fister. Cela ne m’était jamais arrivée. Elle l’a retirée sans problème sans me faire mal, c’était juste un soupçon désagréable après la jouissance démentielle qu’elle venait de me faire vivre.

Jugeant qu’il était temps de libérer sa prisonnière, Magalie a libéré mes jambes puis, en bonne garce qu’elle est, m’a confiée les clés de menottes en me disant qu’elle allait nous chercher à boire. Je galérais encore quand elle est revenue avec du coca frais, elle était pliée de rire quand elle m’a dit : « si dans deux minutes tu n’es pas libre, je recommence tout ».

Cette expérience m’a perturbée car effectivement, avec ses jeux BDSM j’avais joui bien plus fort que d’habitude.

Alain est arrivé vers 19 heures, il était ravi de me revoir, et moi aussi, car il est génial. Quand il nous a demandé ce que nous avons fait de notre journée, Magalie lui a parlé de la piscine et que nous avions câliné un peu mais a occulté son piège de selfbondage. Les sachant très joueurs, je lui ai indiqué qu’elle ne lui disait pas tout. Sa soumise a du lui dévoiler les « méchancetés » qu’elle m’avait faites en position 6, la position dite de O. D’humeur très joyeuse et joueur comme toujours, il a déclaré que je devais être vengée et qu’elle méritait une punition pour l’abominable piège qu’elle m’avait tendu, et en rigolant, qu’il regrettait de ne pas y avoir assisté. Il lui a ordonné de se mettre nue et d’aller au donjon avant de m’inviter à les suivre. Je ne voulais pas les gêner et j’ai refusé, il a insisté en m’expliquant que ma présence ne les dérangerait pas du tout.

Je me suis faite toute petite comme une souris pendant qu’il l’attachait bras et jambes en croix à des anneaux fixés dans le sol et au plafond. Et là, il m’a tendu un martinet en me disant de me venger. J’ai refusé en lui disant que je ne me voyais pas lui faire du mal, que ce n’était pas mon truc. Il m’a expliquée que ce n’est faire du mal, que c’est un plaisir différent, que je ne devais pas tout confondre. Après lui avoir donné des coups de martinet de partout, y compris sur les seins et le sexe, (j’avais mal pour elle) il est venu attraper ma main pour me guider jusqu’à l’entrejambe de Magalie afin que je touche son intimité. Si j’étais très gênée de la toucher, j’ai effectivement constaté qu’elle était trempée. La garce, en plus elle est maso !

- Tu vas m’aider à l’achever ! M’a indiquée Alain en me tendant un Melrose, tout en m’expliquant comment je devais bien l’ajuster pour qu’il aspire bien son clitoris. Il a rajouté que si elle se mettait à crier et même à hurler, il ne fallait surtout pas que je m’affole et qu’elle avait des jouissances très bruyantes. Je ne devais donc pas m’arrêter même si elle se débattait dans ses liens en criant des « non » ou des « stop ».

L’idée de me « venger » un peu m’amusait beaucoup malgré le fait que je n’avais encore jamais vraiment touchée une fille. J’ai fait un gros bisous sur la bouche de Magalie qui me l’a rendu de bon coeur, avant de m’asseoir entre ses jambes. Alain a fait claquer un fouet et faite bondir de peur. Il m’a ordonnée de m’occuper de sa chatte pendant qu’il s’occuperait de son cul. J’ai donc pour la première fois fouillé le sexe d’une femme pour faire ressortir son clitoris et poser le Melrose sur son bouton des plaisirs.

Magalie a immédiatement commencé à bouger dans ses entraves avant même qu’il la fouette. Je voyais les muscles de ses cuisses écartées se tendre, ses hanches bougeaient comme pour le fuir, c’était très amusant. Le fouet a commencé à claquer sur ses fesses, elle bondissait à chaque coup en se tordant comme si elle avait mal, mais aussi comme quand j’aspirais son clitoris avec le sextoys vibrant. Elle s’est rapidement mise à pousser des « ah » puis à respirer de plus en plus vite. J’étais impressionnée ! Je m’acharnais aussi à bien suivre son corps avec le Melrose car elle bougeait beaucoup.

Quand elle s’est mise à hurler et à crier « stop » j’ai cru qu’elle disait « stop » pour les coups de fouet et j’ai continué à m’acharner sur son clitoris. Les « stop » sont devenus des « arrête je t’en supplie » avant de redevenir des « ah ». Au bout d’un moment Magalie s’est mise à convulser, Alain est venu m’arrêter en m’expliquant que cela devenait trop fort pour Magalie. Il m’a dit de passer ma main entre ses jambes, je l’ai fait pour voir, elle a fait un bond comme si je l’avais électrocutée ! ! !

Alain a étendu une couverture sur le parquet du donjon avant de la libérer et de la couvrir. Elle s’est avachie dessus en continuant de convulser de temps en temps. Devant mon visage inquiet, il m’a rassurée en m’expliquant qu’elle continuait d’avoir des contractions de jouissance, que je ne devais pas m’inquiéter, qu’elle allait bien.

Après s’être remise, Magalie s’est vêtue d’une robe la mettant très en valeur et ne cachant rien ou presque de ses formes et de son intimité. Nous avons pris l’apéro et dîné en toute amitié en abordant de multiples sujets et le BDSM que je découvrais un peu plus. En fin de soirée, Magalie est aller chercher le Melrose au donjon. Elle m’a indiquée l’avoir désinfecté et qu’elle me le prêtait pour la nuit. J’ai accepté malgré la gêne, il n’est pas dans mes habitudes d’informer des gens de mes plaisirs solitaires mais je ne voulais pas les vexer. Lorsque nous sommes aller nous coucher, Magalie m’a souhaitée bonne nuit en me faisant un clin d’oeil très coquin plein de sous-entendus.

Je ne pensais pas me servir de leur Melrose, je l’ai posé sur la table de nuit avant de me coucher et d’éteindre la lumière. Repenser à toutes les aventures de cette journée particulière a éveillé des choses en moi. La coquine curiosité m’a incitée à au moins essayer leur nouveau sextoys. Ce fut magique, divin, extraordinaire mais presque trop rapide. J’ai jouis en moins de deux minutes. Presque déçue que cela ait été aussi rapide, j’ai remis le couvert dix minutes plus tard en entendant un lit butter régulièrement contre un mur. Cette fois, je suis arrivée à contrôler le jouet et à faire durer le plaisir. Il parait que j’ai été bruyante.... Ce qui est sûr, c’est que je vais m’acheter un Melrose dès que je rentre chez moi.

Magalie et Alain m’ont invitée pour les fêtes de fin d’année et promis une initiation BDSM en douceur si j’acceptais. J’ai très peur de céder à la tentation !

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Mondes Libertins
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 15:19

Piégé en couche et en selfbondage une nouvelle vie démarre

Après 20 ans de mariage, sa vie de couple partant en brioche, un homme s’adonne à des plaisirs solitaires et au selfbondage. Son épouse, une déesse, une beauté de la mère nature le découvre. Une histoire à rebondissement mais aussi qui traite des Mères oubliant d’être femmes.

Après 20 ans de mariage, ma vie de couple partait en brioche. Marié et papa à 19 ans, je n’ai pas profité de ma vie d’homme. Ma puce était une déesse, une beauté de la mère nature, nombreux étaient ceux qui la courtisaient en vain, j’étais l’élu. L’élu de son coeur, nous câlinions des week-ends entiers en nous disant des mots d’amour. Et puis bébé est arrivé, j’étais fier comme Artaban, c’était un beau bébé, un garçon qui a fait ses nuits en un rien de temps. Un p’tit bout d’homme bien, f o r c é m e n t c’était le mien....

Le problème est que la femme en devenant mère a oublié qu’elle était une femme. Si au début je trouvais logique qu’elle consacre son temps et son énergie pour le bébé, Marion n’était plus intéressée par le sexe. Tout au plus quelques câlins de temps en temps nous rapprochaient. Je n’étais plus son mari, je n’étais plus que son amis et le père de son bébé....

Mes multiples tentatives pour sortir, aller au cinéma, au restaurent ou autre en payant une étudiante pour faire la nounou se sont toutes soldées par des échecs. N’étant pas coureur de jupons de par ma timidité avec les filles, j’ai fini par prendre un abonnement avec la veuve poignet et par surfer sur le net. Comme je savais par avance que mes tendres attentions se solderaient par un échec, j’attendais qu’elle soit couchée pour aller surfer sur des sites dits cochons. Les BDSM m’a attiré, non pas pour la douleur mais pour les jeux de rôles. Des fois je me voyais attacher ma puce pour lui faire des choses, d’autre fois, je m’imaginais entravé obligé de lui déguster le minou dans un facesitting d’enfer où elle jouissait comme avant, comme à nos débuts de vie de couple quand nous faisions des 69 de folie.

Un jour, je suis tombé sur Fessestivites, un site abordant de multiples fétichismes. Au départ, je me suis limité à la partie gratuite, les histoires érotiques et les photos BDSM suffisaient à me faire rêver. Je n’avais pas d’annonce ni de photo, il était hors de question pour moi de tromper ma femme et de faire des rencontres. Une nuit, un texte mélangeant BDSM et ABDL m’a perturbé. J’avais vu qu’il y a des photos ABDL, mais je me disais que ces gens avaient des goûts bizarres. Cette histoire érotique traitait de domination féminine, de bondage et d’humiliation.

La Maîtresse attachait son mari soumis et, après l’avoir un peu martyrisé, lui imposait un facesitting pour prendre son plaisir. A la suite de quoi, elle lui mettait une couche et le laissait attaché pour la nuit avant d’aller dormir. Le mec racontait sa gêne puis la honte qu’il avait éprouvée quand, n’en pouvant plus, il avait du se laisser aller dans sa couche et que sa femme savait qu’il aimait ça. Le matin, elle venait s’offrir un deuxième facesitting en titillant ses tétons tout en lui disant que s’il n’arrivait pas à la faire jouir, elle le laisserait attaché toute la journée. Dans sa jouissance, elle avait laissé échapper quelques gouttes d’urine qu’il avait bu avec un plaisir nouveau.

Cette histoire ayant enflammé mes sens, j’ai commencé à regarder les photos ABDL. Les photos de mec en couche ne m’attirent pas, celles des filles AB dans leur monde de petites filles m’ont beaucoup plus. Celles associant BDSM et ABDL m’ont rapidement passionné. J’ai fini par prendre un abonnement après avoir contacté le webmaster pour savoir ce qui apparaît sur le relevé de banque. Et là, j’ai pu accéder à toutes les vidéos. J’y ai passé des nuits ! J’en ai eu des cernes sous les yeux et presque des ampoules, non pas à la main mais sur ma verge que je suis parvenu à irriter ! ! ! ! !

Un soir, en manque d’amour, j’ai branché ma femme en lui faisant remarquer que cela faisait trois mois qu’elle se refusait à moi et que nous n’avions pas fait l’amour. Quand elle m’a demandé si je tenais les comptes, j’ai répondu « oui » et je lui ai sorti le calendrier. Il y avait une croix sur le jeudi 10 janvier, si j’ai bonne mémoire, nous étions début mars. Elle m’a sauté au cou et m’a fait des tonnes de bisous en me disant qu’elle m’aimait, qu’elle avait juste un peu perdu sa libido. Quand une femme aussi belle que Marion vous saute au cou et vous fait des bisous, vous devenez non pas un légume mais vous fondez comme neige au soleil. Ce soir là, nous avons fait l’amour, j’avais juste l’impression dans ma tête qu’elle faisait un effort. Un sentiment horrible qui me mina au point qu’elle me demanda de me laisser aller. Il est vrai que j’ai toujours su me contenir et que je jouis quand je veux. Là, j’avais envie que cela dure toute la nuit comme avant.............

Il n’y a pas eu de grands changements après cette discussion ! J’ai repris un abonnement avec la veuve poignet et sur Fessestivites. C’est sur ce site que j’ai découvert le selfbondage. Plutôt que de craquer et la tromper, cela m’est apparu comme une alternative me permettant de me faire quelques plaisirs BDSM lorsque j’ai mes RTT. N’ayant pas de matériel BDSM, j’ai bricolé quelques trucs, j’avais des chaînes et des cadenas, des trucs simples qui se cachent dans le garage. Sauf que, quand on y a goutté.......

Sauf que, quand on a goutté au BDSM on a envie d’aller toujours plus loin.

J’ai donc commencé à visiter les sexshops et à m’acheter quelques accessoires. Pour les cacher, je me suis fabriqué un gros coffre où j’ai écrit « plomberie » au feutre sur le bois. J’ai ensuite fabriqué un coffre d’un centimètre de moins que le gros pour mettre à l’intérieur avec des bouts de tuyaux, des morceaux de gouttière, des trucs me servant à faire croire que...... Dessous, ce mini coffre, j’y cachais mes jouets coquins. Si ma femme ou mon fils ouvrait le coffre, ils ne pouvaient rien voir et n’iraient pas plus loin.

Les pratiques ABDL ont à nouveau titillé mes envies lubriques avec les 365 idées de jeux et punitions qui ont été publiés sur le site. J’ai fini par céder à l’envie d’essayer. J’ai donc commandé des couches et une culotte en plastique en me faisant livrer en poste restante. Le contenu du colis a trouvé sa place dans mon coffre « plomberie » dans le garage jusqu’à mes RTT. Lorsque j’ai essayé la couche, j’avoue avoir été déçu. J’ai donc zappé quelques temps. Le jour où j’ai été nommé directeur de l’agence bancaire où je travaille, cela a changé a donne. Je pouvais prendre des demi-journées sous des prétextes bidons sans avoir à rendre des comptes.

C’est donc le jour du BAC de mon fils que je me suis fait un gros délire qui a changé ma façon de faire du selfbondage en incluant la couche dans mes plaisirs. Après l’avoir déposé à a l’endroit où se déroulaient les épreuves, je suis revenu chez moi. Je m’étais fait un petit ice-timer en croisant les doigts pour que Marion ne le trouve pas dans le congélateur. Je me suis donc attaché avec un petit plug dans les fesses, une couche, des pinces à sein après avoir déposé les clés emprisonnées dans le glaçon dans l’entrée de la maison. ce jour là, j’ai du ramper comme un vers pour aller les chercher et attendre que le glaçon ait fini de fondre pour me libérer. Aussi idiot que cala puisse paraître, lorsque j’ai mouillé la couche j’étais à deux doigts de jouir. Une fois libre, lorsque je me suis masturbé en imaginant ma princesse m’obligeant à lui bouffer le chaton, j’ai pris un pieds d’enfer. Je crois que cela a été le plus puissant orgasme de ma vie. J’étais vidé de toute énergie, couché à même le carrelage, je n’arrivais pas à me relever.

Notre relation de couple c’est dégradée progressivement. Un jour, je lui ai dit : « à quoi me sert d’avoir la plus belle femme du monde si je dois me branler pour avoir un minimum de sexualité ». Elle n’a pas aimé. Comme elle m’a tenu tête, je lui ai demandé si elle avait un amant ou si elle espérait que son pucelage se reforme. Etant à bout, comme je ne cédais rien dans cette dispute, elle a fondu en larme. Ce soir là, cela ne m’a fait ni chaut ni froid. J’ai été méchant et lui ai indiqué en guise de mots se voulant consolateurs : « va te coucher, je vais me branler en rêvant que j’ai une femme ». Et là, je l’ai mise dehors du salon et j’ai fermé la porte. Je ne me suis pas masturbé, j’ai pleuré.

C’est ce soir là que j’ai décidé pour notre fils d’attendre un peu avant de demander le divorce. C’est aussi ce soir là que j’ai décidé de vivre ma sexualité en solo et de prendre tous les jeudis pour me faire plaisir. Mélanger le BDSM et l’ABDL est rapidement devenu une habitude lors de mes selfbondages. J’ai acheté de nouveaux jouets en payant par carte bleue, je me foutais royalement que Marion découvre mes dépenses. Par contre, pour préserver notre fils, j’ai fabriqué un deuxième coffre de « plomberie » ayant acheté un max de tenues et accessoires en guise de compensation d’une vie de couple que je n’avais pas.......


PIEGE EN COUCHE ET EN SELFBONDAGE

Comme indiqué précédemment, notre relation de couple c’est dégradée progressivement. J’ai prétexté ne pas avoir les mêmes vacances qu’elle pour m’accorder une semaine de délires et plaisirs personnels. Je lui ai promis de la rejoindre dans notre appartement au Cap d’Agde le vendredi et que je prendrai des RTT pour être avec elle le soir.

J’étais donc peinard, seul à la maison. Cette semaine là, je n’avais pas à tout cacher avant qu’elle arrive.

Je m’étais fait un très long lavement pour être propre avant de m’injecter un litre d’eau dans les fesses puis de me faire un plan BDSM selfbondage et ABDL.

J’avais acheté un coffre électronique sur ABCplaisir. A l’intérieur il y avait les clés de mes menottes.

Par sécurité, une ficelle à rôti doublée allait des menottes enfermées dans le coffre à mes menottes.

J’avais mis une culotte en plastique et deux couches, une était percée la deuxième par dessus assurerait l’étanchéité.

J’étais sur le lit, attaché sur le dos avec les jambes maintenues écartées par des bracelets et des cordes.

J’avais mis des pinces à mes tétons.

J’avais mis une des chemises de nuit de Marion

Je m’étais bâillonné avec un bâillon bouche ouverte.

J’étais en train de planer dans mes délires et mon selfondage en essayant de contrôler le dernier lavement désirant ressortir de mes intestins.


ET LA MARION EST ENTREE DANS LA CHAMBRE !

La porte étant fermée à clé, comme il n’y avait personne d’autre que moi et pas de dégât dans la maison, elle a compris que je n’étais pas en difficulté MAIS elle a pensé que la femme qui m’avait fait ça et allait revenir.

Marion n’a pas calculé le coffre électronique, d’ailleurs, comment pouvait-elle comprendre ?

Elle a pété un câble !

Elle a pleuré.

Elle m’a traité de tous les noms.

Et je ne pouvais rien dire hormis des : « é a e que u rois » à cause du bâillon. (Essayez de parler avec un bâillon bouche ouverte, vous comprendre mes soucis d’élocutions)

Marion m’a laissé seul avec ma déprime, mes angoisses, ma honte. Elle est revenue une demi-heure plus tard en me demandant le code d’accès au dossier « I like » caché à la racine du disque dur de notre ordinateur. Pour que je puisse parler, elle m’a retiré le bâillon en me disant avec la voix d’une hystérique qu’il valait mieux que je ne joue pas au con. Je lui ai donné le code, elle s’est acharnée sur le coffre qu’elle voulait emporter avec elle. C’est avec un couteau qu’elle est revenue une minute plus tard pour couper les ficelles à rôti reliant mes menottes aux clés. A la vue du couteau, j’ai cru que ma dernière heure était arrivée.

Je suis resté attaché trois heures avant que Marion revienne avec les larmes aux yeux. Ces trois heures ont été abominables. Voilà à peu prés ce qu’elle m’a dit :

J’ai cru que tu me trompais. J’ai cru à la fin de notre couple. Je t’aime plus que tout au monde. Je viens de lire ta correspondance, de voir les photos et vidéos que tu collectionnes. Je sais que tu m’aimes, que tu ne veux pas me tromper. Oui je t’ai délaissé, oui j’ai été mère et j’ai oublié d’être femme. J’ai pleuré comme une madeleine dans le TGV que j’ai pris pour revenir du Cap et en avoir le coeur net. J’ai aussi pleuré en lisant ton texte « Le rêve de ma vie ». Ce texte a été pour moi un électro choc. Je te jure mon chéri que même si ta libido est particulière et que tu es complètement fou, à partir d’aujourd’hui je vais redevenir ta femme, la femme que tu as épousée. J’ai aussi lu dans ton dossier que tu allais entreprendre une procédure de divorce. S’il te plait mon chéri, laisse-moi une chance, laisse-moi me faire pardonner. Non je ne suis pas frigide, non je ne suis pas qu’une mère, non je n’ai pas oublié l’homme qui a su me rendre mère mais aussi faire de moi une femme qui aime l’amour et a réussi à la faire jouir. Je crois qu’il est temps pour moi de me faire pardonner et de me donner à toi comme avant, de vivre aussi comme avant. Je t’aime et puisque tu rêves de facesitting, ....................

Et là, alors que nous étions deux à pleurer, elle a enjambé mon visage et m’a donné son chaton à déguster. Je ne sais pas si elle a simulé ou pas, mais elle a pris son temps et a beaucoup mouillé. Sans même me détacher, elle a ensuite dévoré mon visage et ma bouche de bisous sauvages en se frottant à moi comme une damnée.

EPILOGUE

Aujourd’hui, Marion sait à quoi servent tous les accessoires qu’elle a trouvé dans les coffres « plomberie ».

Aujourd’hui, Marion est redevenue un démon au lit, j’en suis à prendre des vitamines.

Aujourd’hui, Marion a mis mon sexe dans la cage de chasteté qu’elle a trouvé dans le coffre, elle ne veut plus rien perdre de ma « vitalité » et me libère tous les soirs ou presque.

Aujourd’hui, Marion est parfois ma soumise, parfois ma Maîtresse, parfois ma nurse mais aussi ma perle d’amour comme avant.

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 08:41

Mauvaise surprise très BDSM pour un souminateur

Paul aime le BDSM, il rêve d’avoir une Maîtresse qui lui fasse ce qu’il aime. Comme beaucoup de soumis me direz-vous, car la soumission ce n’est pas uniquement ce que l’on aime mais bien d’autres choses et un état d’esprit.

Paul a beaucoup de chance, sa femme l’aime à la folie et accepte ce qu’elle appelle, « ses égarements ». Elle lui fait donc sans grande conviction ce qu’il lui demande. Jeune retraité de l’armé, il joue souvent tout seul à la maison pendant que sa femme travaille. Il s’est même offert le coffre électronique de chez ABCplaisir.com cela lui permet de mettre sa cage de chasteté en métal et de s’obliger à rester chaste, au moins de devant car, dans ces périodes, il compense ses envies avec des plugs de toutes tailles.

Il vient de s’offrir le lot de 3 plugs dont le dernier fait 62mm. Les anciens diraient qu’il a les yeux plus gros que le ventre car ce dernier plug trop gros pour lui ne passe pas. En cette belle journée de printemps, il s’est fait un selfbondage. Il a écrit sur un papier scotché à la porte d’entrée ce que Marie doit lui faire quand elle arrivera. Par sécurité il a toutefois mis les clés de menottes près de lui dans le coffre électronique au cas où sa femme aurait un souci.

Son plan de selfbondage était osé dans le sens où il cumulait beaucoup de choses et de fétichisme. Étendu sur le lit avec sa cage de chasteté plus un plug et une couche, il attend Marie en fantasmant. Ses jambes sont maintenues écartées par des menottes, doublées de fourrure pour son confort... Ses poignets sont bloqués au-dessus de sa tête par des menottes en acier fermant réellement avec des clés, sur ta tête il s’est mis une cagoule BDSM permettant de jouer avec la vue et la bouche en fonction des envies de la Maîtresse.

Aussi gentille que soit Marie, elle sature un peu des folies de son mari. Ne sachant pas que son mari avait décidé de jouer, elle a invité à dîner son amie Laurie, une lesbienne dominatrice dans l’âme qui la drague depuis des années. En arrivant à la maison, elles découvrent toutes les deux la « fiche de mission » de son mari soi-disant soumis.

- Putain j’en ai mare de ses conneries, regarde ce qu’il s’est préparé ! Dit Marie à Laurie en lui tendant le papier.

Ma maîtresse chérie

Je me suis entravé pour toi dans la chambre.

J’ai mis ma cage de chasteté, tu ne dois me la retirer pour t’empaler sur moi que quand j’aurai bien léché ta chatte.

Comme tu seras en colère après ton piètre soumis, tu changeras le plug de mes fesses pour mettre celui de la taille au dessus avant de prendre du plaisir sur ma queue.

Après avoir joui, tu refermeras la couche ou la changeras si elle est trempée et me laisseras encore une petite heure avant de venir me délivrer.

Ton soumis

P.S. je n’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, ce soir tu n’as qu’à commander des pizzas.

- Un soumis qui me parle comme ça, je lui en ferai baver ! Indique Laurie à son amie en lui rendant la feuille. Tu comptes faire quoi là ?

- Je ne sais pas, je n’ai pas envie de jouer, j’ai envie de douceur et d’un bon câlin, pas de ces conneries.

- Et si tu lui faisais une surprise ?

- Laquelle ?

- Tu me laisses m’occuper de son cas mais rassure-toi, sa bite ne risque pas de rentrer dans mon petit chaton, il est réservé aux femmes aussi jolies que toi !

- Tu ferais ça pour moi ?

- Mais avec plaisir ma chérie, tu sais que j’ai eu un soumis pendant des années. Je ne manque pas d’expérience, cela m’amusera et te déchargera tout en lui faisant une surprise.....

- Après tout pourquoi pas ! Que dois-je faire ?

- Tu viens juste quand je t’appellerai. La clé de sa cage de chasteté est où ?

- Elle doit être à côté de lui avec tout son bazar.

- Va prendre un bon bain et te délasser, je m’occupe de tout ma chérie.

Lorsque Laurie entre dans la chambre, Paul fait semblant, comme d’habitude, d’être une victime et tire sur ses entraves. Ne pouvant voir ce que ce n’est pas sa femme, il s’agite et crie dans la cagoule qu’il a très envie d’elle et que la menotte de son cheville droite est un eu trop serrée.

- Oh le vilain bébé que voilà ! Crie Laurie pour qu’il l’entende à travers sa cagoule. Il en veut des choses ce coquins !

Surpris Paul prend peur. Cette fois il tire comme un forcené sur ses entraves mais elles résistent. Qui peut être cette salope ? Une équipe de cambrioleur ? Quelle heure peut-il être se demande t’il en espérant que sa femme arrive rapidement ? Lorsque Laurie pose sa main sur la couche et en flatte le contenu, il se demande ce qu’il va lui arriver. Au moment où elle l’ouvre il s’affole vraiment !

- Mais elle est jolie cette cage de chasteté, au moins avec ça, tu es obligé d’être sage. Oh il s’est mis un petit plug dans le cul, mais ce n’est pas là qu’il faut mettre sa sucette. Et puis on va la changer, elle est trop petite cette tétine, on va en mettre une pour les grands.

Paul comprend à ses propos que ce ne sont pas des cambrioleurs, cela ne peut qu’être une surprise de sa femme. Son rêve, être soumis à deux femmes qui seraient des acharnées de sexe. Hummmm. Passé le moment de honte, il ne tente plus de se libérer mais se laisse faire avec plaisir. Laurie retire délicatement son plug qu’elle essuie sur la couche puis prend en une autre qu’elle glisse sous ses fesses en lui demandant de l’aider. Paul soulève ses reins avec plaisir ! Lorsque Laurie prend une « tétine plus grosse » elle n’y va pas par quatre chemins, elle prend le plus gros ! Celui de 62 mm qu’il n’est pas arrivé à prendre, elle le charge en lubrifiant. Paul prend conscience qu’elle s’est « trompée » ce n’est pas celui-là qu’il veut mais l’autre plus petit. Elle n’a que faire de ses réfutations désespérées et s’acharne à le loger dans son petit cul trop étroit. Il résiste et se cambre en appuyant fortement ses fesses sur le matelas, mais c’était sans compter sur le savoir faire d’une vraie Maîtresse expérimentée !

Ni une ni deux, elle attrape ses testicules qu’elle serre fortement puis les tire vers la tête de Paul comme si elle voulait les poser sur son nombril. La douleur est telle qu’il se cambre dans l’autre sens et laisse un meilleurs accès à son anus. Laurie en profite pour le faire passer en appuyant très fortement et en le faisant tourner. Paul a l’impression que son cul explose, cela lui fait même l’effet d’une brûlure dans c’est tendu. Soudain, face à la volonté d’une Maîtresse décidée à mater un souminateur, le plug de 62 mm s’enfonce dans ses entrailles, soulageant de fait la douleur. Si cela soulage Paul, cela l’affole aussi parce qu’il faudra le ressortir !!!!!

Il est tellement essoufflé et transpirant sous sa cagoule qu’il prend à peine conscience qu’elle referme la couche. C’est lorsqu’elle serre fortement en écrasant ses testicules contre la cage de chasteté que la réalité lui saute aux yeux : elle va le lui laisser !

- Voilà qui est fait, qu’est-ce qu’elle devait faire encore ta femme, attend je regarde. Ah oui, elle devait se faire bouffer le chaton puis ensuite, retirer la cage et s’empaler pour jouir. Oui ben je doute que dans ces conditions elle y arrive ! Bon pour le broutage de minou on va faire un compromis. Cela tombe bien, j’ai envie d’aller aux toilettes. Lui crie Laurie en enjambant son visage. Allez ouvre la bouche !

Comme le lecteur peut s’en douter, Paul n’est plus volontaire du tout ! Pour générer les bonnes volontés, rien ne remplacera les ongles acérés féminins plantés dans les tétons. Il crie et se débat, elle serre un peut plus en les faisant tourner et en les tirant. La bouche ouverte pour crier de douleur, Paul reçoit un long jet d’urine qui l’étouffe. Il crache et tousse, Laurie lui laisse le temps de se reprendre et lui annonce qu’il va devoir tout boire s’il veut conserver ses tétons. Lorsqu’il sent les ongles dangereux attraper ses petites tétines en feu, il ne peut qu’abdiquer. C’est un moment très difficile à vivre pour Paul à deux doigts de vomir.

- Lèche la goutte !

Paul s’exécute sans discuter, il ne veut plus souffrir et lape les lèvres intimes humides.

- Mon petit cul aussi, tu l’as éclaboussé !

Écœuré mais vaincu, il s’exécute entre une fois en espérant que son calvaire se termine rapidement. Le pauvre..... Satisfaite de la langue du maté, Laurie se lève et prend une paire de pince à sein qu’elle pose sur les tétons déjà malmenés avant de lui souhaiter un gros dodo. En entendant ça, Paul s’affole et essaye d’attraper le coffre électronique contenant les clés de menottes. Il a disparu !

........................

Le souminateur maté va attendre ainsi plus de trois heures. Marie va venir le libérer mais les trois heures d’attente vont être difficiles pour lui. Ce qu’il ne sait pas encore c’est que sa femme a cédé aux demandes de Laurie et qu’elle a goutté aux plaisirs saphiques et que cela a été une révélation pour elle.

- Et coucou vilain bébé ! Dit Laurie en entrant dans la chambre accompagnée de Larie.

Elle lui retire sa cagoule, Paul cligne des yeux à cause de la lumière soudain trop vive. Il ouvre soudain en grand lorsqu’il voit sa femme enlacer cette femme qu’il ne connaissait pas. Il les écarquille en les voyant s’embrasser à pleine bouche !

- Et oui, je connais ta femme depuis longtemps, et ce soir, pendant que tu vivais réellement ta soumission, elle a découvert que faire l’amour avec une femme c’est très bon.

Sur ces mots, Laurie se met à faire des photos de lui avec son téléphone mobile. Paul est furieux et essaye de cacher son visage mais trop tard, le mal est fait.

- Il est bien ton coffre, on va y mettre les clés des menottes, comme ça, Marie ne te libèrera pas tout de suite. Cela te laissera le temps de méditer. Les clés de ta cage de chasteté, c’est moi qui les garde, comme ça, tu vas vraiment apprendre ce qu’est la soumission. Je vous laisse ma chérie, et, si pendant qu’il est bloqué dans ses entraves tu as envie de te faire brouter le chaton, n’hésite pas, il sera volontaire. S’il ne l’est pas, pince ses tétines, cela ira beaucoup mieux.

Après un long et langoureux baiser, Laurie quitte les lieux en lui faisant voir qu’elle met dans son sac à main les clés de sa cage de chasteté

Une nouvelle existence s’ouvre à lui, celle d’un vrai soumis à deux femmes. Marie prenant goût à la domination en compagnie de sa nouvelle chérie, Paul n’a plus besoin de faire du selfbondage pour s’amuser, il espère même une trêve.

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 08:40

Ma femme n’a pas aimé mon selfbondage et m’a réellement mis sous cage de chasteté

En couple depuis près de 20 ans, nous pratiquons les BDSM de façon épisodique et en switchant de temps en temps. Disons plutôt que Madame switche pour me faire plaisir en me faisant des choses que j’ai envie de vivre. La société qui m’employait a déposé le bilan. Cadre depuis plus de 22 ans, ma prime de licenciement plus les trois ans de chômage me permettent de réaliser quelques travaux à la maison tout en m’offrant de confortables loisirs solitaires, exemple : surfer sur le net, faire du selfbondage, m’offrir des accessoires BDSM comme le coffre électronique Chasteté et BDSM et une nouvelle cage de chasteté.

Gérer ma cage de chasteté ne l’amusait pas, elle oubliait même les clés sur le buffet de la cuisine en partant travailler le matin.... Le gros gag est que je lui ai donné une fessée pour ça et qu’elle a adoré. GRRRR Bon, ok, après, étant très excité, je lui ai fait l’amour comme un fou en manque.

Lundi dernier, après avoir lu des histoires de selfbondage et de domination féminine, j’étais en rut. J’ai donc décidé, en guise de clôture à finir, de me faire un plan de selfbondage sous cage de chasteté. Après avoir mis les clés de ma cage de chasteté dans le coffre électronique programmé sur six heures, je me suis entravé sur le lit avec un plug entre les fesses, des pinces sur les seins avec comme moyen d’auto libération un gros ice-timer contenant les clés de mes menottes.

Je surfais allègrement sur la chaîne fantasme en tirant sur mes entraves et en agitant les fesses sur le plug qu’une sadique Maîtresse m’obligeait à porter quand d’un seul coup, j’ai entendu la porte d’entrée de la maison. Ce bruit m’a fait froid dans le dos, j’ai cru un instant à des cambrioleurs. En guise de voleur, la voix de ma femme m’aussi fait très froid dans le dos ! ! ! Elle criait « chéri, tu es là » ?

Je me sentais mal, mal de chez mal jusqu’au moment où elle m’a découvert nu entravé sur le lit et là, je me suis senti pitoyable.

- Mais tu fais quoi là ? A crié Géraldine.

- Un poker chérie, cela se voit non ?

Mauvaise réponse ......, elle était réellement furieuse.

- Si je comprends bien, pendant que moi je bosse tu t’amuses à t’attacher tout seul. Mais c’est quoi cette nouvelle cage de chasteté ? Je ne la connais pas, tu l’as achetée quand ?

......

- Et cette boite c’est quoi ? Demanda Géraldine en regardant le coffre électronique posé sur la table de nuit.

- Et toi, qu’est-ce que tu fous là ? Tu devais partir à Paris pour deux jours.

- Mon voyage d’affaire a été annulé, le boss nous a libérées puisque la journée était perdue. Si je comprends tout bien comme il faut, tu t’éclates et te fais ton BDSM quand je suis pas là.

......

Et après tu me dis le soir quand je rentre que tu es épuisé quand j’ai envie de câliner. C’est bien ça ?

.....

Furieuse, notre caisse à jouet bien visible lui a donné les envies et idées qu’elle n’a pas quand je lui propose de switcher. Elle en a sorti les deux jeux de pinces à sein que j’aime bien lui mettre malgré ses réfutations puis les a agitées sous mes yeux avec un sourire sadique que je ne lui connaissait pas.

- C’est pour qui ça ?

.....

Réellement furieuse et décidée à me le faire savoir, elle a tiré sur mes tétons avec ses ongles, pardon ses griffes, puis m’a posé les pinces à sein comme une sauvage. J’ai eu beau lui dire qu’elles étaient mal posées elle n’en avait rien à faire. La deuxième paire de pince a fini sur la peau de mes testicules avec comme commentaire : « c’est comme sur mes lèvres, tu vas adorer ».

- Alors c’est quoi cette boite avec un minuteur qui tourne ?

- C’est un coffre programmable, il y a les clés de ma cage de chasteté à l’intérieur. Tu vois bien que je suis sage.

- Sage pendant encore trois heures et après ?

- Ben, heu.... après je soulage la tension intérieur qui est la mienne.

- La tension intérieure qui est la tienne...... mais tu te fous de ma gueule ou quoi ? Si je comprends bien, tu comptais te branler et me parler de ta fatigue quand je serai rentrée.

.......

- Mon petit chéri d’amour, (voix ironique) je vais donc jouer à la Maîtresse comme tu le désires depuis longtemps sans tenir compte de mes envies de femme. Je te laisse à tes occupations BDSM et vais faire les boutique pour me changer les idées. Amuse-toi bien.

J’ai eu beau lui dire que les pinces à seins étaient mal posées, elle n’en avait rien à faire. Elle a pris le coffre avec les clés de ma cage de chasteté et a claqué la porte de la chambre. Le bruit du moteur qui ronflait et des graviers qui volaient ont conforté mes impressions : elle était vraiment très en colère.

Le but d’un ice-timer est de restituer les clés des menottes avec lesquelles on s’est entravé. Là, il prenait tout son temps et semblait lui aussi solidaire des pinces à sein pour me punir. J’avais les tétons en feu quand la glace a libéré les clés. Retirer ces maudites pinces m’a fait crier tout seul. L’excitation n’était plus non plus, même sans cage de chasteté je ne me serais pas masturbé, l’ambiance n’était plus à l’auto satisfaction. J’ai donc tout rangé et me suis mis au travail en continuant de poser les fils de fer de la clôture. J’avais presque terminé de poser le grillage du mur de derrière quand elle est arrivée avec des sacs de fringue.

- Oh chéri, tu as super bien avancé, pense qu’après tu dois faire le dîner. Je vais prendre un bain. M’a indiqué ma femme avec un sourire pincé.

J’ai donc terminé de poser ce satané grillage rebelle avant de me précipiter à la maison pour faire un état des lieux de sa colère. En passant, je me suis pris une rasade de whisky histoire de me donner du courage car quand Géraldine est en colère, cela dure et ses reproches tournent en boucle. Elle était dans son bain avec de la mousse jusqu’au cou.

- Tu es très belle dans ta mousse, ça va ?

- Non, j’essaye de me délasser et d’oublier que tu t’éclates dans mon dos en mon absence.

- Oh, ça va, ne me dis pas que tu ne t’es jamais masturbée.

- Oh si, cela m’est arrivé mais j’ai toujours assumé ensuite contrairement à toi. (Prends-toi ça dans les dents....)

- Il est où le coffre ?

- Va faire le dîner, je commence à avoir faim.

Sur le coup, je me suis dit qu’elle avait envie de jouer. Même si j’étais un peu honteux, qu’elle soit ma Maîtresse ce soir là me plaisait bien. Hummm, j’en avais même un début d’érection contrariée pour cause d’étroitesse des cages de chasteté. Pendant que le repas mijotait, je lui ai apporté un jus de fruit. Elle était ravie de cette initiative qui surtout m’a permis de constater que j’avais encore du temps devant moi pour chercher le coffre contenant les clés de ma cage de chasteté.

LA SALOPE ! ! !

Je l’ai trouvé sur la table de nuit de notre chambre, elle avait programmé le coffre sur 10 jours ! Son maximum !!!!!! J’étais furieux et inquiet car je n’avais jamais testé mes cages de chasteté plus de 24 heures.

Je ne sais pas si la colère excite toutes les femmes mais la mienne était déchaînée ce soir là. J’ai du lui brouter le minou à en avoir des crampes dans la mâchoire après lui avoir fait un massage des pieds et des jambes. Et là, alors que je n’en pouvais plus, elle a fait ce que j’adore : elle m’a fait un facesitting. Les deux grosses variables notables entre ce que j’aime et ce qu’elle faisait, portent sur ses griffes dans mes tétons encore très douloureux et le fait que je ne pouvais pas me masturber en même temps. Le nez entre ses fesses généreuses étouffant mes cris, j’ai encore du lui brouter le minou jusqu’à son heureuse et bruyante conclusion.

- Tu sens la choune ! M’a dit Géraldine après m’avoir fait un bisou avant d’éteindre la lumière et de me souhaiter bonne nuit.

............................................

Ces dix jours me parurent une éternité. Mes premières nuits furent difficiles, je me réveillais souvent avec le Popaul si en forme que c’était comme s’il voulait m’arracher les précieuses. Il y eu d’autres soirées « câlins » et massages version domina et j’ai même pris une petite fessée pour avoir fait brûler un dîner, comme quoi, quand elle veulent, elles savent dominer.

En dix jours, j’ai terminé toutes les clôtures, fini de repeindre les volets et portes, j’ai même attaqué le jardin pour cause d’énergie à évacuer.

Le gros paradoxe que je ne lui ai pas dit dix jours plus tard, c’est que lorsqu’elle m’a retiré ma cage de chasteté pour avoir un rapport sexuel j’étais presque déçu. Le lendemain ma cage de chasteté me manquait.

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Chasteté
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Mardi 4 octobre 2 04 /10 /Oct 17:06

Un coffre minuteur pour le selfbondage et ma chasteté un véritable enfer

 

Cela faisait longtemps que je rêvais d’en avoir un, et croyez-moi sur parole, ce n’est pas défaut d’avoir cherché ! Je préfèrerai avoir une Maîtresse qu’un coffre électronique pour mon BDSM quand je fais du selfondage ou mets ma chasteté. Faute de grives, on se contente de merles !

Lorsque j’ai vu que ABCplaisir.com vendait ce coffre pour garder les clés de mes folles envies, je n’ai pas hésité une seconde, je l’ai commandé. Méfiant quand même, j’ai commencé par le tester en ne mettant rien à l’intérieur. Je l’ai programmé sur 2 minutes pour voir. J’aurai dû mettre qu’une car j’ai trouvé le temps long. Lorsque j’ai entendu le « clic » et que j’ai pu ouvrir la boite, un univers de plaisir s’offrait réellement à moi !

J’allais pouvoir m’imposer des périodes de chasteté et gérer mes selfbondages sur la durée et sans risque. Le pieds !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Le seul bémol est qu’un ne peut pas gérer les clés de la cage et les selfbondage sur la même période. Il n’est pas impossible qu’un jour j’en achète un deuxième.

Comme j’ai toujours un ice-timer au congélateur, pour fêter cet achat je me suis fait un plan d’enfer en selfbondage. La totale quoi !

MON PLAN

Mettre ma cage de chasteté et les clés du cadenas dans le coffre.

Mettre le ice timer à l’opposé de mon salon pour m’obliger à ramper.

Mettre mon plug de 60 mm (Arf, j’ai encore du mal avec cette taille)

Mettre une couche + un insert

Mettre des pinces à seins sur mes tétons

Mettre mon jean qui est un peu trop petit, (j’ai grossi) pour qu’il serre bien la couche et le plug.

Mettre ma grenouillère qui se cadenasse et les clés du cadenas dans le coffre.

Mettre mon bâillon

Mettre une chaîne à ma taille + un cadenas et les clés du cadenas dans le coffre.

Mettre une chaîne à mes chevilles + un cadenas et les clés du cadenas dans le coffre.

Mettre une chaîne de celle de mes chevilles à celle de ma taille + deux cadenas et les clés des cadenas dans le coffre. (Pour m’obliger à garder les jambes pliées)

Au dernier moment, j’ai fermé le coffre et mis 6 heures en me réservant une bonne heure pour me libérer et me doucher avant d’aller travailler.

Une fois le coffre fermé, je me suis dit que j’abusais peut-être un peu, comme j’étais super excité, je n’ai pas fait plus attention que ça.

J’ai donc mis ma cagoule d’isolation BDSM que j’ai bien serrée avant de passer les menottes sur mes poignets mains dans le dos. (J’ai ajouté des serflexs aux menottes pour quelles ne m’écrasent plus les poignets)

Et là j’étais bien, une Maîtresse sadique me faisait des choses. Elle m’obligeait, dans mes délires, à boire son champagne doré avec un entonnoir passé dans le trou de ma cagoule et, pour m’obliger à tout boire, tirait sur mes pinces à seins. Au plus je bougeais, au plus elle tirait sur mes pinces, au plus le plug s’agitait en moi. Humm c’était fantasmagoriquement bon.

Au bout d’un long moment, agité par un brin de lucidité, je me suis dit que je devrai peut-être ramper pour aller chercher les clés des menottes. Deux chaises et un angle de porte plus tard, je suis arrivé à la cuisine où j’avais posé le ice-timer sur le sol. J’avais à ce moment là les tétons en feu car ramper c’est se frotter par terre, la chaînette des pinces à sein se bloquait dans la grenouillère et ... aie aie aie. Le plug de 60mm quant à lui avait des envies de fuite même s’il était bien bloqué au fond de mes entrailles.

Le ice-timer n’ayant pas fini de fondre, j’ai du patienter et faire un petit pipi couche difficile car la cage comprimait mon sexe. Mes pinces à seins me faisaient un mal de chien, elles avaient du bouger et donc, l’une d’elle pinçait hard la pointe de mon téton gauche. Grosso merdo, j’ai du attendre encore une paire d’heures (à la louche) pour pouvoir attraper les clés des menottes et libérer mes mains. J’avais mal aux épaules, aux tétons, au troufignon qui s’excitait tout seul. Les mains libres, mon premier réflexe a été d’essayer de retirer mes pinces à sein à travers la grenouillère. Le problème est qu’à travers l’épais tissu, ce n’est pas aussi évident qu’ont ne m’imagine. Mes doigts ont ripé sur le métal, les pinces leur ont échappé et j’ai pris CHER quand elle se sont refermées sur mes tétons !

Retirer la cagoule d’isolation est devenue une urgence tant je transpirais et suffoquais.

Doucement et un par un cette fois, j’ai libéré mes tétons. Aie aie aie.

Les mains libres, j’ai donc pu ramper comme un commando pour retourner au salon sans trop de difficulté hormis que le plug de 60mm s’écharnait sur mon fondement. Ramper avec les jambes repliées en l’air l’aidait bien à me faire payer l’addition de sa rétention.... (En clair, mon cul le poussait et il était bloqué en moi) Arrivé au salon (sur le ventre et avec les jambes repliées toujours attachées à la chaîne de ma taille) je transpirais comme si j’avais fait un marathon.

Cet « enculé » de coffre indiquait 4 heures ! Les secondes et les minutes défilaient lentement, très lentement. Soit j’explosais le coffre (79 euros foutus en l’air) soit je patientais. J’ai patienté .... et très très très très très très très mal dormi sur le carrelage avec le gros plug qui s’acharnait à vouloir s’échapper.

A 7h précise, mon téléphone s’est mis a sonner. Il m’a donc réveillé et, grand moment de peur, permis de constater que le coffre s’était ouvert. OUF !

J’ai donc carrément vidé le coffre par terre pour attraper les clés. Me libérer de tout était devenu une urgence ! J’ai du jouer avec les xx clés des cadenas pour y parvenir et j’ai enfin pu m’étendre sur le dos en allongeant mes jambes. Retirer la grenouillère et la couche que j’ai achevé en me libérant n’a pas été un souci. Le gros plug qui s’était acharné à vouloir s’échapper pendant la nuit ne voulait plus partir ! J’ai du ajouter du lubrifiant et jouer avec pour l’extraire de mon fessier méchamment enflammé. Le matin au réveil, ce n’est pas top mais le pire c’est qu’en même temps, j’affichais une érection TRES contrariée dans ma cage de chasteté à m’en arracher les testicules.

Prendre une douche avant même de retirer la cage de chasteté était une obligation, le plug n’était pas propre et je sentais la transpiration à 100 mètres. Pressé par le temps, je n’avais pas la possibilité de soulager l’envie.... animant mes folles pensés. (En clair me branler) Et c’est là qu’une idée de malade m’est venue en même temps qu’une érection contrariée : remettre les clés de ma cage de chasteté dans le coffre minuteur.

EPILOGUE

Mon patron m’a trouvé fatigué. J’ai prétexté que les voisins avaient fêté un anniversaire.

A l’heure où j’écris ce compte rendu, il me reste 8 jours et 2 heures de chasteté imposé, le fou qui réside en moi a enfermé mes clés dans le coffre.

Le plug de 60 mm est devenu un copain pour apaiser les tensions de la cage....

 

 

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Chasteté
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Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 22:54

Plug défonceur en V anti fuite

 

Plug-defonceur-en-V.jpg

Tout est dans le titre pour décrire ce plug. Sans jeu de mot, il va vous combler au sens propre du terme !

A noter pour les soumises

Un plug défonceur en V en vaginal + un plug défonceur en V en anal + une ceinture de chasteté pour qu'elle ne puisse le retirer lui donnera des envies de folies. (Info pratique : il faut commencer par mettre le vaginal en premier, l'anal ensuite)

NOTRE AVIS

Ce produit est génial, sa base est solide comparent à d'autres plugs, c'est donc une valeur sûre il ne sera pas "avalé"

 

 

Le plug défonceur en V anti fuite est ici sur ABCplaisir

 

 

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Le sexe sans tabous
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Jeudi 29 septembre 4 29 /09 /Sep 22:53

Coffre électronique pour vos jeux BDSM, ABDL, selfbondage et chasteté

(et autres usages domestiques comme les téléphones, les chocolats, les.....)

Coffre_electronique.jpg

Nous l'avons enfin trouvé ce coffre électronique qui va vous permettre de gérer vos passions BDSM, ABDL et / ou de selfbondage !

Ce coffre fort est facile à utiliser pour mieux gérer la maîtrise de soi :

Placez un élément dans le coffre

Tournez le bouton pour régler la minuterie

Appuyez sur le bouton pour activer le verrouillage

Une fois verrouillé, le Coffre-fort ne se déverrouille pas jusqu'à ce que le compte à rebours arrive à zéro. Tricher est impossible !

Réglage : d’une minute à dix jours

Type de batteries : 2 piles AA

DELAIS DE LIVRAISON 3 SEMAINES

INFORMATION CLIENT

ABCplaisir.com ne peut en aucun cas être tenu pour responsable de vos actes et de vos jeux coquins. Nous vous recommandons la plus grande prudence.

En cas d'urgence, le dessous du coffre peut se briser aisément sans outils spéciaux, le but de ce coffre étant de dissuader.

DES IDES PERVERSES

EN BDSM POUR LES SOUMIS ET SOUMISES

Vous les abandonnez entravés sur une chaise ou un fauteuil avec des choses..... dans le ou les orifices. Vous programmez le coffre et mettez les clés des cadenas à l’intérieur avant de partir. Par sécurité bien sûr, vous leur laissez un téléphone.

POUR LES ABDL :

Après avoir mis votre couche ET une chaînette en guise de ceinture, vous y posez un cadenas et enfermez les clés dans le coffre. Quelle durée allez-vous oser mettre ?

Pour les nurses et Daddy, et si vous mettiez les clés du cadenas de sa ceinture de chaîne dans le coffre en partant de chez vous ou de chez votre bébé avec 24 heures de programmées ?

EN SELFBONDAGE

Les adeptes du selfbondage trouverons sans soucis les moyens de se faire de gigantesques plaisirs dans l’auto contrainte avec ce coffre programmable.

POUR LES CLES DES CAGES DE CHASTETE

Le coffre est programmable sur 10 jours. Combien de jour de chasteté allez-vous vous imposer ?

OU pour les dom, combien de jour de chasteté allez-vous imposer à votre soumis car c’est aussi un moyen de gérer ses réfutations qui peut se faire aux dès.....

Ce coffre à ouverture programmable est sur ABCplaisircom ici (mot clé : coffre)

Coffre_electronique_2.jpg

 

 

Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Lundi 19 septembre 1 19 /09 /Sep 10:47

J’aime être sa chienne soumise

Quand il me dit « à quatre pattes chienne » il se passe quelque chose dans ma tête et en moi. Je suis métamorphosée, plus rien d’autre ne compte alors pour moi que d’être ce qu’il veut. Tous mes sens sont en ébullition et ne rigolez pas, je me sens chienne en chaleur en quelques secondes. Pourquoi ? Je ne sais pas, il n’y a que dans ces moments là où les mots crus, les insultes ne me touchent pas, au contraire, elles me galvanisent.

Nous sommes des Hommes, dans l’histoire, les Hommes sont issus des animaux, du singe mais avons-nous réellement encore une part animale en nous ?

Si je pose cette question saugrenue, c’est parce que dans c’est moment là, je suis capable d’accepter, presque de souhaiter être obligée de tirer la langue, d’haleter et de remuer de la queue que je n’ai pas. (Bien que nous ayons un plug queue de chien à la maison et qu’il lui arrive de me l’imposer).

Hier soir, lorsque nous sommes rentrés d’une soirée chez des amis, il m’a serrée dans ses bras, m’a embrassée et dévêtue avec douceur. Je m’attendais à une soirée câline quand l’ordre tant aimé est tombé : à quatre patte chienne !

Max pousse maintenant le vice à jeter un jouet de chiot sur le lit. Je dois aller le chercher à quatre pattes et le lui rapporter avec les dents. Débile allez-vous penser ou il lui manque de respect mais pour moi, il n’en est rien. Je m’amuse comme un chiot et refuse de lui donner du premier coup quand il tend la main. Si avant il a posé le collier BDSM autour de mon cou, quand il attrape la laisse, je suis dans un état d’excitation difficilement descriptible. Je m’égare…

Il m’a ordonnée de me mettre en position, c'est-à-dire à quatre pattes au bord du lit, fesses tendues vers lui, fesses que j’agite doucement de droite à gauche sans pudeur en me cambrant au maximum pour mieux m’offrir à son glaive. ET LA il m’a fait une sacrée surprise ! Il m’a demandé d’ouvrir la bouche et de fermer les yeux. J’ai senti un truc droit et dur comme un bâillon, mais il était droit. Il l’a attaché derrière ma tête en le serrant un peu, j’ai cru que c’était le mors d’un cheval mais non, c’était un bâillon os rose. Je l’ai découvert quand il m’a demandée d’ouvrir les yeux. Le miroir qui est à la tête du lit m’a renvoyée mon image, une chienne humaine nue, seins pendants avec un os rose en travers de la bouche.

Ni une ni deux, il a guidé son sexe entre mes lèvres intimes, trouvé la faille si désireuse de lui et pénétrée sans plus de préliminaire.

- Tu es déjà trempée chienne, tu mouilles comme une salope en manque !

Ses mots vulgaires que je n’aime pas dans la vie, m’ont fait tourner la tête. Instinctivement j’ai agité mes reins pour mieux le sentir en moi, pour qu’il commence à me prendre, à sauter sa chienne sans plus tarder. Il n’a pas tardé à me saillir, le plaisir généré par son coït viril m’a rapidement submergée. Sa main a attrapé ma queue de cheval pour tirer ma tête en arrière et m’empêcher de fuir sous ses coups de glaive de plus en plus puissants. Je commençais à m’approcher du nirvana quand soudain, il s’est retiré de moi en me laissant sur ma faim de lui. Il a jeté une paire de menottes sur le lit et ordonnée de les poser à mes poignets. Pendant ce temps il est aller chercher un préservatif et du lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. J’ai tout de suite compris ce qu’il allait faire : me sodomiser.

En temps normal, je n’apprécie pas vraiment la sodomie, cela me fait plus de mal que de bien mais je n’ai rien dit, d’abord à cause du bâillon, ensuite parce qu’il fait ce qu’il veut de sa chienne soumise. Quand après m’avoir lubrifiée et avoir enfilé le préservatif il a fait jouer ses doigts dans mon petit orifice, je me suis sentie prête, j’ai eu envie de lui en moi au creux de mes reins. Cela est paradoxal pour quelqu’un qui n’aime pas la sodomie. Et pourtant !

Avec douceur il s’est positionné à l’entrée de ma petite grotte grandement exposée, il a commencé à pousser la porte avant d’attraper ma queue de cheval et de me tirer les cheveux pour que je m’offre encore plus.

- Ouvre les yeux salope, regarde la petite chienne qui va se faire enculer. Regarde comme elle est belle dans son plaisir.

Quand il a commencé à glisser en moi en imposant sa présence en mon étroit anneau culier, pendant une petite seconde j’ai eu un peu mal, puis une forme de plénitude m’a submergée au moment où il s’est enfoncé totalement. J’étais « pleine » de lui, dilatée, empalée mais bien. La sodomie est immédiatement devenue magique, ensorcelante, je n’étais plus moi mais seulement un orifice, un cul, disons les choses comme elles le sont. La totalité de mes neurones s’est focalisée sur les divines sensations d’être pleine, prise, défoncée à en perdre la raison. Au bout d’un moment il s’est retiré, il a retiré son préservatif et prise à nouveau par devant. C’était bon mais j’ai presque regretté qu’il n’ait pas continué à me sodomiser, encore un paradoxe pour quelqu’un qui n’aime pas la sodomie.

Quelques secondes plus tard il m’a prise comme un fou, j’ai mordu le bâillon os comme une folle en atteignant le nirvana quand il a éclaté en moi.

Epuisés mais repus, nous n’avons pas tardé à nous coucher, deux petits bisous plus tard, il ma serrée dans ses bras en me mettant contre lui en chien de fusil et s’est endormi.

…………………………….

Le lendemain, je me suis réveillée vers 8 heures, il était déjà parti travailler. Etant en RTT, j’avais décidé de faire le ménage à fond. Après ma douche, j’étais en train de prendre mon café quand mon téléphone a sonné. Max venait de m’envoyer un texto.

« Ma petite chienne a prévu de faire le ménage à fond, c’est très bien. Elle le fera nue en n’ayant sur elle que son collier, son nouveau bâillon et sa queue de chienne. Elle m’adressera une photo d’elle dans cette tenue en faisant un selfie quand elle aura terminé. A la suite de quoi, elle rédigera une histoire érotique qu’elle postera sur Fessestivites pour raconter notre soirée sans rien cacher ».

C’est ce que je viens de faire en postant ce texte.

Ecrivaillon

 

Pour des astuces voir ce post forum sur L’animalisation, vie de chienne ou de chien en BDSM

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Par TSM - Publié dans : Femme soumise - Communauté : Domination et amour...
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