Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 08:41
Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mercredi 22 mai 3 22 /05 /Mai 08:36
Par TSM - Publié dans : Homme soumis - Communauté : Le sexe sans tabous
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Vendredi 10 mai 5 10 /05 /Mai 09:53

La boutique ABCplaisir V2 BDSM est arrivée !

--> ABCplaisir a été amélioré pour faciliter votre visite.

 --> Des idées de jeux coquins et conseils ont été ajoutés dans des fiches produits.  

 --> La rubrique conseils sur les sextoys et pratiques a été enrichie.

 

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Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Bondage Fetish
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Vendredi 10 mai 5 10 /05 /Mai 09:51

Malmené dans la cage de chasteté Reine élec

Imaginez que vous portez cette cage avec le plug d’urètre et le coussinet sous les testicules. Lorsque votre Maîtresse arrive avec le boîtier électrique et branche les électrodes, vous comprenez que la purge sera difficile !

 

Vous appréciez et en même temps le redoutez car les sensations sont extrêmes. Lorsqu’elle appuie sur le bouton « On » le courant traverse votre verge et vos testicules. C’est comme si un millier de fourmis s’attaquaient à votre sexe. Dans le tube de cette cage de chasteté, votre verge grossit aussitôt et rencontre immédiatement les parois de métal.

Cage-de-chastete-la-Reine-Elec-2.jpg

Votre verge compressée décuple alors les sensations d’excitation mais aussi les petits chocs électriques. Les mains plantées dans le drap de votre lit, vous serrez les doigts pour chercher le courage de ne pas crier. Et là, votre Maîtresse pose sa tête dans le creux de votre épaule et laisse courir ses doigts toutes griffes dehors sur votre buste.

Pour détourner votre attention, elle s’attaque à vos tétons et, en même temps, elle augmente l’intensité de l’électro stimulation. Votre verge convulse toute seule, comme si vous alliez jouir mais il n’en est rien. C’est bien trop tôt !

D’ailleurs, a t’elle décidé de vous faire jouir ? Comme vous ne voyez pas le prostate massager vous en doutez.

Elle baisse l’intensité de l’électro stimulation pour se lever et attraper un paquet cadeau qu’elle vous tend en vous disant « Bonne fête chéri »

Les doigts tremblants vous déchirez le papier cadeau et découvrez un sextoy ressemblant à votre prostate massager. Celui-là est différent, il est noir et a comme deux pinces sur les côtés. Tout en la remerciant, lorsque vous croisez son regard vous voyez briller ses yeux et son regard sadique.

Prostate-massager-vibrant-chauffant-telecommande-sans-fil.jpg

Lorsqu’elle soulève vos jambes, vous savez très bien où va aller ce sextoy. Ce qui vous chagrine, c’est de ne pas savoir la différence qu’il y a avec le petit blanc que vous aviez. Après avoir lubrifié votre anus, elle l’insère en vous puis joue avec une télécommande sans fil.

Soudain, vous sentez que ce prostate massager vibre, les deux pinces souples emprisonnant vos précieuses vivrent également. Madame semble vouloir prendre son temps pour vous malmener. Elle s’appuie contre vous et laisse ses griffes reprendre l’exploration de votre poitrine. Votre Maîtresse laisse tout simplement le temps au prostate massager de chauffer. Quand, au bout d’une minute environ il atteint 37 degrés, entre la chaleur qu’il dégage et les vibrations, vous avez l’impression d’avoir le feu au cul.

C’est à ce moment là, que votre Maîtresse décide d’augmenter la puissance de l’électro stimulation. Les chocs électriques sous vos testicules emprisonnés dans les pinces vibrantes vous rendent dingue. Comme vous vous contorsionnez, le prostate massager s’agite en vos fesses et titillent votre prostate. Le plug d’urètre laissera t’il s’écouler votre semence si longtemps contenue, 10 jours sous cage de chasteté était l’objectif de votre Maîtresse.

Et là, elle s’allonge sur vous et pousse l’électro et les vibrations à leur maximum. Elle vous serre dans ses bras, griffe votre poitrine, pince vos tétons, vous fait des bisous dans le cou et vous perdez la tête. Votre cerveau ne sait plus où analyser les sensations. Sur votre verge ? Votre anus ? Vos testicules ? Votre corps qu’elle semble vouloir dévorer ?

Lorsqu’elle s’arrête de vous manger et stoppe les sextoys, vous êtes à la fois soulagé et en même temps, regrettez terriblement car tout cela était divin. En levant la tête pour la regarder débrancher les électrodes de votre cage de chasteté, vous constatez qu’elle vous a purgé autrement que vos petits jeux anneaux. Votre semence s’écoule même entre vos cuisses, vous ne l’avez pas senti s’écouler.

- Allez, va retirer le prostate massager et te laver cochon, on repart pour 10 jours de chasteté pour ne pas m’avoir demandée la permission de jouir ! Vous indique votre Maîtresse avec un sourire radieux.

Et là, vous ne savez plus si vous devez haïr la boutique ABCplaisir ou être heureux de pouvoir vivre toutes ces sensations.

ABCplaisir

 

La cage de chasteté Reine élec

Prostate massager vibrant chauffant

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Il y a ici plus de 900 vidéos autour de la chasteté (SANS pub)

Forum dédié aux cages et ceintures de chasteté

Lire des histoires érotiques sur la chasteté

Faire des rencontres BDSM

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mardi 15 janvier 2 15 /01 /Jan 08:52

Piégé et humilié à cause du plus gros site de selfbondage du monde

Rêvant que sa femme le domine, un homme se féminise et fait du selfbondage avec des sextoys et une couche. Piégé suite à une erreur fatale, il sera humilié et va vivre bien plus que ses fantasmes.

 

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Je me suis fait piéger et humilier à cause du plus gros site de selfbondage du monde. Il y a tellement de vidéos, de photos, d’histoires érotiques et de scénarios en plus du forum sur Fessestivites.com que je n’ai pas pu résister à l’envie d’essayer.

Ci-dessous mon histoire

Ma femme étant partie à Londres pour deux jours, J’ai décidé de réaliser mes fantasmes sur la durée. Comme je n’envisage pas de tromper ma femme même si sexuellement elle est plutôt du style « bloquée », la seule solution est donc de m’amuser tout seul et en cachette. J’avoue que ma timidité et la peur de la perdre sont aussi des freins à l’envie d’aller voir une professionnelle ou ailleurs.

J’ai donc commencé par mettre de la lingerie féminine. Je me lançais comme défi d’aller acheter quelque chose avec des sous-vêtements féminins. A mon retour, c’était la fête à Popaul…. A la suite de quoi, j’ai aussi testé la cage de chasteté. Toutes ces photos et vidéos puis histoires érotiques de Fessestivites m’avaient donné envie de tester pour voir. Je n’ai jamais été capable de tenir plus d’une soirée avec la cage. Je me suis donc commandé un coffre électronique sur ABCplaisir pour parvenir à tenir 36 heures. La première fois que j’ai mis les clés dedans, j’ai plus regardé le compteur que les films....

Grâce à lui, j’ai quand même pu découvrir les sensations de frustrations éprouvées puis les sensations physiques. Je n’ai retirée la cage de chasteté qu’une demi-heure avant l’arrivé de l’avion de ma femme à Orly. Cette demi-heure est le temps qu’il me faut pour aller la chercher. J’ai donc été chaste jusqu’au soir où nous avons fait l’amour. J’ai honte de l’avouer, mais ce soir là, je l’imaginais en Maîtresse m’obligeant à lui lécher le chaton en plus des caresses avant de la prendre. Un goujat oui un peu, mais si elle était moins bloquée, je ne l’aurais pas été.

Au fil du temps et de ses voyages professionnels réguliers, je suis devenu bon client chez ABCplaisir. Je fais tout livrer en poste restante par sécurité, ce serait un véritable drame si elle ouvrait un colis à mon nom avec des sextoys. Rien que d’imaginer sa tête avec un plug et des pinces à sein dans les mains, j’ai peur !

Voir des vidéos et photos de mecs attachés en couche m’a aussi titillé. Je trouve que pour humilier un soumis, lui imposer de se faire dessus dans une couche est le top. Internet est mon ami, car aller acheter des couches dans un magasin était pour moi impossible. Là aussi j’ai testé pour voir. Sans un jeu de contrainte, je ne suis jamais parvenu à faire pipi dans la couche.

Pour parvenir à m’obliger à… j’ai donc fait une ceinture de chaîne à mon pantalon et j’ai mis les clés dans le coffre électronique. Là, je n’ai pas eu d’autres choix que de dire « amen » à ma timidité, ma pudeur, ma gêne aussi ! C’est ma vessie qui a gagné un combat qui fut rude, mais à l’impossible nul n’est tenu. Après deux jeux de ce style, comme j’ai bien aimé les sensations, je mets parfois des couches et une culotte en plastique sans faire de selfbondage. Une fois j’ai bien failli me faire piéger. J’avais jeté la couche dans la poubelle (logique) mais rien dessus pour la cacher. Elle aurait pu la voir quand elle a débarrassé la table. OUF !

La problématique du selfbondage, est que c’est comme une d r o g u e. Quand on y a goûté, on a envie de recommencer, de faire de plus en plus long et compliqué. On a envie d’ajouter des choses pour avoir toujours plus de plaisir. Des fois cela fait un peu mal, mais le fantasme aidant, la douleur n’est rien à côté des plaisirs éprouvés.

Pour corser les difficultés, j’ai commencé par additionner les sextoys et les conditions d’auto libération. Des ice-timer ( blog de glace emprisonnant les clés), j’en ai fait des tonnes en plus du coffre électronique contenant les clés de ma cage de chasteté. Pourquoi en faire plusieurs ?

En fait c’est simple et logique. Un exemple :

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient les menottes bloquées au lit.

- Un pour les clés des menottes que j’ai dans le dos

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient mes chevilles et qui m’empêche de marcher normalement. Quand on a une cagoule et que les clés du cadenas sont dans le garage, le déplacement est amusant. (Surtout quand on a envie d’aller faire pipi...)

ET, quand on est enfin libre, on va voir le coffre électronique qui affiche encore 12 heures d’attente pour pouvoir récupérer les clés de la cage de chasteté.

Au fil du temps, j’ai aussi ajouté des sextoys vibrants. Une paire d’œufs vibrants dans la couche sont attachés à ma cage de chasteté, des fois j’ajoute un plug vibrant derrière par exemple. Vibrer pendant l’attente cruelle est…. Hummm tout comme pendant que vous rampez comme un vers pour aller chercher des clés. Faire pipi couche attaché avec des trucs qui vibrent de partout est bien bon en terme de sensations, je vous recommande d’essayer.

J’ai joué aussi une fois avec le lavement. J’en fais toujours un avant de me mettre des trucs dans les fesses. J’ai lu une histoire érotique de selfbondage sur un mec qui s’était amusé avec ça. Après mon lavement, j’en ai fait un deuxième que je n’ai pas rejeté avant de mettre une couche et de faire un selfbondage. Si la sensation a été énorme quand j’ai craqué en rampant vers les clés, je n’ai pas aimé le résultat !!!! J’ai lu quelques temps plus tard sur le forum qu’il faut en faire plein avant de jouer comme ça, mais je n’ose plus.

LE DRAME DE LA SEMAINE DERNIERE

- Oui chérie, pas de problème, je serai à Orly au point de rendez-vous habituel. Tu m’envoies un texto en partant de Londres s’il y a un retard !

- Promis chéri, en plus, j’ai une surprise pour toi que j’ai trouvé dans un magasin informatique ! M’a répondu ma femme.

Après cet échange téléphonique, l’envie de profiter de ma dernière nuit et journée de liberté me taraudait. C’était son dernier voyage avant l’été, deux mois sans jouer…. : un de vacances + un où elle rentre tous les soirs puisque en août, il ne se passe rien d’important dans le monde de la finance.

Je voulais, avant cette pause, me faire une grosse compilation de délires. Un œuf vibrant dans les fesses en plus de mon dernier plug, une couche sous des sous-vêtements féminins et des collants et, dans la couche, un petit magic wand à pile qui titillerait ma cage de chasteté. Pour jouer un peu sur la douleur/plaisir, j’ai bloqué des pinces à sein dans le soutien-gorge avant de sortir les blocs de glace. Il était 22h30 quand j’ai arrêté de surfer les vidéos de selfbondage de Fessestivites.

Je ne sais pas si c’est la douleur aux tétons qui est la cause de mon erreur, mais c’est en plaçant les blocs de glace que j’ai « « merdé » » grave !!!!!!! Ne voulant pas tricher, je me suis donc pressé en me disant que la douleur allait s’atténuer.

Ci-dessous mon plan :

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à attendre couché dans le salon était accroché à la chaîne du pilier. Une fois fondu, j’allais pouvoir ramper.

- Les clés de mes menottes étaient dans la chambre d’amis. Une fois les mains libres, je pourrai chercher celles du cadenas de ma cagoule que j’avais suspendues au lustre du salon.

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à garder les pieds liés étaient dans le garage.

- Le cadenas électronique, (ma dernière acquisition) maintenait la chaîne utilisée en guise de ceinture à mon short. Même libre, j’allais devoir attendre presque mon heure de départ pour pouvoir retirer la couche et prendre une douche.

- Les clés de ma cage de chasteté étaient dans le coffre électronique, il ne s’ouvrirait qu’à l’heure de départ pour aller à l’aéroport.

Le plan était long et compliqué certes mais allait être grisant. Je pensais m’offrir trois heures de délire pour parvenir à me libérer de tout sauf de la couche et de la cage dans la dernière ligne droite c'est-à-dire midi.

Au début, grisant cela l’a été. J’ai du jouir dans ma cage de chasteté tant c’était fort quand j’ai fait pipi dans la couche avec le magic wand qui vibrait contre elle. Les vibrations de l’œuf dans mes fesses en même temps que les contractions sur le plug, sont sûrement la cause de cette jouissance qui m’a terrassé.

Le problème est que les sextoys n’ont pas d’intelligence artificielle ! Les vibrations ne se sont pas arrêtées et les pinces sur mes tétons sont restées en place après ma jouissance titanesque qui a généré des contractions et des spasmes pendant longtemps.

Tout cela commençait à devenir douloureux. J’ai donc envoyé les mains vers le glaçon, il n’avait pas fini de fondre. GRRRR. En me gelant les doigts, j’ai réussi à diminuer son temps de fonte. J’ai galéré un moment pour essayer d’ouvrir le cadenas de la chaîne. Impossible de faire rentrer les clés dans la serrure.

L’HORREUR

Après une heure de vaines tentatives j’ai compris mon erreur. Ce n’étaient pas les clés de ce cadenas. Elles étaient beaucoup trop grosses ! ! ! ! La première chose que j’ai fait, c’est de tirer sur mes entraves comme un malade. Sauf que les chaînes, c’est du solide et à part me faire mal, je ne suis arrivé à rien.

J’en ai pleuré de rage en pensant que tôt ou tard ma femme allait me découvrir attaché, féminisé et en couche avec tous mes délires. Ce fut bien pire !

Je commençais à avoir froid et mes tétons me faisaient payer le fait que cela durait trop longtemps et qu’à chaque mouvement, je les écrasais. Mes tentatives d’auto libération étant vaines, j’ai essayé de trouver une position qui ne soient pas trop inconfortable. Le froid cela donne envie d’uriner, je n’ai jamais autant pissé que cette nuit là. Si je n’ai pas vu le soleil se lever à cause de la cagoule, j’ai bien senti à la température ambiante que l’heure de ma condamnation avançait.

Quand j’ai entendu comme le glas, le bip du cadenas électronique maintenant mon short au dessus de ma couche, j’ai pu savoir l’heure. Il était 11 heures 30. Normalement, à cette heure, j’aurai du être libre, avoir déjeuné et être en train de prendre ma douche. Au lieu de ça, j’attendais couché par terre dans le salon sans rien pouvoir faire d’autre que de maudire ce putain de site fessestivites qui donne trop d’idées et d’envies. J’ai aussi maudit ABCplaisir car leurs menottes sont de trop bonne qualité.

Une bonne heure plus tard, mon téléphone portable a sonné plusieurs fois ainsi que le téléphone fixe. Même si j’avais une cagoule d’isolation BDSM d’ABCplaisir sur la tête, je savais qui s’acharnait ainsi pour me joindre.

……………………… ;

En désespoir de cause, Lisa a contacté son frère qui est un psychiatre aussi fou que ses patients. Pour ma femme, il ne pouvait que m’être arrivé un accident. Le docteur Maboule (c’est le surnom que je lui ai donné) a donc fait sauter sa pause déjeuner pour aller la chercher et la ramener à la maison.

Elle s’est mise à hurler quand elle m’a vu.

Elle s’est précipitée sur moi pour me serrer dans ses bras. (en écrasant mes pinces à sein)

Elle a incendié son frère qui ne faisait rien. (Même à travers la cagoule j’entendait tout)

Elle a essayé de me libérer en vain.

Elle a incendié son frère qui était plié de rire.

Les cris de ma femme se sont arrêtés presque d’un seul coup. Le docteur Maboule parlait et rigolait. Il n’avait trouvé pas très logique que des clés soient accrochées au lustre du salon ainsi que ma tenue un peu particulière. C’est lui qui a testé les clés qu’il avait trouvées sur tous mes cadenas et qui m’a retiré ma cagoule.

Le docteur Maboule a alors expliqué à ma femme ce qu’il m’arrivait réellement. A son cabinet, les patients lui racontent beaucoup de choses. Les explications de cet abruti ont été très médicales version psy démonté par trois boites de valium. J’ai du lui dire où se trouvaient les autres clés pour qu’il puisse me libérer, cette question a été la première dés plus gênantes.

Alors qu’il me libérait et que ma femme pleurait, le docteur Maboule a continué de commenter les fétichismes et mes jeux comme pour la rassurer. Je doute que cela l’ai convaincue mais ce que je peux affirmer c’est que Freud à côté de lui ne devait être qu’un débutant. Tout y est passé ! Mon besoin de me féminiser, cette part de féminité cachée qui .... puis la couche en référence à un soi-disant traumatisme de mon e n f a n c e.

Lisa ne pleurait plus, mais au fur et à mesure des savantes explications, son visage se décomposait. Elle semblait me prendre pour un extraterrestre ou un grand malade bon pour la camisole.

Comment ai-je pu vivre avec lui dix ans et me rendre compte de rien ? Fut une de ses questions récurrentes.

Le docteur Maboule s’est excusé de ne pas pouvoir ouvrir le coffre électronique posé sur le bureau du salon et de ne pas savoir à quoi correspondait les clés qui étaient à l’intérieur. J’étais encore féminisé, en couche assis par terre et très mal à l’aise. J’ai alors répondu « joker » en pensant que cela suffirait.

Lisa ne l’a pas entendu comme ça, elle s’est levée pour venir me secouer comme une malade en criant que je devais tout avouer et qu’au point où elle en était, plus rien ne l’étonnerait dans mes débilités.

- C’est pour ne jamais te tromper ma chérie !

- Tu te fous de ma gueule en plus ? A hurlé Lisa en m’envoyant une gifle d’une puissance que je ne lui connaissais pas.

Le docteur Maboule est intervenu sans tarder pour attraper sa soeur bien décidée à passer ses nerfs sur moi. C’est là que je leur ai annoncé que je portais effectivement une cage de chasteté par amour de ma femme.

Il y a eu un gros blanc et un gros mensonge.

Je lui ai expliqué que j’avais d’énormes envies sexuelles et que, pour ne pas me masturber en son absence, j’enfermais les clés de ma cage de chasteté dans un coffre électronique. Elle y a cru et le docteur Maboule aussi MDR. Il a même ajouté encore une fois sa science sur les besoins sexuels différents des hommes que certains cherchaient à contenir.

Le « frèro Maboule » rassuré nous a laissé régler cette histoire privée et intime (tu parles) pour retourner à son cabinet. je suis sûr qu’il est allé consulter un de ses confrères pour se remettre de cette aventure et qu’il a envie d’essayer tout ça si ce n’est pas déjà fait !

Lise, qui d’habitude est « coincée du cul » a tenu à m’accompagner à la salle de bain. Après dix ans de mariage, dans le couple la pudeur c’est, en principe, envolée. Sauf que là, j’étais très gêné. C’est donc devant ma femme que j’ai retiré le soutien-gorge en premier, ils n’avaient pas vu les pinces à sein. En me voyant souffrir comme jamais, elle a rigolé. Je peux vous affirmer que porter des pinces à sein douze heures, quand on les retire, les yeux coulent même si on n’est pas une mauviette.

Quand j’ai retiré les collants féminins, elle était aussi amusée et n’a pu se retenir de me dire que j’étais très belle comme ça. Lorsque j’ai retiré la couche, elle n’a pas aimé l’odeur mais elle est restée pour voir la cage de chasteté. Et là, elle a découvert les oeufs vibrants et le plug vibrant que j’avais dans les fesses. Son premier geste a été de mettre sa main devant sa bouche en me regardant comme si j’arrivais de la planète Mars.

Lisa m’a ordonné de retirer tout ça puis de me doucher et de rester nu pour aller la rejoindre. Si la douche fut salutaire à mon corps, tout comme un passage aux toilettes, dans ma tête je m’attendais à une demande de divorce ou à une obligation de soins psychiatriques ou les deux. Connaissant ma femme qui est connue pour avoir une main de fer dans les agences bancaires qu’elle dirige, puis aussi un peu à la maison, je ne savais pas à quoi m’attendre mais la discussion à venir ne pouvait pas bien se passer. C’est donc comme un gamin pris en flagrant délit et nu comme un vers que je me suis rendu au salon voir « la commandante ».

- Mets-toi à genoux devant moi ! M’a ordonné Lisa à mon arrivée.

- Pardon ?

- Tu as très bien entendu. Alors si tu ne veux pas que je demande le divorce en expliquant, bien sûr, les motifs à ta famille, il est préférable pour toi de jouer profil bas. Malgré les informations scientifiques de mon frère, il y a un certain nombre de choses que je viens de comprendre toute seule. Tu rêves d’être soumis et que je sois ta Maîtresse. J’aurai du me méfier quand, il y a quelques années, tu m’as parlée de ces fantasmes et délires, quand tu voulais m’attacher pour faire l’amour. En fait, tu voulais me donner envie de le faire sur toi. Vrai ou faux ?

- C’est vrai chérie que j’ai quelques fantasmes.

- QUELQUES ? M’a répondu Lisa en criant ! Alors tu vas tout me raconter de A à Z de ce qu’il t’est arrivé aujourd’hui en détail. Je veux vraiment tout savoir et que tu ne me caches rien.

- C’est très gênant chérie !

- Découvrir avec mon frère, mon mari attaché habillé en femme avec une couche et d’autres bricoles n’est pas gênant pour moi ?

- Si, j’en conviens et je m’excuse chérie. Pardonne-moi s’il te plait.

- Raconte-moi tout et arrête de m’appeler chérie, pour le moment ta chérie elle a envie de te mettre des baffes et de divorcer.

Aux pieds du mur, ou plutôt, ceux de ma femme qui avait l’air aussi aimable que le mur de Berlin en pleine guerre froide, j’ai donc dévoiler presque tous mes fantasmes et petits délires. Je lui ai expliqué que le selfbondage avait été une alternative pour moi, me permettant d’assouvir mes envies sans jamais la tromper comme font souvent d’autres hommes moins respectueux.

- Ah, tu as des informations aussi sur ça en plus de toutes tes idées aussi farfelues les unes que les autres ? Et tu sais ça comment ?

Et « Mer... » j’avais trop parlé. Je lui ai donc parlé de Fessestivites où j’avais vu des annonces de mecs cherchant à jouer en toute discrétion. Elle a voulu voir le site et que je me connecte avec mon pseudo. La première chose qu’elle a regardé ce sont mes messages privés. Comme il n’y en avait pas, elle m’a demandé si je les avais effacés. Ma réponse a été simple et convaincante : « comment aurais-je pu le faire en étant attaché » ?

Lisa a consulté l’historique de mon navigateur, puis demandé de lui faire un thé pendant qu’elle étudiait « tout ça ». Ma demande de me vêtir a été refusée, elle me trouvait bien à poil et se moquait royalement que je sois gêné. A mon retour avec son thé, elle m’a envoyé préparer le repas du soir. En clair, elle voulait surfer en paix.

- Met du champagne au frais ! M’a crié ma femme.

Alors que je mettais les petits plats dans les grands, que j’essayais de faire le meilleur des dînés que je n’avais jamais préparé, j’ai eu l’impression d’être observé. Lorsque je me suis retourné, j’ai vu ma femme appuyée contre le chambranle de la porte en train de fumer une cigarette, chose rare. Son regard amusé m’a à peine rassuré.

- Tu sais chéri, que tu as une femme qui est peut-être prête à écouter tes fantasmes sans les juger ? M’a lancé Lisa comme ça, comme si cette conversation était tout à fait normale avant d’ajouter que le tablier de cuisine mettait bien mes fesses en valeur.

Et là, elle a attrapé le tablier de cuisine et me l’a mis en me disant de nous servir le champagne et de la rejoindre lorsque mon plat serait dans le four. Autant dire que je me suis posé des milliers de questions. Brûlant d’impatience, je n’ai pas tardé à servir le champagne même s’il n’était que 17 heures. Vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur du bureau, elle a attrapé sa flûte en me disant « trinquons à notre nouvelle vie ».

- Bon, par où commencer ? Disons que sur l’ordinateur j’ai compris à tes surfs que tu ne cherchais pas à me tromper. La fonction recherche sur les forums m’a permise de découvrir que, d’après toi, les soumis avaient beaucoup de chance d’être malmenés par leurs Maîtresses. Que les Keyholder, mot nouveau pour moi, étaient considérées comme des reines et que tu en rêves. A partir de ce soir, je vais donc être une reine à tes yeux et garder les clés de ta cage de chasteté.

- Chérie, tu sais, entre les écrits fantasmagoriques et la réalité, les internautes écrivent...

- Ne me coupe pas la parole. Ce que je n’ai pas aimé lire DU TOUT, c’est que tu estimes que je suis une femme coincée et en plus, tu oses le dire à tout le monde sur ce putain de site ! Nonobstant le respect que tu me dois et la discrétion qui sied à mes fonctions professionnelles, tu oses également me décrire physiquement dans une de tes histoires érotiques en indiquant « ma banquière » est sévère. Ah tu rêves que je sois sévère, cela ne va pas être un problème, nous allons commencer par un mois de chasteté.

- Chérie, un mois c’est énorme, je ne tiendrai jamais !

- Mais si, il y en a qui sont chastes bien plus longtemps. Va me chercher tous tes jouets, j’ai bien dit tous, si tu en oublies ne serait-ce qu’un et que je le découvre, ce sera deux mois de chasteté. File !

Toujours à poil, hormis le tablier de cuisine, je suis donc parti chercher mes accessoires bricolés, mes sextoys et mes couches puis ma culotte en plastique avec les deux autres paires de collants. Dans ma tête c’était Hiroshima.

- Il manque le soutien-gorge ! A crié ma femme quand j’ai tout posé par terre.

- Il est dans le panier à linge ! Me suis-je excusé.

- Ma flûte de champagne est vide, est-ce normal ?

- Non chérie, je vais de suite en chercher.

A mon retour, Lisa m’attendait toujours vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur sans culotte et jambes écartées. Elle testait le petit magic wand et semblait le trouver à son goût. Mon coeur s’est emballé y compris dans ma cage de chasteté !

- Mais c’est bon ce truc ! Pourquoi ne m’en as tu pas parlé ?

- Je n’ai pas osé !

- Tu voulais le garder pour toi avoue ! Allez, fait-toi pardonner, j’ai envie de ta langue là ! M’a indiqué ma femme en désignant son intimité.

Jamais je n’aurai cru ma femme capable de cette attitude. Je la croyais coincée et là, elle se masturbais sous mes yeux. D’un claquement de doigts, elle a réitéré son ordre de lécher son intimité. Je me suis donc agenouillé pour oeuvrer comme demandé, en étant très gêné même si j’avais rêvé de cette situation. J’avais mon sexe sous cage de chasteté et ma langue jouait les phallus pendant que juste sous mes yeux, elle titillait son clitoris avec le magic wand massager.

Lisa a pris un pied d’enfer en plaquant ma tête contre son intimité chahutée et parfumée par son excitation qui me semblait démesurée. Comment se pouvait-il qu’elle s’éclate alors que pour moi, notre couple était sur la sellette. J’avais souvent rêvé de cette situation et là, elle ne me faisait rien, je n’avais aucune excitation.

- Humm, c’était bien bon, va me faire couler un bain, j’ai vraiment besoin de me détendre. Ensuite tu mettras la table avec des bougies. Nous allons fêter notre nouvelle vie.

EPILOGUE

Lisa est devenue gynarchiste, elle m’aime toujours autant mais autrement. Personne ne sait rien de notre vie, extérieurement, rien n’est affiché. Elle n’a pas souhaité que je l’appelle Maîtresse. Je suis sous cage de chasteté 24/24 sauf pendant les vacances ou quand Madame a des envies. Le côté ABDL ne la branche pas du tout, sauf la nuit.

Il faut que je vous parle de mes nuits !

Quand Madame a des envies, soit elle se fait brouter le minou ou me laisse la prendre, c’est aléatoire. Par contre, nous faisons chambre à part à cause de mes ronflements. Elle a instauré un rituel que nous fassions câlin ou pas. Tous les soirs sans exception, je dois aller me coucher dans la chambre d’amis où les entraves sont installées à demeure. Je dois me mettre en couche et m’entraver pour la nuit. C’est Lisa qui vient me libérer ou, le week-end, qui pose le cadenas électronique en calant l’heure de son petit déjeuner au lit.

Moi je vous le dis, nos femmes ne sont pas aussi prudes que nous le pensons !

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

Ce récit est une oeuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

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Par TSM - Publié dans : Selfbondage - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 18:46

Comment la cage de chasteté est entrée dans notre couple

Les confessions érotiques d'une femme qui a découvert et s'amuse de plus en plus avec la cage de chasteté de son mari.

 

La cage de chasteté est entrée dans notre couple il y a quelques années suite à une rencontre dans un club libertin. Une femme s’amusait avec la cage de chasteté de son mari au bar. Elle était assise sur un tabouret et lui debout à côté d’elle, se laissait tripoter sans bouger. Dans les yeux de cet homme il y avait tellement d’amour que je les ai trouvés beaux à voir. Je me suis donc approchée d’eux et j’ai engagé la conversation. Ils m’ont expliquée que leur plaisir était que madame s’amuse dans un coin câlin et qu’il la regarde s’amuser. J’insiste en disant qu’ils étaient beaux dans cette complicité, de toute évidence ils étaient follement amoureux l’un de l’autre. De but en blanc elle m’a demandée si j’acceptais d’être la récompense de son mari.

Sa question m’a surprise comme vous vous en doutez. Amusée, elle m’a simplement dit que si je lui accordait le droit de me lécher le chaton, ce serait pour lui un honneur et un plaisir pour elle de le voir faire. Ces gens étaient si courtois, si gentils, si souriants que je me suis prêtée à leurs jeux. L’homme s’est agenouillé, a soulevé ma robe de soirée et s’est mis à me lécher avec une extrême douceur. Mon mari trouvait cela très amusant. Dans notre complicité féminine, elle a vu que j’avais envie de lui demander la même chose et m’a proposée, si je le souhaitais, de demander à mon soumis de lui faire la même chose.

Mon mari n’était pas encore soumis, mais il s’est prêté au jeu du moment bien volontiers. Il s’est agenouillé à son tour devant cette femme qui s’est avancée sur le tabouret pour se faire brouter le chaton. Jack affichait une belle érection et a commencé à se masturber en la léchant. Aussitôt, elle lui a indiqué qu’elle ne lui avait pas donné la permission de se branler. Il s’est arrêté immédiatement et s’est excusé. Soudain, cette inconnue s’est excusée de s’être permise de donner un tel ordre à mon mari. Je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun problème et que je n’étais absolument pas fâchée. Elle lui a alors indiqué que cette erreur mériterait une semaine de chasteté mais que ce n’était pas à elle de décider. Ce qui m’a amusée, c’est que mon mari bandait comme un âne et respecte cet ordre donné par une inconnue.

Lors de cette soirée, je n’ai pas trouvé « chaussure à mon pied » c’est plus l’ambiance érotique qui m’amuse dans un club libertin que de me faire sauter. Sur le chemin du retour, nous avons reparlé de cette expérience et de ce couple qu’il trouvait lui aussi magnifique dans leur complicité. En rigolant je lui ai indiqué qu’il avait été puni d’une semaine de chasteté par cette inconnue et que cette idée me plaisait bien. Il m’a répondu narquois et très provocateur que nous n’avions pas de cage de chasteté. La première chose que j’ai faite en arrivant à la maison c’est d’allumer l’ordinateur pour en trouver une. Il voulait jouer et cela m’amusait.

J’ai bien vu que cela le perturbait de me voir lui chercher une cage de chasteté. J’ai trouvé mon bonheur sans me ruiner sur ABCplaisir, en plus, comme c’était les soldes j’en ai profité pour changer notre magic wand massager, le notre ayant rendu l’âme. Tout cela m’avait excitée. Je me suis allongée sur le canapé et je lui ai demandé de s’occuper de moi. Alors qu’il ouvrait son pantalon pour me faire l’amour, je lui ai rappelé qu’il était puni et privé de sexe pour une semaine. Paul n’avait pas l’air très décidé a être sage. Je suis allée chercher la paire de menottes que nous utilisons parfois pour nous amuser sauf que cette fois, c’est lui qui allait les avoir. Cela l’a rendu dingue d’excitation ! Il m’a dévorée le chaton comme jamais.

Avec mon pied, je m’amusais à titiller son sexe pendant qu’il me broutait avec beaucoup de conviction. Comme il me connaît bien, Paul est arrivé à ses fins, traduction, me faire jouir et me donner envie de plus « viril » que sa langue. Lorsqu’il m’a dit que je ne pourrai pas me passer de sa bite, sa vulgaire provocation m’a agacée. Je lui ai simplement répondu « on verra ». Lorsque la cage de chasteté est arrivée, nous l’avons essayée le soir même. Le plus difficile fut de parvenir à la mettre, il s’est mis à bander de suite.

Une fois posée après une demi-heure de galère, le rendre dingue était mon envie du moment. J’ai joué avec sa cage de chasteté et son sexe comme la pire des allumeuses. Je la touchais, j’embrassais ses testicules, j’ai même sucé la cage comme si c’était un sexe. Comme nous étions couchés sur le lit, j’ai enjambé son visage pour profiter de sa langue très habile. Dans la position du 69, j’ai continué de jouer avec ce nouveau sextoy pendant qu’il officiait. Il faisait des bonds de plaisir sur le lit. Jamais un 69 ne lui avait donné ces sensations. Pour le magic wand massager, nous avions pris le gros modèle, j’avais de mon côté, une envie folle de l’essayer. Paul s’est occupé de tout et de moi. Il l’a désinfecté puis, m’a faite grimper aux rideaux plusieurs fois de suite avec le magic et ses doigts taquins et visiteurs décidés à me fister.

Là où il a trouvé la soirée soudainement moins amusante, c’est quand il a compris que je voulais qu’il garde la cage de chasteté. Je n’ai pas baissé la garde, j’ai joué la « salope » câline qui cherche à obtenir quelque chose. Il a finit par céder en maugréant. Une fois la lumière éteinte, je me suis lovée contre lui et j’ai entretenu le feu qui couvait en lui. Le lendemain matin, à l’heure où le sexe masculin s’acharne à vouloir nous montrer le ciel, ce fut plus délicat. Je me suis occupée de lui en lui faisant des tonnes de câlins, je l’ai dévoré de bisous en jouant en même temps avec ses tétons. Il adore ça. J’ai du insister un peu pour qu’il la garde en lui indiquant que cela me ferait très plaisir. Paul a accepté.

Comme nous étions samedi, dans les négociations, nous avons convenu que je lui retirerai le dimanche soir. Régulièrement, j’allais le toucher, le provoquer, ce qui m’a valu quelques « noms d’oiseaux ». Je suis parvenue à le rendre dingue plus d’une fois rien qu’avec de simples câlins. Le soir même, en rentrant du cinéma, rebelote. 69, bisous partout, et même analingus chose qu’il ne me fait pas trop en temps normal. Là, de par son excitation démesurée, cela ne lui a pas posé de problème, bien au contraire. Mon amoureux m’a dévorée les fesses et entre les fesses avec une conviction étonnante.

Lorsque nous avons repris le 69 à mon initiative, je me suis amusée avec le magic wand sur sa cage de chasteté. Il était comme fou ! Il me léchait les orifices avec une passion débordante, il aspirait et s’acharnait sur mon clitoris avant de retourner voir mes « cavernes ». Au bout d’un moment, j’ai joui comme une malade à en lui écraser le nez tant j’avais envie de lui en moi. Epuisés mais repus tous les deux même si lui n’avait pas joui, nous n’avons pas tardé à nous endormir lovés l’un contre l’autre. Il m’a murmuré un « je t’aime salope » en me serrant très fortement dans ses bras comme à nos débuts.

Le dimanche fut presque identique au samedi. Le savoir sous cage de chasteté m’amusait et devenait une nouvelle aire de jeu. Comme cela m’excitait, j’ai eu envie de remonter sur Fessestivites que nous avions un peu délaissé. Dans les milliers de vidéos je suis allée fouiner sur les vidéos chasteté, Paul est venu en voir avec moi. Il était aussi excité que moi en les visionnant. L’envie de jouer encore m’a titillée. Je lui ai laissé le fauteuil du bureau pour regarder les vidéos debout derrière lui,..... pendant que mes mains jouaient avec ses tétons. Il devenait dingue, tirait ma tête pour me faire des bisous, il me caressait les mains comme un gamin amoureux.

Si je n’étais absolument pas Maîtresse, l’envie de profiter un peu de la situation m’a traversée l’esprit. Quand il est décidé, Paul fait de très bons massages. Quand il est décidé seulement. Là, j’ai obtenu de suite qu’il me masse le dos en prétextant qu’il me faisait souffrir. Lorsque nous faisons ça, nous mettons les coussins du canapé sur la table du salon et une serviette pour les protéger. Je me suis mise nue et étendue sur le ventre pour qu’il me masse. Il ne s’arrêtait plus ! Je me suis retournée et lui disant que je voulais qu’il me masse aussi devant. En d’autres temps il aurait râlé et bâclé ce massage là. Présentement, cela ne lui a pas posé de problème. J’ai eu aussi envie de sa bouche entre mes cuisses, il m’a de suite brouté le chaton à même la table du salon.

Le week-end, Paul travaille souvent sur ses dossiers ou regarde la télévision. Là, il était plus proche de moi et bien plus câlin. Ses attentions surprenantes pour un simple sextoy m’ont surprise. J’ai poussé ensuite le vice jusqu’à lui demander de me faire couler un bain. Il s’est exécuté sans sourciller.

Pendant mon bain, j’ai tenu à ce qu’il reste avec moi et qu’il me tienne compagnie. Nous avons parlé de tout et de rien avant de revenir sur sa cage de chasteté. Il m’a avouée que finalement, c’était très excitant. Que ce truc le travaillait et lui rappelait son sexe presque en permanence. Bien décidée à le rendre heureux, je lui ai fait de la place dans la baignoire pour qu’il me rejoigne. Il bandait dans sa cage sous l’eau chaude pendant que je lui lavais la tête ! ! !

Après le repas, il m’a aidée à débarrasser la table et à mettre la vaisselle dans le lave vaisselle, chose qu’il ne fait jamais. Toutes ces évolutions, ses attentions, ses mots doux m’ont motivée à jouer encore avec sa cage de chasteté parce que cela faisait longtemps que nous n’avions pas passé un week-end aussi agréable. Le soir même, fidèle à mes engagements, j’ai ouvert le cadenas et retiré la cage de chasteté pour lui faire une gâterie bien méritée. Sa verge était belle, turgescente comme on dit dans les histoires érotiques. Elle vibrait sous mes mains et ma langue, j’avais envie d’elle en moi. Pour l’avoir je l’ai eue, mais pas longtemps ! Il a explosé presque de suite ! J’ai râlé f o r c é m e n t, en lui disant qu’il aurait pu attendre un peu.

Sous la menace de lui remettre la cage de chasteté une semaine non stop, il a accepté (chose surprenante) de me faire minette et de me fister pour me faire jouir. D’habitude, ce truc ne le branche pas, là, c’est passé tout seul encore une fois. Bon, je ne lui ai pas demandé de lécher « ses restes », juste de me brouter le clitoris mais il est quand même descendu un peu plus bas.

Depuis cette première expérience, il porte très souvent sa cage de chasteté et sur des périodes plus longues. Je ne suis pas une dominatrice au sens propre du terme, mais je m’amuse beaucoup avec ce sextoy. Je le menace par exemple d’ajouter des jours de chasteté s’il n’est pas sage ou s’il ne m’aide pas. Il s’y est habitué et moi aussi, j’aime me lover contre lui dans son dos et plonger mes mains sur son devant quand il est encagé.

J’ai voulu tester un truc que j’ai vu sur les vidéos. La fille mettait un gode ceinture à la taille de son mari sous cage de chasteté et se faisait prendre. Il est devenu dingue en plein. Il avait le geste de me faire l’amour, les étreintes, les bisous qui vont avec mais il ne sentait rien en bas. Même si c’était bon, je n’ai pas trop aimé la sensation du gode, cela n’a aucun rapport avec son sexe que j’aime tant. Je ne me sers de ça qu’en guise de « punition ». Il dit détester mais à chaque fois, il coule tellement à travers sa cage que l’on doit mettre une serviette sur les draps. Comme je ne jouis pas avec un gode ceinture, il doit évidement me faire jouir avec sa langue ou le magic wand massager.

Le gode qui se met dans la bouche vu sur les vidéos m’a tenté aussi. On en a acheté un sur ABCplaisir en même temps que la nouvelle cage de chasteté de la Louve qui est trop belle. Ce n’est pas le gode qui est divin, ce sont les yeux de mon mari à quelques centimètres de mon chaton quand il agite sa tête pour me prendre avec ce truc remplaçant son sexe. Ce gode et en même temps le magic wand sous ses yeux, c’est trop top pour le rendre fou.

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

Ce témoignage n’est pas fictif, il m’a été raconté par une cliente et son mari que j’ai eu l’immense plaisir de recevoir lors d’un des pique-niques de rencontres que j’organise l’été. Les noms ont été changés et ce témoignage que j’ai rédigé a été publié avec leur accord. Il est à peu prés fidèle à ce qu’ils m’ont raconté.

PHRASE AJOUTEE A LA DEMANDE DE MADAME :

Comme indiqué, je ne suis pas Maîtresse, juste une femme un peu dominante par jeu même si ces jeux me plaisent de plus en plus.

 

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Il y a ici plus de 900 vidéos autour de la chasteté (SANS pub)

Forum dédié aux cages et ceintures de chasteté

Lire des histoires érotiques sur la chasteté

Faire des rencontres BDSM

Par TSM - Publié dans : Chasteté masculine et soumission - Communauté : Chasteté
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Jeudi 13 décembre 4 13 /12 /Déc 14:18

Mon Maître m’avait mis sous cage de chasteté depuis 8 jours, une Bon45 achetée sur ABCplaisir dont il avait pris les clés avant de partir 15 jours pour affaires.

 

En partant, il m’avait laissé libre de m’amuser si je voulais mais uniquement comme une fille. Huit jours plus tard, j’étais donc en manque et totalement « folle », à certains moments, la cage de chasteté, cela rend dingue. Je surfais donc en recherche sur Fessestivites d’un plan cul plutôt que de m’aventurer sur des parkings.

« TTBM cherche trav ou trans à sodomiser, recherche réelle, sans passer deux heures sur le net » indiquait son annonce.

Je le contacte en MP, il me propose immédiatement un chat webcam en me disant « je n’aime pas les fantasmeurs, comme ça, on voit si tu es réelle ou pas ». Je lui demande 15 minutes pour finir de me faire belle, il ne m’en accorde que 5. Autant dire que j’ai fait le plus vite possible pour essayer de transformer ce coup que je sentais bien. Trop bien.....

De retour à l’ordinateur, je le contacte à nouveau et lui propose une cam, chose qu’il accepte rapidement. Et là, il me dit que je lui plais beaucoup, mais qu’il aime aussi le BDSM. Je lui réponds que je n’ai rien contre les entraves, une petite fessée et que je suis sous cacge de chasteté mais que la douleur pour la douleur ce n’est pas mon trip.

- Cela tombe bien moi aussi ! Me répond Milit en allumant à son tour sa webcam pour que je puisse le voir.

Hummmm, un beau militaire âgé d’une trentaine d’année et bâti comme une armoire

apparaît sur mon écran. Après quelques questions mutuelles, nous décidons de nous rencontrer. Milit accepte mon invitation sans discuter mais m’annonce que je dois accepter ses règles, sans quoi il ne vient pas et me les rappelle :

- Je dois avoir le cul parfaitement propre.

- Je dois être très féminine.

- Je dois accepter qu’il m’attache et me bande les yeux pour me baiser.

- Préservatif obligatoire.

- Je dois lui donner mon adresse par téléphone parce qu’il n’a pas envie de se taper 30 bornes pour rien.

Etant sur un petit nuage et excitée à mort, je valide toutes ses demandes en lui indiquant que j’adore être un peu bousculée et f o r c é e.

- Et bien tu vas être servie ma belle. Prépare-toi à être v i o l é e ! Conclut Milit avant de raccrocher.

Je fonce donc à la salle ne bain me laver les fesses, je mets de la musique et tamise les lumières avant de me maquiller et de mettre mes faux seins, une robe de charme puis mes tallons hauts. La sonnette tant attendue me fait bondir. Je me précipite pour aller lui ouvrir et, par réflexe, je demande qui c’est. « C’est ton violeur banane » est sa seule réponse.

Lorsqu’il entre dans mon appartement, j’ai immédiatement l’impression d’être toute petite malgré que je fasse une mètre soixante-dix sans mes tallons. Milit me colle une bouteille de whisky dans les mains et m’ordonne de servir deux verres en précisant : « au pas de course salope ». Moi le whisky sec, cela ne passe pas, c’est trop fort, j’ajoute donc du coca dans mon verre.

- Encore une chochotte ! Me dit Milit en le voyant et en prenant son verre pour le vider cul sec.

Alors que je m’apprête à le resservir, il se colle contre mon dos et me plaque le nez contre le mur. Et là, je n’en mène pas large.

- Qui t’a autorisée à mettre du coca dans ton verre ? Me demande Milit en malaxant mes fesses.

- Personne monsieur !

- Tu sais ce que cela mérite ?

- Une punition monsieur, mais pas trop forte s’il vous plait, je ne savais pas qu’il fallait demander.

Ses mains baladeuses s’aventurent entre mes cuisses, tripotent ma cage de chasteté et s’en amusent avant de revenir à mes fesses. Il les écarte sans ménagement pour fouiller l’épicentre d’un doigt pour sonder l’orifice qu’il va réellement ravager, mais ça, je ne le savais pas encore.

Il remonte brusquement mes mains dans le dos qu’il menotte avec une sorte de serflex en plastique solide. J’ai vu les même sur ABCplaisir, c’est pas mal ce truc. Ses gestes rapides me laissent à penser qu’il a une réelle expérience dans l’immobilisation des personnes. Prestement retournée comme si j’étais une simple poupée, je suis aussitôt bâillonnée par une bouche de vorace. Tenue par le cou, je ne peux rien faire pour échapper à sa langue très envahissante et ses mains malaxant mon postérieur avec une envie évidente de sexe.

De sa poche il sort un large et long bandeau de tissu noir dont il fait faire plusieurs fois le tour de ma tête pour m’aveugler. Il serre trop fort, je me plains et ramasse une gifle avant d’être à nouveau bâillonnée par sa bouche toujours aussi vorace coupant net mes réfutations. Humm, cela commence à m’exciter terriblement tout ça, un de mes fantasmes de v i o l va se réaliser. Attrapée à bras le corps, je suis portée dans l’appartement jusqu’à ma chambre avant d’être jetée sur le lit. Mon coeur bât la chamade quand il m’abandonne là sans rien me dire. Alors que l’idée d’être cambriolée me traverse l’esprit, Milit m’attrape la cheville gauche pour y attacher une corde qu’il passe derrière ma nuque avant de me relever les jambes pour attacher ma deuxième cheville.

Dès que je suis sans défense et totalement offerte, il écarte mon string pour me bouffer le cul avec autant de voracité que lorsqu’il m’a embrassée. Sa langue jouant la bite sauvage me rend dingue tout comme cette sensation particulière et si excitante de savoir que je vais être « v i o l é e ». Milit abandonne mon « centre d’accueil » prêt à le recevoir pour se coucher sur moi et recommencer à m’embrasser. Je m’attendais à ce qu’il m’oblige à le sucer pour le mettre en forme et prendre plaisir à me défoncer la bouche, mais non, ce n’était pas son but. Son but était de me bâillonner pour m’empêcher de hurler ! ! !

Je ne le comprends que lorsque je sens son gland entre mes fesses. Sur le coup, j’ai pense que c’est son genoux ! ! ! ! J’exagère à peine cette impression et c’est bien sa bite qui commence à pousser mon anus. Le mot « pousser » est tout à fait adapté. J’ai peur et commence à me débattre mais menottée, jambes attachées en V au-dessus de mon corps recouvert par une montagne de chair, je ne peux que gémir puis crier dans sa bouche. Mon anus se refuse à éclore et Milit bataille en s’énervant.

Quand il abandonne ma bouche pour prendre de la salive en guise de lubrifiant supplémentaire, je le supplie d’arrêter, mais en vain. Ses lèvres recouvrent les miennes à nouveau et il m’embroche cash en poussant d’un coup. J’ai l’impression que mon cul prend feu quand il parvient à me prendre. Ma « rondelle » est comme en flamme, j’ai un mal de chien, aucun plaisir, que de la douleur. C’est horrible. Milit n’en a rien à faire et me laboure littéralement à grands coups de reins. Mes yeux coulent, s’il ne me bâillonnait pas de sa bouche, j’ameuterai l’immeuble tout entier tant j’ai mal.

Au bout de quelques minutes de massacre et de souffrance, mon anus finit par s’habituer à la présence d’un pieu, un pieu qui me remplit totalement et me dilate comme je ne l’ai jamais été. J’ai moins mal mais ne prends aucun plaisir physique, mentalement je me sens v i o l e r pour de vrai, mon fantasme n’était pas à vivre avec un mec aussi bien membré, trop membré qui me démonte.

C’est avec un immense soulagement que j’entends sa respiration s’accélérer juste avant qu’il se bloque un instant en moi pour éjaculer. Milit me donne encore quelques coups de reins rageurs avant de s’écrouler sur moi et de libérer enfin ma bouche. Écrasée par cette montagne de chair, je tente de reprendre mon souffle en priant le seigneur pour qu’il n’ai plus envie de moi. Lorsqu’il se retire, mon cul se met à palpiter, à se contracter tout seul. J’ai l’impression de rester « ouverte ». Je jouis du cul sans comprendre après ce que je viens de vivre.

- Tu es très bonne ! M’indique Milit en libérant mes jambes qu’il dépose avec douceur.

Que répondre à ça alors que l’on a souffert comme jamais ? Rien !

J’étais prévenue, j’ai acceptée, je lui ai même dit que j’adorais être bousculée, f o r c é e, il n’a fait que ce qui était convenu mais quand même...... Toujours avec la même douceur, il entreprend de retirer le bandeau occultant ma vue puis m’abandonne un instant. J’entrouvre doucement les yeux, la lumière me fait mal, il est devant moi avec mon whisky coca à la main.

Je vois pour la première fois sa bite, ce n’est pas un sexe humain, c’est plutôt comme une bite de cheval qui pend entre ses jambes. Je comprends maintenant pourquoi il ne s’est pas fait sucer avant, j’aurai pris peur et j’aurai refusé. Il attrape ma tête et me fait boire, cela me fait du bien, sa douceur soudaine me rassure.

- Si tu veux que je te libère, il faut me sucer maintenant !

- Mais elle rentrera jamais dans ma bouche !

- Allez, fait un effort, essaye.

Je ne me suis pas trompée, ma mâchoire ne s’ouvre pas assez, mais je lèche ce pieu qui m’a défoncée comme jamais. Milit se remet à bander, à mes yeux suppliants et mon visage angoissé, il devine ma peur et me rassure, il ne me prendra plus ce soir. J’ai envie de lui crier « plus jamais » mais contient ma rage.

- Le plus dur, c’est la première fois, c’est comme un pucelage, si je reviens te baiser, tu verras, cela passera mieux. Je te rendrai encore plus salope que tu ne l’es déjà.

Milit se lève, sort de sa poche un cran d’arrêt dont il fait jaillir la lame. Ma gorge se serre aussitôt mais, quand il me demande de lui faire voir mes poignets, je comprends le but de son couteau. Il n’y a pas que mon anus qui a souffert, mes poignets sont bien marqués, les bouger et les masser est un réel soulagement.

- Alors heureuse petite salope, tu voulais être bousculée j’ai fait comme tu voulais. Mais qu’est-ce que tu couines quand tu te fais baiser !

- Tu oublies juste d’annoncer un « détail » de taille XXXL quand tu prends des contacts.

- Oh, 80 de diamètre c’est pareil qu’un petit fist non ?

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Gay - Communauté : Chasteté
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Mardi 25 septembre 2 25 /09 /Sep 08:58

El Picadore des fesses et rencontres BDSM

Une vidéo originale d’ABCplaisir a été réalisée pendant la féria

En BDSM, on peut jouer de tout, les évènements peuvent être source d’inspiration. La mise à mort des taureaux ne m’amuse pas même si je suis un camarguais.

Comme les courses de taureaux, les enciéro et imbandido sont une tradition chez nous, l’idée m’est venu de jouer le picadore avec une soumise.

 

le-picadore-avec-une-soumise.gif

 

 

 

 

La vidéo est ici

RENCONTRES BDSM A THEME

C'était une rencontre BDSM autour de la féria le compte rendu et les 97 photos sont ici

L’été 2019 j’organiserai à nouveau une rencontre BDSM (gratuite pour les membres de Fessestivites)

Je prévois comme divertissement BDSM :

Un lâché de soumis et de soumises encadrés par des pony-girl et pony-boy

Une ferrade (Vous avez bien lu mais pas trop hard rassurez-vous)

Une course de soumis(e) taureau avec des fouets en guise de banderilles

Un taureau piscine (avec des soumis et soumises)

Des ballades à cheval (un vrai) avec un plug sur la selle

Des exhibitions de pony-girl et pony-boy

Et bien d’autres activités BDSM ....

A très bientôt sur Fessestivites

TSM

Par TSM - Publié dans : Histoires et BDSM divers - Communauté : plaisirs SM
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Lundi 27 août 1 27 /08 /Août 07:41

Un nouveau site d’histoires érotiques avec du hard vient de voir le jour.

plaisirs_interdits.jpg

De qualité mais souvent très Hard ou sans consentement, ces histoires érotiques et romans de plaisirs interdits sont OBLIGATOIREMENT réservées aux adultes avertis.

Si vous téléchargez des histoire de la zone rouge, attention, c’est vraiment Hard et EXTREME tout en étant réaliste. Vous êtes prévenus.

HARD MAIS DE QUALITE

L’écriture est soignée, agréable à lire et coule sous les yeux. Vous n’aurez pas les yeux brûlé par un orthographe défaillante. Il n’y a pas non plus de langage SMS, d’abréviation, c’est du vrai français.

LES SUJETS DES HISTOIRES EROTIQUES

Les histoires érotiques de plaisirs interdits sont classées par thème. On y trouve du BDSM, de la fessée, du selfondage, des textes gays et de l’ABDL. Il y a une rubrique extrême mais réaliste où on y trouve du sans consentement et du v i o l.

LES BESOINS DE DISCRETION DES INTERNAUTES

Les besoins de discrétion des internautes sont pris en compte car certains pourraient hésiter à avoir ce type de lecture sur leur ordinateur. Plaisirs interdits a pensé à vous.

1)° Une fois que vous avez acheté une histoire, vous pouvez la lire x fois quand vous voulez et vous n'êtes pas obligé de l'enregistrer sur votre PC.

2°) Même les banques ne peuvent pas savoir que vous achetez un ou des histoires érotiques HARD.

Le règlement s’effectue via une passerelle de paiement qui indique Hipaywallet et sur le relevé de banque il est écrit Hipaywallet.

Si vous aimez les histoires érotiques de qualité, complètes, soignées, avec du sans consentement et du hard, vous allez être servi sur Plaisirs-interdits.com

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Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : Le sexe sans tabous
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Jeudi 23 août 4 23 /08 /Août 12:06

Poire (orale, anale, vaginale) inquisition

Cet outil a été utilisé et est hélas toujours utilisé. Il n’a pas beaucoup changé et peut être sans ornements. Il y a plusieurs taille, pour la bouche, l’anus ou le vagin. Lorsque la vis était vissée, les segments de poire s’ouvraient jusqu’à la valeur maximale. Les organes internes ont été gravement endommagés, entraînant souvent la mort. Les extrémités pointues et allongées des segments creusaient simultanément la paroi de l'intestin, du pharynx ou du col de l'utérus. La poire orale était utilisée pour l'interrogatoire des prédicateurs hérétiques, en anal pour les hommes, accusés d'homosexualité passive, et vaginal pour les femmes soupçonnées d'avoir des liens intimes avec le diable ou ses serviteurs. Dans la bouche, l’explosion des os des mâchoires était horrible.

De nos jours, en BDSM la recherche des sensations, au nom du plaisir et des fantasmes, existe bel et bien.

Pour la bouche nous avons le bâillon gonflable

Baillon_souci_dentaire_gonflable_2.jpg

Il a l’énorme avantage de ne pas endommager les dents tout en étant TRES efficace.

Pour le vagin et l’anus, le gode gonflable manuel ou électrique

Big_gode_souple_noir_gonflable.jpg

Butt_plug_geant_4.1.jpg

Butt_plug_geant_2.jpg

On n’arrête plus le progrès ! Appuyez sur le bouton et laisser gonfler ce plug.

Le Plug de chastete anale

Pour l’anus il y a aussi le plug de chasteté qui ne blesse pas mais s’ouvre dans l’ampoule rectale. Cela génère des peur la première fois, et ensuite, l’impression qu’il veut sortir sans avoir été refermé.

Plug_chastete_anale.jpg

Par TSM - Publié dans : Histoires Hard (violence et/ou viol) - Communauté : plaisirs SM
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